Est-ce que Bitcoin Revolution est une arnaque ? Bitcoin Revolution : un projet en apparence légitime Note : Nous utilisons dans cet article le nom « Bitcoin Revolution », mais les techniques décrites semblent être utilisées par de très nombreux sites du même groupe, dont Bitcoin Trader, Bitcoin Pro, Bitcoin Lifestyle, etc.
Vous retrouverez la liste des noms que nous connaissons en fin d’article. C’est en tout cas Bitcoin Revolution qui a attiré notre attention en premier. Le site gère plutôt bien sa communication, et l'on a vu fleurir des articles en apparence impartiaux à son sujet au sein de la sphère crypto francophone. Kuailian : arnaque ? Scam ? L'avis d'un expert ! Un nom a fait récemment couler beaucoup d’encre dans la cryptosphere : Kuailian.
Ce projet controversé associe masternodes et intelligence artificielle. Les rendements sont alléchants, mais ne sont-ils pas trop beaux pour être vrai ? Voici une analyse de Kuailian sur l’aspect technique, de la part d’un expert en masternodes. Elle peut être visionnée en complément des investigations menées par la communauté CryptoFR ainsi que par nos confrères. Kylian Mbappé porte plainte contre une arnaque aux crypto-monnaies. Kylian Mbappé a récemment porté plainte contre une arnaque aux cryptomonnaies, qu’on avait vu fleurir sur le Web francophone.
Elle utilisait le nom et l’image de l’attaquant du PSG, afin de promettre monts et merveilles aux investisseurs. Kylian Mbappé victime collatérale d’une arnaque aux cryptos Comme le révèle le magazine l’Équipe, l’arnaque repose sur de fausses citations du footballeur. Elle présente des photos ou des vidéos de Kylian Mbappé, avec un titre alléchant : « Le dernier investissement de Kylian Mbappé a mis les experts sous pression et a effrayé les grandes banques ». Un soin particulier a été apporté pour tromper les investisseurs : la publicité frauduleuse met en scène une fausse interview de l’attaquant du PSG, qui évoque « une nouvelle possibilité de richesse qui peut transformer n’importe qui en millionnaire en l’espace de trois ou quatre mois ». La police ougandaise reçoit 4000 plaintes contre Dunamiscoins. Même si la folie des ICO (Initial Coin Offering) est derrière nous, il n’en reste pas moins de tristes histoires de levées de fonds plus que douteuses encore aujourd’hui.
Cette fois, ce sont les deux directeurs d’un certain « Dunamiscoins » qui font face à des accusations de montage d’un schéma de Ponzi. Un Bitconnect ougandais C’est le journal local ougandais The Observer qui relate la nouvelle ce 8 janvier : après l’effondrement du Dunamiscoins début décembre 2019, 4000 plaintes ont été déposées contre ce “projet” et ses deux directeurs, Samson Lwanga et Mary Nabunya. Les deux dirigeants de la société « Dunamiscoins Resources Limited » ont comparu lundi dernier devant un tribunal de Kampala en Ouganda : ils sont inculpés de 65 chefs d’accusation liés à l’obtention d’argent sous un faux prétexte.
Les suspects ont plaidé non-coupable face à ces accusations, mais ont été placés en détention préventive depuis leur arrestation le 10 décembre 2019. Crypto malware : 18 et 20 ans de prison pour le « groupe Bayrob » Le crime ne paie pas, même quand c’est en cryptomonnaie.
Deux ressortissants roumains viennent amèrement de l’apprendre, en écopant d’une vingtaine d’années de prison pour avoir infecté des ordinateurs avec des malwares de mining notamment. Aux États-Unis, le Department of Justice de l’Ohio vient de publier une nouvelle affaire de piratages impliquant les cryptomonnaies. Bogdan Nicolescu et Radu Miclaus, tous deux originaires de Bucarest en Roumanie, n’ont pas moins de 21 chefs d’accusation a leur encontre, pour avoir infecté plus 400 000 ordinateurs par des logiciels malveillants (malwares).
Les autorités estiment qu’ils ont ainsi dérobé pour au moins 4 millions de dollars à leurs victimes. Pour mieux diffuser leurs malwares, les deux individus se sont fait passer pour différents organismes comme notamment Western Union, Norton AntiVirus ou encore l’IRS (le fisc américain) . Malware : des hackers utilisent Youtube pour miner du Monero (XMR) ESET et mat – La société de cybersécurité ESET a découvert que les criminels opérant le réseau botnet Stantinko distribuent également un malware de cryptojacking, opérant par le biais de YouTube.
Le logiciel malveillant permettrait donc de miner des cryptomonnaies – plus précisément du Monero – à l’insu des propriétaires des ordinateurs infectés. Il aurait déjà touché plus de 500 000 ordinateurs. Le botnet Stantinko Stantinko est un botnet actif depuis 2012 qui cible principalement les utilisateurs provenant de Russie, d’Ukraine, de Biélorussie et du Kazakstan. Depuis son lancement, le logiciel malveillant s’est installé sur plus de 500 000 machines. Pour rappel, un botnet est un logiciel malveillant qui – une fois installé sur une machine – peut en prendre le contrôle et effectuer par la suite tout type d’actions. Les équipes du fournisseur d’antivirus Eset ont publié un rapport sur l’évolution des méthodes de propagation et d’action de ce logiciel. Monero, un allié de choix. Interview avec un « Twitter Ethereum giveaway scammer » Genesis Mining met un terme à ses contrats de cloud mining non rentables.
HASHFLARE - LE CLOUD MINING, UNE ARNAQUE ? Vietnam : Modern Tech disparait avec 660 millions de dollars. Les pires arnaques du monde des cryptos. Eviter les crypto-arnaques ("scams") : épisode 1. Éviter les crypto-arnaques ("scams") #3 - Google Images et Yandex. Sanctions de la SEC.
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