Presstalis et la presse papier : deux crises qui s’alimentent. Médias 19. Petite histoire des journalistes français, par Patrick Eveno - 2008. Publié le 14 janvier 2008 Une profession qui n’en est pas une… mais qui le devient Jusqu’à la fin du Second Empire, les journalistes ne sont pas des hommes faisant profession d’informer, mais des hommes politiques, des écrivains ou des artistes et des hommes d’affaires.
Théophraste Renaudot, le père de la presse française, est tout dévoué à Richelieu et à Louis XIII, tandis que les premiers journaux sont écrits par des savants, des philosophes ou des poètes. Sous la Révolution française, les journalistes sont avant tout des hommes politiques : Mirabeau, Brissot, Marat, Hébert Camille Desmoulins ou Rivarol cherchent avant tout à convaincre de la justesse de leurs idées et à avoir une influence politique ; certains y perdent leur tête. Une fois passées la tourmente révolutionnaire et la dictature napoléonienne, la presse se développe lentement sous la monarchie constitutionnelle. La naissance d’une profession La rupture de la guerre et de la Collaboration L’évolution depuis 1945 Patrick Eveno. RetroNews. Plongée dans trois siècles de presse écrite – Les Outils Tice. 15 millions d’articles et les principaux titres de la presse d’information générale sur 3 siècles de 1631 à 1945 issus des archives numérisées de la BNF.
Et la collection devrait s’enrichir peu à peu au fil du temps. Vous y croiserez au détour d’une page les signatures de quelques confrères célèbres de Maupassant à Huysmans en passant par Zola, ou encore Aragon. Pour vous aider à trouver votre bonheur, Retronews vous offre un moteur de recherche particulièrement véloce et très efficace qui va aller fouiner en texte intégral dans les contenus de tous les articles numérisés. Toute une série de filtres, par titre de presse, par type de presse, par date, etc., vous permettront ensuite d’affiner les résultats. Retronews propose aussi une entrée par thématique. Presse locale ancienne. La presse à la une. Presse et revues. Si l’on considère La Gazette de Théophraste Renaudot fondée en 1631 comme le premier journal français, c’est avec Le Journal de Paris que s’ouvre en 1777 l’ère de la presse d’information. 1789 instaure la liberté de la presse.
Les feuilles éclosent en nombre (Le Père Duchesne, L’Ami du Peuple…) avant d’être à nouveau réprimées. Le combat contre la censure agite tout le XIXe siècle qui s’achève par un « âge d’or de la presse » à la faveur de la Loi sur la liberté de la presse de 1881. Dès 1836, les formules novatrices du Siècle et de La Presse ouvrent la marche de cet essor. Les titres généralistes retranscrivent les partitions politiques et alimentent le débat. La presse satirique (Le Charivari, Le Journal pour rire …) se développe également qui à travers caricatures et portraits-charges dénonce le pouvoir et s’attache par l’humour un public fidèle.
La presse française depuis 1631. Les techniques de la presse et les premiers journaux depuis 1038. Sagapresse, histoire de la presse, vieux journaux, vieux papiers, périodiques anciens, achat, vente, échanges. « Le jour où nous avons dit au revoir » : les « unes » de la presse britannique au lendemain du Brexit. Le Royaume-Uni est devenu vendredi 31 janvier le premier pays à quitter l’Union européenne, après trois ans et demi de déchirements.
Samedi 1er février, les « unes » de la presse britannique reviennent sur ce jour historique. Le Guardian revient sur « le jour où nous avons dit au revoir » et s’interroge : « Comment une nation dit au revoir à ses voisins ? Avec un nœud dans la gorge et un émouvant chant d’adieu – ou avec des applaudissements et un doigt d’honneur provocateur de bon débarras ? » « La réponse que la Grande-Bretagne a donné à 23 heures, vendredi 31 janvier, est : les deux », estime le journal. Le Times fait également ses « adieux » à l’Union européenne. « Tout le monde debout : voici la glorieuse nouvelle Grande-Bretagne », célèbre de son côté le tabloïd Daily Express, alors que le Daily Mail offre une serviette gratuite pour fêter le Brexit. En Ecosse, où la population a voté en majorité pour le maintien dans l’Union européenne, The Herald fait sa manchette sur le coronavirus.