New IP : la Chine veut intégrer la censure dans les fondations d’Internet. Dans un souci d'améliorer le fonctionnement d'Internet, la Chine a mis au point un nouveau protocole pour remplacer le TCP/IP.
Outre de réelles avancées, la proposition faciliterait la censure et l'identification des internautes. Non, ce n'est pas un poisson d'avril. Le gouvernement chinois, en association avec Huawei et des opérateurs chinois, a proposé un nouveau protocole Internet à l'Union internationale des télécommunications (UIT), selon le Financial Times. Baptisé New IP, ce standard est conçu pour remplacer le standard TCP/IP utilisé actuellement, mais intègre quelques fonctions qui semblent destinées aux dictatures. Mis au point dans les années 1970, le TCP/IP sous-tend tout l'Internet moderne. Cette proposition est très controversée, car elle contient un « kill switch ». 99% des incidents de mauvaise configuration dans le cloud passent inaperçus. McAfee, société de cybersécurité device-to-cloud annonce aujourd’hui la sortie de son nouveau rapport « Cloud-Native : Rapport sur l’adoption et les risques de l’infrastructure en tant que service (IaaaS) » L’infrastructure en tant que service (IaaaS) est aujourd’hui le domaine du cloud qui connaît la croissance la plus rapide, utilisé par les entreprises de toutes tailles comme nouvel environnement informatique par défaut pour construire et héberger leurs applications internes et orientées client.
Dans la ruée vers l’adoption d’IaaaS, de nombreuses organisations négligent le modèle de responsabilité partagé dans le Cloud et pensent à tort que la sécurité est entièrement prise en charge par le fournisseur de cloud. Ce rapport révèle que 99 % des incidents relevant d’une mauvaise configuration dans les environnements de cloud computing public ne sont pas détectés, exposant ainsi les entreprises à une perte de données.
Amazon contre 5G, la course au prochain réseau IoT. Cette semaine GreenSI a pu aller a New-York pour le lancement commercial de la 5G par Verizon.
Quand en France on en est encore à la procédure d'appel d'offres par le gouvernement pour exploiter ce qui sera l'évolution majeure de la connectivité dans les dix prochaines années, trois pays, dont les États-Unis, la Finlande (pays de Nokia) et en premier la Corée du Sud (ouvert en avril 2019), opèrent déjà en grandeur réelle une offre commerciale dans les principales villes du pays. Les équipements sont là (Ericsson, Nokia, Huawei), avec un certain avantage aux européens, et les opérateurs imaginent les nouveaux services qu'ils vont proposer. Le lancement par Verizon à Manhattan et quelques zones clefs comme l'aéroport JFK, s'inscrit dans cette course au déploiement national du nouveau réseau entre quatre opérateurs (Sprint, AT&T et T-Mobile) et à un réseau de 5GLabs pour en imaginer les usages avec leurs clients.
5G : Huawei mène des tests en Russie, où l'on accueille l'équipementier à bras ouverts. Un pays européen de plus dit «oui» à Huawei. International 14:56 28.09.2019(mis à jour 16:17 28.09.2019) URL courte La Norvège ne prévoit pas d'empêcher la société chinoise Huawei Technologies de construire sur son territoire un réseau de télécommunications 5G, a déclaré le ministre du Numérique Nikolaï Astrup.
Une décision qui va à l’inverse de la prise de position américaine. Huawei travaille déjà sur l'exploitation de la 6G. Google.com/url?rct=j&sa=t&url= SAN DIEGO (Etats-Unis), 27 septembre (Xinhua) -- En matière de déploiement des réseaux 5G, la Chine est "dans la très bonne direction", a déclaré Steve Mollenkopf, président-directeur général de Qualcomm Inc., le géant américain de la technologie et des puces électroniques.
La Chine est très progressive dans sa vitesse de déploiement des réseaux 5G, notamment pour "le nombre de stations de base qu'elle lance pendant la première année de déploiement de la 5G", a déclaré M. Mollenkopf à Xinhua lors d'une récente interview autour d'une table ronde au siège de Qualcomm Inc., à San Diego, aux Etats-Unis. 5G : un surcoût de 30% accepté par les Français. Le 06 octobre 2019 à 17:19 Le ConsumerLab d’Ericsson a dévoilé une nouvelle étude sur le rapport des Français à la 5G, intitulé « Comprendre la valeur de la 5G aux yeux du consommateur ».
Cette étude analyse les attentes des consommateurs à travers 35 000 interviews réalisées dans 22 pays, dont 1500 interviews conduits en France en mai 2019, représentant l’opinion de 29 millions d'utilisateurs de smartphones, indique Ericsson. Un rapport qui confirme les résultats de sa dernière étude révélée en mai dernier.
