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Algues

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Les biocarburants de demain seront-ils à base d'algues ? Pourquoi ne pas utiliser la mer pour diversifier les ressources de biocarburants disponibles ?

Les biocarburants de demain seront-ils à base d'algues ?

Des chercheurs européens sont en train de développer un biocarburant à base d'algues marines, un procédé respectueux de l'environnement mais aussi viable économiquement. À Aarhus au Danemark, l'équipe qui participe à ce projet de recherche appelé MacroFuels fait rouler une voiture ordinaire avec son biocarburant de troisième génération, présenté comme une alternative durable aux combustibles fossiles pour évaluer ses performances. Elle a rempli le réservoir de 10% de carburant d'algues, le reste d'essence. Augmenter la part de biocarburant dans les réservoirs "Les émissions de gaz que nous mesurons, ce sont les monoxyde et dioxyde de carbone et les oxydes d'azote et nous mesurons aussi les émissions de particules de la voiture," explique Sten Frandsen, ingénieur mécanique et directeur commercial à l'Institut technologique danois DTI.

Nenuphar accélère la culture des micro-algues. Des microalgues fluorescentes pourraient nous aider à concevoir des cellules solaires. Algae 'Bioreactor' on Space Station Could Make Oxygen, Food for Astronauts. Astronauts on the International Space Station will begin testing an innovative algae-powered bioreactor to assess its feasibility for future long-duration space missions.

Algae 'Bioreactor' on Space Station Could Make Oxygen, Food for Astronauts

The algae-powered bioreactor, called the Photobioreactor, represents a major step toward creating a closed-loop life-support system, which could one day sustain astronauts without cargo resupply missions from Earth. This will be particularly important for future long-duration missions to the moon or Mars, which require more supplies than a spacecraft can carry, according to a statement from the German Aerospace Center (DLR). The Photobioreactor arrived at the space station Monday (May 6) on a SpaceX Dragon cargo ship.

The experiment is designed to use algae to convert the carbon dioxide exhaled by astronauts on the space station into oxygen and edible biomass through photosynthesis. Related: Weird Science: Nanoparticles, Algae and Organs on Chips to Launch on SpaceX Dragon. A-creteil-les-micro-algues-purifient-l-air-de-l-usine-d-incineration. Inalve lance la production de ses microalgues pour l'aquaculture. La spiruline sera-t-elle l’aliment miracle du XXIᵉ siècle ? Une prise de conscience a beau se développer en Occident sur la surconsommation de viande, l’agro-industrie n’en met pas moins en place des fermes de mille vaches : il serait ainsi opportun de penser à diversifier nos sources de protéines.

La spiruline sera-t-elle l’aliment miracle du XXIᵉ siècle ?

Au début du XXe siècle, des scientifiques avaient déjà tenté de produire de façon industrielle des protéines à partir de micro-organismes. Deux candidats furent retenus : une levure et une micro-algue verte, la chlorelle. Si les essais sur la levure ont été rapidement abandonnés, les chlorelles, dont l’avantage principal est de n’avoir besoin pour se développer que d’un peu d’air, d’eau, de soleil et de quelques minéraux, sont toujours produites industriellement.

Mais, c’est un autre micro-organisme, la spiruline, qui domine actuellement le marché. Des ingénieurs de l'Université de l'Utah développent une nouvelle méthode pour convertir les algues en biocarburant - Les Smartgrids. L’Oise va tester la méthanisation avec des microalgues - Le Courrier Picard. Et si on utilisait des algues pour la méthanisation ?

L’Oise va tester la méthanisation avec des microalgues - Le Courrier Picard

Des essais vont être menés dans l’Oise pour creuser cette idée. Si loin de la mer ? Pas un problème, puisqu’il ne s’agit pas ici de goémon, mais de microalgues qui mesurent quelques millimètres. Les tests seront effectués dans l’enceinte d’UniLaSalle, à Beauvais. EMODnet Human Activities. Algae, the next big thing in the blue bioeconomy. To most Europeans, the word ‘algae’ brings to mind the seaweed we see on our beaches or the beautiful Posidonia we can admire underwater (HINT: Posidonia is a plant, it’s not algae).

Algae, the next big thing in the blue bioeconomy

Most of us don’t know much about algae; barring a few exceptions, we don’t eat them, we don’t use them; often we don’t even know they’re photosynthetic eukaryotic organisms that have been around this planet for much longer than we have. Except there’s a lot more to them than meets the eye. East and South-East Asian countries, for instance, have been eating seaweed for millennia, as anybody who’s ever had sushi might have guessed. Seaweed are part of the regular diet of billions of people in the world, and these countries are also massive producers. But it’s not just about food, and not just about seaweed either. Times are changing and algae are becoming increasingly popular in Europe, with a number of companies harvesting, cultivating, or processing them to create a wide range of high-value products. Et si les micro-algues incarnaient le carburant de demain ? The role of microalgae in aquaculture: situation and trends. Les algues seront-elles le carburant incontournable de demain ?

Biomethane production from various segments of brown seaweed. Outline HighlightsAbstractKeywords1.

Biomethane production from various segments of brown seaweed

Introduction2. L'UE valide l'application alimentaire de l'huile de microalgues. Bientôt, votre voiture pourra carburer aux algues et préserver l’environnement. Et si les micro-algues étaient le carburant de demain?

