Grammaire générative et transformationnelle. La grammaire générative et transformationnelle est une théorie syntaxique s’inscrivant dans le courant de la linguistique générative. Majoritairement présente en Amérique du Nord, elle s’est développée depuis 1957 sous l’impulsion de Noam Chomsky. Cette théorie tente de caractériser la connaissance de la langue qui permet l'acte effectif du locuteur-auditeur. La grammaire générative est basée sur la distinction entre compétence et performance (connaissance que le locuteur-auditeur a de sa langue contre l’emploi effectif de la langue dans des situations concrètes). Bien que Chomsky rejette la définition de la langue de Ferdinand de Saussure, cette distinction s’apparente quelque peu à celle de langue/parole de ce dernier. [réf. nécessaire] Définition[modifier | modifier le code] Ainsi, la grammaire générative : Apports théoriques[modifier | modifier le code] Théories grammaticales[modifier | modifier le code] Structure de surface et structure profonde[modifier | modifier le code]
Être observateur de soi-même. Comme je vous le disais il y a quelques semaines dans le billet “qu’est-ce qu’écouter”, je partagerai de temps à autre dans les pages de ce blog, un extrait du livre que je suis en train de rédiger au fil des semaines.
Cette aventure dans laquelle je me suis lancée est très enrichissante, car demandant une certaine régularité dans l’exercice; chose dont je confesse avoir la fâcheuse tendance opposée . Trajet de l'information. Si communiquer n’est pas facile c’est bien qu’il y a des raisons.
Parmi d’autres le chemin que parcours une information lorsque elle est transmise d’un individu à un autre (ou des autres) est important. Pour certain l’expérience est difficile d’accepter que la réalité n’est qu’une représentation et que nous construisons nos vies au fil d’une expérience subjective de celle-ci. Fortement influencé par les travaux de Henri Labori je ne peux que conseiller la lecture de ses ouvrages tels que l’éloge de la fuite ou Labori explique en partie que le monde que nous pensons être le monde n’est en faite que le miroir de notre propre monde que nous nous construisons depuis l’enfance.
Stupéfiant pour certain, horrifiant pour d’autre c’est pourtant bel et bien comme ça que nous fonctionnons. Lorsqu’une information est transmise elle est donc « soumise » à un trajet où le point de départ et l’arrivé sont bien différent. Fonctionnement du cerveau : 5 à 10 % conscient, 90 à 95 % inconscient. Métamodel : Un langage précis (DOG) Chacun a sa propre façon de s’exprimer en fonction de sa vision et de sa perception du monde, c’est pourquoi il est parfois si difficile de communiquer de manière précise entre les individus.
Chacun interprète les messages avec sa propre représentation, c’est ce qui fait naître l’incompréhension. « La carte n’est pas le territoire ». Un même mot peut prendre des significations différentes selon les personnes. C’est pourquoi il est utile d’apprendre à préciser sa pensée et demander des précisions à notre interlocuteur par des questions judicieuses. PNL : Comment utiliser le meta modèle avec une boussole ?
Voici un outil puissant pour accompagner les protocoles de PNL : le meta modèle.
Ce meta modèle permet de préciser les réponses de vos interlocuteurs grâce notamment à la boussole du langage crée par Alain Cayrol. Grinder et Bandler ont publié leurs premiers travaux dans The Structure of Magic où apparaît pour la première fois le concept meta modèle. Il s’appuie sur les observations des 2 co fondateurs de la façon dont travaille Virginia Satir lors de ses accompagnements en thérapie familiale. Ce modèle s’appuie également les travaux de Noam Chomsky sur la grammaire générative et ceux d’Alfred Korszybski sur la sémantique générale. Pour simplifier, votre langage est composée de 2 strates : les mots que vous utilisez pour communiquer et vos expériences de référence qui s’y rattachent. Derrière le mot « voiture », vous n’utilisez pas les mêmes images que moi pour parler de votre voiture.
L’omission consiste à sélectionner une partie des informations au détriment des autres. Les jugements. Méta-communication : l’échange vu du ciel. “A quoi tu joues ?”
, “Tu as l’air fâché quand tu me réponds”, “Tu dis ça sérieusement ?” , “ ;-) ” : il nous arrive à tous de communiquer à propos de l’échange avec notre interlocuteur, pour sortir d’une ambiguïté par exemple, ou clarifier une intention. C’est Gregory Bateson qui a mis en évidence un second de niveau dans notre communication : le niveau “méta”, c’est-à-dire au-dessus.
Métacommuniquer c’est communiquer sur l’échange en cours – dans le moment ou au sens plus large de la relation. L’intérêt : préciser le sens de notre communication, apporter un changement dans la relation, réguler les échanges. Non verbal et émoticônes.
Optimiser l'écoute. Métacognition. Distorsion de perception. Auto-empathie. Position méta.