Parmi les enseignements clés : les utilisateurs français de smartphones sont parmi les européens les plus impatients de pouvoir utiliser la 5G ; et ils sont prêts à payer un surcoût de l’ordre de 30% pour pouvoir accéder à de nouvelles applications et de nouveaux services 5G. Véhicules autonomes et connectés : plus de sécurité avec la 5G ? Dans un futur, plus ou moins proche, les voitures seront devenues des appareils connectés.
Au même titre que les enceintes, les téléviseurs, les réfrigérateurs… Mais à la différence de l’électroménager et des appareils multimédias, les véhicules… roulent. Ils peuvent causer des accidents. Les échanges de données entre les voitures futuristes et leur environnement nécessiteront des débits très élevés et une faible latence. Deux défis relevés par la 5G. Le réseau de données sans fil n’a cessé de progresser au cours des 30 dernières années. Nous devrions pouvoir disposer d’un débit de 1 Gbit/s pour le téléchargement et de 500 Mbit/s pour envoyer des fichiers.
L’industrie automobile est divisée depuis des années sur l’utilisation des réseaux sans fil. Explosion du nombre de services embarqués. /2019/11/04/chine-plus-grand-reseau-5g-monde/ Le gouvernement chinois ainsi que les trois grands opérateurs nationaux ont officiellement annoncé le déploiement du réseau 5G national.
Si 10 millions d’utilisateurs s’y sont déjà pré-inscrits, il lui reste à conquérir 1,6 milliards d’abonnés mobile restants. Tandis que la brouille avec les États-Unis bat toujours son plein, la Chine a décidé d’accélérer le mouvement de son côté. Elle a officiellement lancé, jeudi dernier à Pékin, le déploiement de la 5G sur l’ensemble de son territoire, l’avançant d’environ un an. Comme le révèle Les Echos, la 5G sera proposée par China Mobile, China Télécom et China Unicom dans 50 grands villes (Pékin Shanghai, Shenzhen, etc.) ce qui fait du réseau chinois le plus grand réseau 5G du monde. 5G : l'Etat entend les craintes de Free et Bouygues, un système d'attribution des fréquences plus juste devrait être finalement proposé. Le gouvernement a visiblement pris en compte les inquiétudes de Free et Bouygues Telecom autour de l’attribution des fréquences 5G.
Un premier bloc de fréquences à prix fixe de 50 ou 60 MHz contre 40 MHz précédemment, serait privilégié. Plus équitable. L’attribution des fréquences 5G est source de frictions chez les opérateurs. Depuis cet été et le lancement de la consultation par l’Arcep sur les conditions d’attribution des fréquences, Free et Bouygues estiment qu’ils seront désavantagés.
Xavier Niel parle d’une ” tentative de mise à mort” et d’un marché des télécoms qui “pourrait passer de quatre à deux”. Avec la 5G, des risques de cyberattaques plus importants ? Quels risques posera (et pose déjà) la technologie 5G en termes de cybersécurité ?
Le sujet était abordé aux dernières Assises de la sécurité, rendez-vous annuel des experts du secteur, qui s’est tenu du 9 au 12 octobre à Monaco. Décryptage. Un million : c’est le nombre de cyberattaques que subirait Huawei chaque jour. D’après John Suffolk, vice-président et directeur du pôle cybersécurité du géant chinois, son entreprise s’expose ainsi quotidiennement à des tentatives d’attaques informatiques qui visent à lui dérober des informations concernant la technologie 5G, dans laquelle l’opérateur chinois investit depuis de nombreuses années. Voici pourquoi la 5G risque d’accroître l'impact du numérique sur l'environnement. Alex Tai/SOPA Images/LightRocket via Getty Images Le gouvernement a annoncé le lancement début octobre de 11 "plateformes d'expérimentations" dédiées à la 5G pour développer de nouveaux usages et services. Concrètement, cette technologie offrira un internet mobile plus rapide, avec une latence réduite.
Les jeux en ligne seront plus fluides, le visionnage de vidéos en streaming de meilleur qualité et de nouveaux usages pourront se développer avec les objets connectés par exemple. Mais la course mondiale pour déployer cette cinquième génération de la téléphonie mobile fait parfois oublier ses potentiels impacts sur l'environnement. Or, "la 5G sera forcément pire sur le plan environnemental" que les technologies actuelles, alerte Frédéric Bordage, cofondateur de GreenIT, un groupe d'experts sur le numérique responsable.