Bientôt, votre voiture pourra carburer aux algues et préserver l’environnement

On les retrouve déjà dans des dispositifs dépolluants mais elles pourraient bientôt servir à faire rouler vos voitures ! Oubliez l’essence, le gazoil ou le diesel, l’avenir est dans les micro-algues ! Les avantages des micro-algues L’ingénieur en analyse environnementale à IFP Energies, Pierre Collet explique qu’à quantité d’espace identique, on peut produire plus d’énergie que les plantes terrestres, entre 2 et 5 fois plus, selon les estimations les plus optimistes. Photo-production d’hydrogène : un concurrent plutôt inattendu – Enerzine. Au cours de la photosynthèse, certaines microalgues produisent de l’hydrogène, via une enzyme, l’hydrogénase, qui utilise l’énergie photosynthétique.

Photo-production d’hydrogène : un concurrent plutôt inattendu – Enerzine

Toutefois, l’hydrogénase est inhibée par l’oxygène produit par la photosynthèse, ce qui limite fortement les potentielles applications biotechnologiques. Des enzymes utilisant l’énergie photosynthétique pour capter l’oxygène semblaient pouvoir protéger l’hydrogénase d’une telle inhibition. Les chercheurs ont mis en évidence que ces enzymes sont en fait un frein à la production d’hydrogène. Ces résultats ont été publiés dans Plant Physiology. Une ferme géante de micro-algues de 32 ha en construction en Bretagne.

Ce sera, selon le porteur de projet, la plus grande ferme de micro-algues d’Europe: «un projet global et vertueux» de 32 hectares est en cours de construction à Plouguenast (Côtes-d’Armor), une petite commune de près de 2.000 habitants en centre-Bretagne.

Une ferme géante de micro-algues de 32 ha en construction en Bretagne

LDC Algae envisage d’y produire par an près de 7.800 tonnes de micro-algues, de la chlorelle de quatre à six microns, à destination des industries cosmétique, pharmaceutique et alimentaire. Ce projet à 30 millions d’euros est né dans la tête de René-Jean Guillard, porteur du projet LDC Algae. Ce Nantais d’origine est responsable en recherche et développement (R&D) depuis 2004 pour Skyworld China, possédant, entre autre, un centre de R&D en cosmétique instrumentale. «En 2010, L’Oréal nous a demandé de trouver une solution pour réduire l’huile de palme de la cosmétique. Un petit organite pour les microalgues mais un grand pas pour la production d'énergie. Le chloroplaste est la principale source d'énergie des cellules végétales et algales où se produit la photosynthèse.

Brève d'IAR - Tremplin : "Des chercheurs du CEA Cadarache, du CEA Paris-Saclay, du Biam (CEA, CNRS, Aix-Marseille Université) et de l'Institut Max-Planck en Allemagne ont trouvé comment la microalgue Chlamydomonas régule sa photosynthèse en fonction des conditions environnementales, ce qui pourrait permettre d’optimiser la production de biocarburant. Les chercheurs ont découvert les mécanismes de communication entre le chloroplaste, où la photosynthèse se déroule et le peroxysome. Cette communication permet aux cellules d’ajuster les réactions de transformation et stockage de l’énergie solaire lors de la photosynthèse, et en son absence, les cellules maintiennent une activité de la photosynthèse plus élevée et accumulent des quantités plus importantes d'huile et d'amidon. Cette étude est un premier pas vers l’optimisation du stockage de l’énergie par les microalgues, dans le but de développer des biocarburants de 3è génération, et de la découverte du rôle des peroxysomes dans le métabolisme des algues et la production d'huile et d’amidon. Il faudra ensuite étudier le phénomène dans d’autres espèces d’algues." – cclnf

Le chloroplaste est aussi l'endroit où sont synthétisés des composants cellulaires importants pour le stockage de l’énergie (comme l'amidon et les acides gras).

Un petit organite pour les microalgues mais un grand pas pour la production d'énergie

Dans le milieu naturel, plantes et algues sont confrontées à de fortes variations de l’intensité du rayonnement solaire et des variations importantes de l’apport de nutriments. Des biostimulants à base de microalgues efficaces pour la culture du melon.

Brève Tremplin - IAR : Une étude indépendante menée par l’iMiDRA, un institut de recherche espagnol, a démontré pour la deuxième année consécutive l’efficacité des biostimulants issus de microalgues d’AlgaEnergy pour la culture du melon. Comparés aux biostimulants couramment utilisés, ces biostimulants permettent d’augmenter le rendement de la production commerciale du melon, c'est-à-dire la production totale moins les déchets, mais aussi sa qualité : melons plus lourds, avec moins d’imperfections et un meilleur goût. Ce dernier critère a été testé grâce à une dégustation à l’aveugle d’une centaine de personnes, comparant la douceur, la jutosité, la fermeté de la chair et la qualité globale du fruit. Les résultats de cette étude sont très importants pour AlgaEnergy, car ils mettent en évidence l'efficacité de ses microalgues et permettent de garantir aux agriculteurs un produit efficace et biosourcé. – cclnf

Strasbourg: Micro-algues et spiruline sont fabriquées en récupérant l'eau de la malterie. Sacs en algues : une première mondiale bientôt à Fos-sur-Mer.