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Leadership de soi

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Leadership de soi : préalable indispensable au leadership tout court. J’ai eu le grand plaisir d’être invitée par ICF (International Coach Federation) France pour assister à une journée sur le leadership animée par Robert Dilts.

Leadership de soi : préalable indispensable au leadership tout court

L’occasion de découvrir un principe fondamental du leadership: il passe avant tout par le leadership… de soi. L’ICF, fédération de coachs qui oeuvre pour la professionnalisation du coaching, propose régulièrement à ses membres des journées thématiques animées par des grands noms du coaching. Ces journées sont l’occasion d’une formation continue essentielle à un métier dans lequel le client, par les problématiques qu’il rencontre ou les objectifs qu’il amène, “a toujours un pas d’avance sur nous”, comme l’a souligné Christine Puechbroussou-Moulin, ancienne vice-présidente de l’association et très impliquée dans l’organisation de ces événements. Comment les grands leaders inspirent. Un patron peut-il avoir peur ? C’est bien connu, un patron est un surhomme hardi et inébranlable.

Un patron peut-il avoir peur ?

D’ailleurs, les dirigeants sont payés cher pour gérer avec impassibilité un tas d’affaires complexes et délicates ! Et même, un bon patron doit effrayer un peu ses employés… Au-delà du cliché, un dirigeant peut-il avouer qu’il est affecté par des peurs sans altérer sa crédibilité ? Et le fait de perdre son assurance remet-il en cause sa compétence ? Issue de la partie la plus archaïque de notre cerveau, la peur est l’une des quatre grandes émotions fondamentales. Appréhension, inquiétude, crainte, effroi en sont des déclinaisons. Une émotion primitive mais indispensable En coaching, on considère que chaque émotion est un messager apportant de l’information, un signal à prendre en compte. Un tremplin pour cadre proactif En effet, elle délivre un message important de changement à celui qui y prête intérêt. Mauvais réflexes, automatismes... Comment se détacher de 3 biais mentaux qui sapent vos décisions.

Chroniques d’experts Leadership Le 11/07/2018 Temps de lecture : 6 minutes Pour devenir un meilleur leader, il est nécéssaire d’ apprendre à reconnaître et à maîtriser ses biais cognitifs.

Mauvais réflexes, automatismes... Comment se détacher de 3 biais mentaux qui sapent vos décisions

La violence du leader narcissique. If you’re working under a narcissistic leader, you know that nothing creates a more poisonous work environment.

La violence du leader narcissique

It may seem to be impossible to overcome, but take heart: it really can be done. Source: www.inc.com. Le leadership de l'amour ? Une manière courageuse et efficace de mener son équipe. Comment gérer au mieux une équipe quand on est patron ?

Le leadership de l'amour ? Une manière courageuse et efficace de mener son équipe

Pour Emmanuel Toniutti, la clef, c'est l'amour. (FlickR // CC. Capital psychologique. Conscience de soi-même dans le monde. Expression de soi. L'art de la discussion. Charisme. Cynisme. Self-Leadership. Le Gouvernement de soi et des autres. Développement professionnel. Entrepreneur.

Leadership : 12 outils incontournables. La proposition. Tenir la relation : pas de recette pour le leadership (7-1) Paul est pris dans un insoluble dilemne.

Tenir la relation : pas de recette pour le leadership (7-1)

D’une part, il croit que le projet porté par Virginie est un bon projet, en ce que celui-ci permettra très probablement au site de production de répondre aux attentes du groupe tout en se développant industriellement et en se renforçant. Mais comme il n’a pas de boule de cristal, il ne peut le garantir à 100%.D’autre part, il doit amener des garanties à ses collègues et, pour certains, amis, tous employés de l’entreprise pour laquelle ils donnent chaque instant de chaque jour. Ceux-ci ont peur que la transformation annoncée résulte en un plan social synonyme de perte d’emploi, de fragilisation du tissu humain de l’organisation et de délocalisation sauvage cachée.Enfin, il fait face à la concurrence des représentants des autres organisations syndicales, qui n’acceptent pas qu’il soit devenu l’interlocuteur de la direction et qui pensent déjà à leur réélection aux prochains scrutins des organisations représentatives du personnel.

Tenir la relation : pas de recette pour le leadership (7-2) Alain peut simplement faire une chose pour Paul : prendre soin de sa relation avec lui.

Tenir la relation : pas de recette pour le leadership (7-2)

Un porteur de communication sous influence. Il ne peut y avoir de communication efficace, intéressante, sincère et menant à un résultat, sans relation.

Un porteur de communication sous influence

Créer et tenir la relation est donc une condition sine qua non pour être communicant et ne pas se contenter de « faire de la communication ». La relation, c’est le lien qui nous rattache à l’autre. Quelle que soit la situation de communication que nous vivons, c’est avant tout une situation relationnelle. C’est parce que nous sommes liés à notre interlocuteur, notre auditoire, notre audience, que nous pouvons communiquer avec eux.

La relation, ce lien indispensable, nous permet d’avoir une influence sur cet interlocuteur. Ce qui est vrai dans un sens, l’est dans l’autre : lorsque mon interlocuteur tire ou relâche la corde, je suis son mouvement. Dans cette image, la corde est évidemment le lien relationnel et le mouvement représente notre communication. Cette métaphore vient illustrer de nombreuses situations de communication : Bâtir la confiance : pas de recette pour le leadership (8) Tenir la relation n’est cependant pas un exercice solitaire.

Bâtir la confiance : pas de recette pour le leadership (8)

Dans le processus de transformation en cours, Paul a clairement choisi la voie de la co-construction et du dialogue, en assumant le fait que certaines décisions peuvent être difficiles à prendre et donc demander plus de temps que dans un système autoritaire. 100% responsable, pas de recette pour le leadership (9) Car la responsabilité, la vraie, c’est accepter que l’autre le soit aussi.

100% responsable, pas de recette pour le leadership (9)

Je suis responsable à 100% de ce que je mets dans une relation. Explicitement et implicitement. Explicitement, je vais y mettre mon discours, mes mots, mes idées, mes gestes, ma posture.Implicitement, je vais y mettre mes émotions, mes valeurs, ma culture, mes intentions. Le moindre de mes mots porte cet ensemble complexe, comme un paquet cadeau à triple fond que je donne à l’autre. Le mot magique ici, c’est « donne ». Assumer les effets relationnels Ma responsabilité réside donc dans ce que je donne et dans la manière dont je le donne.