Le réseau Bitcoin est dans une forme olympique. C’est le début d’une nouvelle ère pour Bitcoin et l’industrie du minage.
Les nouvelles données pleuvent et laissent présager des signes extrêmement positifs concernant l’attractivité du réseau. Des tweets et des faits La peur d’une capitulation massive des mineurs pré-halving fait partie du passé. Selon un tweet fortement relayé, l’activité liée au minage est telle que la rapidité à laquelle les blocs sont actuellement minés n’a pas été constatée depuis juin 2014. Cette information n’est pas la seule à confirmer le postulat que les mineurs sont entrés dans une phase frénétique. Les raisons d’un tel sursaut L’impact du halving et la scission en deux des récompenses liées au minage devait induire une chute brutale des prix, entraînant la faillite d’approximativement 30% des mineurs actuels. Cependant, plusieurs analystes avancent des hypothèses différentes pour expliquer une situation étrangement stable : Deux blocs minés en même temps sur Bitcoin, avec une difficulté au plus haut. Ce 27 janvier a eu lieu un événement assez rare sur la blockchain de Bitcoin (BTC) : un “stale block“.
Ce type de phénomène exceptionnel peut se produire de façon totalement fortuite. Mais il peut également cacher une volonté de double dépense par un mauvais acteur, même si nous verrons qu’il y a très peu de chance que ce soit le cas ici. Les “stale block” : des voies sans issue sur une blockchain C’est BitMEX Research, l’équipe de recherche et développement du crypto-exchange BitMEX, qui a signalé l’anomalie par un tweet aujourd’hui. À la hauteur du bloc 614 732 de la blockchain Bitcoin, un “stale block“ a été produit. Sans cette évolution, Bitcoin serait déjà mort. Même si certains esprits chagrins mentionnent le manque de scalabilité du vénérable ancêtre des cryptomonnaies Bitcoin (BTC) – oubliant un peu vite, au passage, le Lightning Network – l’évolutivité globale de Bitcoin, elle, n’est pas à remettre en cause.
Une étude de BitMEX Research vient en effet de démontrer l’optimisation constante de son logiciel Bitcoin Core. Une évolution indispensable Ce 29 novembre, BitMEX Research, le pôle d’analyse du crypto-exchange BitMEX, a publié une étude sur la vitesse du téléchargement intégral de la blockchain Bitcoin, depuis son bloc initial (genesis block) jusqu’aux derniers en date. Avec le temps qui s’écoule et les blocs qui s’accumulent dans son registre distribué, on pourrait penser que le temps de téléchargement de la blockchain de Bitcoin ne ferait que s’allonger. Les (rares) fois où Bitcoin a été hors ligne. De quoi est fait le Bitcoin ? De quoi est fait le bitcoin ?
(Ce texte est une version mise à jour et légèrement adaptée du texte de ma contribution à la journée « Bitcoin Pluribus Impar » organisée à l'Ecole Normale Supérieure de la rue d'Ulm par Le Cercle du Coin et Jacques Favier, le mardi 30 mai 2017). Bitcoin et son délai de confirmation minimum, explications. Bitcoin est souvent critiqué, entre autres choses, pour sa lenteur.
En effet, c’est un fait, les transactions réalisées sur la première couche du protocole sont loin d’être instantanées, puisqu’il faut attendre un certain temps avant qu’une transaction soit ajoutée dans un bloc, qui varie bien sûr en fonction de l’encombrement du réseau. Pire, une transaction sur Bitcoin est d’autant moins instantanée que les frais que l’émetteur y attache sont faibles.
Et pire encore, il ne suffit pas d’attendre que la transaction soit ajoutée dans un bloc pour être (relativement) certain de son immuabilité : il faut encore qu’elle soit confirmée, c’est-à-dire qu’un certain nombre de blocs supplémentaires aient été minés après le bloc contenant la transaction, rendant l’annulation de cette-dernière par une attaque par double-dépense virtuellement impossible.
Risque n°1 : l’attaque par double-dépense Revenons brièvement sur la double-dépense, le déroulement d’une telle attaque, et ses conséquences. Comment lire un explorateur de blockchain. Que sont les arbres de Merkle dans Bitcoin ? Lorsqu'on s'intéresse à comment Bitcoin fonctionne, on entend parfois parler des arbres de Merkle qui interviennent dans la validation des transactions et des blocs.
Décrits par Satoshi Nakamoto dans le livre blanc, ils forment un rouage essentiel dans le fonctionnement de la cryptomonnaie. Ils sont aussi à la base d'idées diverses comme Taproot. Dans cet article nous allons nous intéresser à ce que sont les arbres de Merkle et à comment ils sont utilisés dans Bitcoin. Qu'est-ce qu'un arbre de Merkle ? Un arbre de Merkle, ou arbre de hachage, est un concept mathématique inventé en 1979 par le cryptographe Ralph Merkle. Les arbres de Merkle se basent sur une fonction de hachage. Dans un arbre de Merkle, les données (appelées feuilles) sont rangées dans un certain ordre et sont toutes hachées. Étudions un exemple d'arbre de Merkle basé sur 6 données différentes : DA, DB, DC, DD, DE et DF.
Les données sont hachées par la fonction de hachage notée h.
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