MyBucks et Opportunity International s’associent pour favoriser l’inclusion financière de 460 millions de citoyens non bancarisés en Afrique. © MyBucks Ce partenariat inédit entre une ONG internationale et une entreprise fintech de premier plan permettra de transformer des vies et de changer pour toujours le visage de la pauvreté dans les pays en voie de développement.
Opportunity, Inc., une organisation de microfinance de prochaine génération qui réalise des investissements philanthropiques et d’impact social pour stimuler et mettre à l’échelle des solutions innovantes pour la lutte contre la pauvreté mondiale, a signé une convention d’achat d’actions pour la vente de six banques desservant l’Afrique subsaharienne au MyBucks Group, une société de technologie financière (fintech) qui a son siège au Luxembourg et qui détient les trois marques GetBucks, GetSure et GetBanked.
#TECHAfrique : Amoney, la startup fintech qui combat l'exclusion financière des petits paysans africains. Je viens d’une famille d’agriculteurs, et j’ai vu la douleur et la frustration qu’ils subissent parce qu’ils n’ont pas accès aux services financiers formels et aux connaissances.
Pour Fabrice Alomo, la volonté d’entreprendre correspond d’abord à sa volonté de combattre la précarité économique dans lequel vivent les petits producteurs agricoles africains. « Les petits agriculteurs représentent 65% de la main-d’œuvre africaine et pourtant, ils restent largement exclus de l’histoire de la croissance économique de leur continent, car piégés par les faiblesses de l’informel où ils sont sous-informés sur les prix du marché, et victime d’exclusion financière car non bancarisés ».
Il a ainsi mis au point une solution fintech à destination des petits exploitants agricoles situés dans les zones rurales d’Afrique : un système de paiement qui fonctionne sans comptes bancaires, ni cartes de crédit, avec ou sans internet. HB334 decembre2007. Inclusion bancaire: Quand les banques détectent les clientèles fragiles. Dijon, à deux rues de l'église Saint-Michel: Mélissa, étudiante, pousse la porte du "Point Passerelle", un petit local sans enseigne au coeur d'un lieu passant.
Marie-Laure, sa conseillère, l'accueille pour ce premier bilan sur sa situation financière. Un peu fébrile, la jeune fille fouille dans sa liasse de papiers, et en sort ses trois derniers relevés bancaires. "Je ne sais pas gérer mon budget", avoue-t-elle, penaude. Voiture consignée au garage, faute de pouvoir payer la facture; assurance résiliée, loyers en retard qui s'accumulent... ses fins de mois sont dans le rouge depuis trop longtemps.
2 milliards de personnes sans accès à des services financiers - Le Courrier Financier. Responsabilité sociale - La Banque Mondiale a relevé dans son enquête FINDEX 2015 que 2 milliards d'adultes n'ont aucun accès à des services financiers formels.
La bonne nouvelle est que le nombre des personnes adultes exclues a diminué de 500 millions par rapport à l’enquête précédente réalisée en 2011. Bien sûr la simple détention d’un compte auprès d’institutions financières formelles, y compris les institutions de microfinance, est un critère rudimentaire d’inclusion financière. Il ne rend compte ni de l’usage effectif ni de la facilité d’accès aux services, ni des bénéfices que retirent réellement les plus pauvres d’une relation bancaire ou quasi-bancaire. Les services financiers sur mobile au service de l'inclusion financière - Les Echos.
FinTech 3.5 : le Mobile Banking, ou un système économique alternatif en Afrique - MTI Review. De la finance augmentée à la finance automatisée : la révolution de l’intelligence artificielle – Payboost. Le 22 septembre dernier s’est déroulée une conférence à Science Po sur l’intelligence artificielle au service de la finance.
Voici un petit compte-rendu de ce qu’il s’est dit. Tout d’abord, le titre de cette conférence « De la finance augmentée à la finance automatisée : la révolution de l’intelligence artificielle » était quelque peu réducteur, puisque le thème de la finance a été très peu évoqué. Il s’agissait plus d’un débat pour nous convaincre du comment nous sommes passés de l’ère de l’automatisation des process à un monde « gouverné » par l’intelligence artificielle qui touche bien entendu le monde de la finance avec l’émergence des Fintech, (même si les banques n’ont pas dit leur dernier mot) mais bien sûr aussi tous les autres secteurs de l’économie. Les intervenants étaient : L'Amérique Latine lutte pour l'inclusion financière : FinTech Mag. Second volet de notre étude sur la Fintech Latino-Américaine sous la plume experte de Denisse Cuellar, blogueuse pour Fintechlosophy, qui nous parle d’inclusion financière.
