Révolution digitale : pensez en 3 dimensions. Par Caroline Faillet et François Pinochet On entend partout parler de phénomènes générationnels, avec des classifications qui laissent à désirer : X,Y et… Z !
Chaque nouvelle génération aurait des caractéristiques propres aux outils technologiques avec lesquels elle a grandi. Voilà qui devrait expliquer les mutations de comportement de nos sociétés ? C’est donner le parfait alibi aux managers nés avant 1980 pour ne pas s’intéresser aux enjeux de la transformation numérique de leur entreprise : quel prétexte idéal que d’avancer qu’ils ne sont pas du bon millésime ! Allons donc ! De quelle révolution parlons-nous ? Il y a eu, comme il est expliqué dans l’Art de la guerre digitale, 3 révolutions numériques qui ont bouleversé ce que nous sommes tous en tant que citoyens, en tant que consommateurs et en tant que salariés. Il y eut d'abord le Web 1.0, le web des moteurs de recherche Le citoyen découvre le pouvoir de s'informer avec les moteurs de recherche. La culture digitale en images. 0516 Et si on essayait de définir la culture digitale ?
La stratégie digitale de la Société Générale en faveur des clients. Culture Banque > Banques > Tout un dispositif digital pour la clientèle Société Générale David Audran Responsable et Fondateur du blog La Société Générale place le digital au coeur de sa stratégie en banque de détail notamment avec des outils de gestion de budget.
La Société Générale développe son modèle de banque omnicanale avec réussite : son application mobile « L’Appli Société Générale » la mieux notée parmi les applications de gestion quotidienne de comptes de 18 banques choisies dans l’Apple store,son SAV est particulièrement efficace sur Twitter avec un délai de réponse de 9 minutes pour Société Générale vs 7h pour la moyenne des banques,l’obtention d’un #TwitterAwards de Bronze, catégorie Customer, pour son engagement de réponse en 30 minutes maximum sur Twitter. L’application mobile Société Générale Sur L’Appli Société Générale le client peut paramétrer des alertes d’opérations ou d’évènements à venir (prélèvements ; dépenses ; solde ; prêt immobilier ; cartes ; sécurité…). La transformation digitale ouvre la voie à l'entreprise "organique" Les 3 étages de la transformation digitale du collaborateur. Les remises de prix sur la transformation digitale des entreprises se multiplient: à qui sera le mieux récompensé pour ses hackatons, son approche omnicanal, le déploiement de smartphones pour ses collaborateurs, le lancement d’un service d’auto-uberisation… Mais embarquer 10 000, 100 000 collaborateurs sur la voie de la transformation est un chantier autrement plus complexe sur lequel la plupart des grands groupes continuent de buter.
La première difficulté réside déjà dans le fait d’arriver à qualifier des «stades de maturité» dans la transformation digitale du collaborateur. On ne sait d’ailleurs si l’on doit mettre «digitale» derrière transformation tant la succession des mutations auxquelles sont confrontées le collaborateur dépasse le cadre du digital pour accoster sur des sujets de management et d’organisation inévitablement liés. J’aime utiliser un modèle à 3 niveaux de maturité: Stade 1 – Digitalisation de l’expérience opérationnelle Stade 3 – L’expérience ambassadeur A propos. Conduite du changement, étape 3/8 : développer une vision. La troisième étape de la conduite du changement consiste à développer une vision.
C’est indispensable afin de montrer la direction stratégique et inspirer les personnes. La vision doit être claire. Cinq minutes doivent suffire pour qu’elle soit comprise et suscite l’intérêt. Un piège à éviter est de produire un gros document que personne ne lira vraiment. Présenter la vision s’apparente à préparer un acte de vente. Pourquoi ? Répondre à cette question, c’est reformuler de façon positive les urgences précédemment établies. Quelles retombées espère-t-on ? Comment ? La vision doit être réaliste. Je résume cela en disant que la vision doit décrire un chemin : on définit l’objectif que l’on veut atteindre, on constate d’où on part et on détermine la ou les premières étapes.
Quoi ? Répondre à la question « quoi ? Quant à eux, les responsables métiers doivent s’intéresser aux outils qui ne se valent pas tous. << Lire le billet précédent Lire le billet suivant >> DevOps : une approche qui séduit de plus en plus d'entreprises. Mardi 4 octobre 2016 D'après une étude réalisée par IDC France, 46% des entreprises en France sont déjà fortement sensibilisées à l'approche Devops et les initiatives de ce type continuent de progresser en 2016 dans les entreprises privées et les organisations publiques.
L'Observatoire Devops réalisé par IDC montre l'attrait que représente Devops pour les entreprises privées et les organisations publiques en France. Alors que 29% des organisations l'ont d'ores et déjà adoptée, elles sont 17% à planifier le déploiement d'une telle initiative (en cours ou en projet). Une sensibilité d'autant plus forte que l'entreprise est grande. Les grands comptes (plus de 2 000 salariés en France) sont 35% à avoir adopté une démarche Devops (+19% par rapport à 2015) contre 21% pour les entreprises du Mid-Market (1 000 à 2 000 salariés, +10% sur 1 an). Celles qui ont déjà l'expérience Devops perçoivent des bénéfices substantiels et croissants.