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Ville France

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3G1T1- La mobilité à Tours – Découverte. Objectif: Décrire et expliquer le processus d’étalement urbain, en lien avec les mobilités. Compétences évaluées: Décrire, Lire & pratiquer différents langages (cliquez sur le compétence pour accéder aux fiches méthodes) Vous devez rédiger une synthèse dans laquelle vous répondrez à la problématique suivante: en quoi la construction du tramway peut-elle apparaître comme une réponse à l’étalement de l’agglomération tourangelle?

Document 1: L’étalement urbain en Indre-et-Loire Document 2: L’évolution de l’aire urbaine de Tours Document 3: L’étalement urbain Document 4: Une ville sans voiture Document 5: L’intermodalité à Tours Pourquoi peut-on parler d’étalement à Tours?

Paris

Emeutes : comprendre l’enclavement de Clichy-sous-Bois en 5 minutes. Grand Corps Malade - Saint denis (Clip officiel) Les 4 saisons de La Castellane. Appareil photo à la main, des ados Marseillais en quête d’un nouveau regard sur leur quartier ne demandent qu’à montrer d’autres clichés. On les avaient croisés à Libération le jour où le Bondy blog avait passé “Libe au Kärcher” (le 26 octobre 2015). Discrets ces jeunes phocéens dans la « salle du hublot », mais toujours un œil derrière leur appareil photo : Amiel, Alfa, Fayad, Nani, Oussam, Rayan, Ryad et Slam montaient, en ce week-end d’automne, à la capitale faire découvrir aux Parisiens Les 4 saisons de La Castellane. A l’origine, au centre social du quartier, quelques mois auparavant, ils avaient rencontré Teddy Seguin, un jeune photographe qui travaille sur une œuvre artistique autour de l’insularité. « La Castellane, vue d’avion, ressemble à une petite forteresse.

Elle n’est pas entourée d’eau mais le quartier est séparé géographiquement du reste de la ville. J’y vois une vraie insularité. Sa photo préférée est celle d’un couché de soleil irisant La Castellane. Sandrine Dionys. Le retournement démographique des campagnes françaises. Nous publions ici en couleur des documents extraits de notre ouvrage : Pierre-Marie Georges et Jean-Benoît Bouron, 2015, Les territoires ruraux en France, une géographie des ruralités contemporaines, Ellipses, Paris, 454 p.

L’imaginaire décliniste associé aux campagnes françaises demeure très présent dans la société française. Longtemps alimenté par le jugement de valeur contenu dans l’expression « exode rural » qui a été portée aux nues par des générations d’analystes, l’idée d’une primauté de la ville sur les campagnes n’a cessé de se développer. La récente pensée performative associée à l’idée de métropolisation ne semble en être qu’une énième expression, déliant les langues de ceux qui veulent en finir avec le rural, tandis que certains auteurs caricaturent les phénomènes de relégation sociale associée à la France périphérique. Commencé en 1975, le renouveau démographique des campagnes est en effet le résultat de plusieurs phases successives. L’artificialisation des sols en France.

1. La revue Métropolitiques a publié le 16 janvier 2016 un article de la sociologue Madlyne Samak, « Les Alpes-Maritimes sous pression urbaine. Retour sur quarante ans de déclin des surfaces agricoles ». Après les inondations d’octobre 2015 qui ont provoqué la mort de vingt personnes dans les Alpes-Maritimes, elle revient sur les causes démographiques, économiques et politiques du déclin des espaces agricoles et des dynamiques d’urbanisation d’un territoire sous pression. Dans les Alpes-Maritimes, les surfaces consacrées au maraîchage et à la culture florale ont diminué respectivement de 80 % et de 74 % entre 1970 et 2010. Les terres labourables ont été divisées par plus de trois et les surfaces plantées en vigne ont quasiment disparu.

La part du territoire artificialisée, qui représentait 30 % de la superficie du littoral en 1970, en représente 58 % aujourd’hui. 2. L'enquête Teruti Corine Land Cover 3. Marie-Christine Doceul et Sylviane Tabarly, pour Géoconfluences. La France périurbaine a-t-elle été abandonnée. Pour le géographe Christophe Guilluy, la France est coupée en deux.

D’un côté, une « France métropolitaine », constituée des 25 plus grandes aires urbaines. De l’autre, la « France périphérique » : villes petites et moyennes, espaces ruraux, communes multipolarisées, espaces périurbains « contraints »… « Invisible et oubliée », cette France périphérique cumulerait les difficultés et serait le terreau du vote Front national, particulièrement fort dans ces zones. Mais cette thèse est loin de faire l’unanimité. Décryptage. Le périurbain, un territoire de relégation sociale peuplé de « petits Blancs » en souffrance ? L’idée est progressivement devenue un lieu commun du débat public. Son principal promoteur : le géographe Christophe Guilluy qui dans ses ouvrages promeut une lecture géographique binaire des malaises sociaux français. Le 25 mars 2015, dans le cadre d’une interview donnée à la fondation Jean-Jaurès, il résumait sa thèse en ces termes : Autre exemple : la Basse-Normandie.