Le Mexique, 157 fintechs regroupées en un véritable lobby Après le Brésil, le deuxième pays dynamique dans le secteur de la fintech est le Mexique avec d’après Finnovista (1), un ratio de 157 fintechs pour un peu plus de 120 millions d’habitants. Mettre la technologie financière au service des catégories sous-bancarisées. Un Kényan compte les billets qu'il a retirés à un point M-Pesa, à Nairobi, en utilisant un téléphone portable.
Quand la technologie sert l’inclusion financière. Si nos usages quotidiens tendent à nous le faire oublier, il est parfois bon de se souvenir que les services financiers représentent un facteur important de progrès, à l’échelle d’une nation comme de l’individu.
Quelques initiatives exemplaires – la Grameen Bank au Bangladesh [1] ou le porte-monnaie mobile kenyan M-Pesa [2] – l’ont déjà brillamment démontré dans les régions défavorisées du monde. Naturellement, le paysage est différent dans les pays développés et ne requiert probablement pas les mêmes solutions. Pourtant, il existe là aussi une population fragilisée qui, en dépit de la disponibilité de services bancaires plus ou moins universels, ne peut bénéficier des produits qui lui permettraient d’échapper à une certaine forme de précarité. L’éducation financière 2.0 à tout âge Premier axe développé, l’éducation financière profite de l’ubiquité de l’accès à l’information. The Huffington Post. Back in 2009, a global consortium of researchers published a report with a provocative title, “Half of the World is Unbanked“.
Five years later, the numbers had already dropped by 20%. Yet close to 2 billion adults globally still do not have access to formal financial services. They remain financially disconnected, without opportunities to increase their incomes, unable to securely save for a rainy day or borrow to improve their lives. Even basic financial products and services remain out of reach for these people. An illness, accident or a death in the family can spell disaster for their financial situation and cause powerful shocks to their daily lives.
Thanks to the ubiquity of mobile phones, rapid advances in technology and better availability of data, true financial inclusion is within our reach. But challenges remain. Technology can help along each of these dimensions. Non-financial risk profiles have also been fertile ground for innovation. That may be changing. Half the world is unbanked. The Huffington Post. First FinTech Fund for Inclusion of the Underserved Raises $141 Million. Financial inclusion in Latin America: Regulatory trends and market opportunities. Editor’s Note: This post is part of a series on the 2015 Brookings Financial and Digital Inclusion Project (FDIP) Report and Scorecard , which were launched at a Brookings public event in August.
Previous posts have highlighted regional findings from Southeast and Central Asia , the Middle East , and Africa , as well as selected financial inclusion milestones from FDIP countries. Bridging the financial inclusion gender gap. While significant progress has been made in terms of facilitating greater access to and use of financial services among underserved populations, barriers to financial inclusion remain. The global dialogue surrounding the financial inclusion gender gap (referring to the disproportionate exclusion of women from access to and usage of formal financial services) has intensified as key stakeholders—including financial service providers, regulatory bodies, policymakers, civil society entities, and consumers—explore how best to engage prospective women customers in ways that meet the needs of both consumers and providers situated within different market contexts.
Financial Inclusion Targets and Goals. POV Digital Inclusion. L’expérience utilisateur : une nouvelle bataille pour le secteur bancaire // FABERNOVEL. Les portefeuilles virtuels prospèrent là où la bancarisation est faible. Ouverts, semi-fermés ou fermés, les portefeuilles virtuels n’ont pas tous les mêmes caractéristiques, mais du succès dans les pays émergents.
Retour sur les principales initiatives en Inde, Chine, Kenya et Ouganda. Le paiement mobile au point de vente ne fait pas l'unanimité aux États-Unis. Les Américains sont réticents à se servir d'un portefeuille mobile, principalement pour des raisons de sécurité.