Thea forum fiche compl. Sensibiliser par le théâtre-forum. La non violence dans l'éducation : l'exemple d'un cercle restauratif à l'école. Le Système Restauratif sert à : repérer et clarifier ensemble les conditions individuelles et collectives qui permettent d’aborder un conflit et de l’écouter en profondeur,comprendre le sens du conflit et son potentiel d’évolution pour chacun et pour le groupe.
Les cercles restauratifs favorisent l’accueil et l’écoute en profondeur d’un conflit, au sein d’un groupe. On peut lire sur le site www.cerclesrestauratifs.org : « Un Cercle Restauratif est un processus communautaire pour apporter du soutien aux personnes en conflit. Il regroupe les trois parties d’un conflit — ceux qui ont agi, ceux qui sont directement touchés et la communauté élargie — dans un contexte systémique choisi, pour dialoguer d’égal à égal. Les Cercles Restauratifs sont facilités en 3 étapes conçues pour identifier les facteurs clefs du conflit, arriver à des accords sur les prochaines étapes et évaluer les résultats. Pour vous initier à la tenue de Cercles Restauratifs : www.cerclesrestauratifs.org. Compagnie Naje - Nous n’Abandonnerons Jamais l'Espoir. Notre outil est la méthode du Théâtre de l’Opprimé, inventée au Brésil par Augusto Boal dans les années 1960.
L’objectif de la méthode du Théâtre de l’Opprimé est de donner aux citoyens qui veulent exercer davantage leur citoyenneté un outil de parole, mais aussi d’analyse d’une réalité, de construction d’une volonté et de préparation à l’action concrète. Il s’agit dès le début d’une remise en situation dynamique de l’individu et du groupe. Il s’agit de trouver les images qui disent la réalité, donc de décoder cette réalité, de prendre de la distance par rapport au vécu et, d’y saisir les rapports politiques.
Ceci est bien un objectif citoyen : comprendre et savoir comment tout cela fonctionne, trouver quelle est sa place, quels sont ses moyens d’agir sur sa réalité. Arpentage à distance : « La conscience politique » de Geoffroy de Lagasnerie - Université Populaire de Nantes. Mercredi 22 avril 2020 14h-16h30Inscription : A propos du livre La politique est peut-être le domaine de notre existence que nous pensons le plus faussement : nous ne cessons d’utiliser des catégories totalisantes (peuple, volonté générale, souveraineté populaire), des récits mystificateurs (le contrat social, la démocratie délibérative) ou encore des notions abstraites (le législateur, le corps politique, le citoyen) dont nous reconnaissons la plupart du temps le caractère fictif, tout en affirmant la nécessité d’y recourir.
Mais pour quelles raisons faudrait-il adosser la pensée politique à des fictions ? À quoi voulons-nous échapper de cette manière ? Et surtout, que se passe-t-il sitôt que nous rompons avec ces modes de pensée et regardons la réalité telle qu’elle est ? Université Populaire de Nantes - Danielle simmonet "Uber, les salauds et mes ovaires" conférence gesticulée. Discrimination par le langage : une violence méconnue. Franck Lepage : "L'école fabrique des travailleurs adaptables et non des esprits critiques"
Entretien inédit pour le site de Ballast.
Associations dans l'EPLE. Les associations créées au sein des établissements publics locaux d'enseignement (EPLE) ont pour but essentiel de prolonger l'action éducative de l'éducation nationale en développant, entre autres, le sens des responsabilités de l'élève, en faisant de lui un acteur dans la construction de son environnement immédiat.
Ces associations sont un véritable vecteur de l'éducation à la citoyenneté, en permettant aux élèves et étudiants de s'engager dans des projets.Elles permettent la mobilisation autour des valeurs de la République et offrent un prolongement à certaines actions éducatives. C'est pourquoi il est souhaitable que leur action s'articule avec le projet d'établissement et le contrat d'objectifs qui tient compte de celui-ci. Aspects réglementaires Les associations concernant les élèves relèvent toutes de la loi du 1er juillet 1901 relative au contrat d'association. Elles constituent des personnes morales de droit privé, distinctes de l'établissement scolaire. 1. Obligations : 2. 3. Culture/Société de l’information.
Le travail du secteur culture en 2011 a essentiellement été consacré à la redéfinition de la place de la culture dans le projet politique global de la Ligue de l’enseignement.
Éducation populaire. Gabriel GONNET et Jean Marcel KOFFI , Association La Cathode 1.
Le SMAC, une démarche d’ensemble L’expérience du ‘‘Samedi Matin au Collège - SMAC’’ existe depuis maintenant quatre années scolaires au Collège Jean Jaurès à Pantin (Département de la Seine-Saint-Denis, 93). Il s’agit d’un groupe de paroles de parents volontaires qui se retrouvent régulièrement, certains samedis matins, autour de différents thèmes d’intérêt choisis par les parents eux-mêmes. « L’Education Populaire, monsieur, ils n’en ont pas voulu ! »
Par Franck Lepage C’est ce qui m’est arrivé.
Et c’est l’histoire que je vais vous raconter. Quand je dis : « J’ai arrêté de croire à la culture? Investir dans l’éducation, refonder l’Ecole. Certes l’élévation du niveau culturel de notre pays est indéniable.
Mais à quel prix ? Années après années, les rapports officiels, les travaux de recherche et les analyses des acteurs éducatifs se succèdent pour dire la même chose : la cote d’alerte est atteinte, notre système scolaire est injuste car fait pour la moitié des élèves. De l’éducation populaire à la domestication par la « culture », par Franck Lepage (Le Monde diplomatique, mai 2009)
En France, quand on prononce le mot « culture », chacun comprend « art » et plus précisément « art contemporain ».
Le mot Culture, avec son singulier et sa majuscule, suscite une religiosité appuyée sur ce nouveau sacré, l’art, essence supérieure incarnée par quelques individus eux-mêmes touchés par une grâce — les « vrais » artistes. La population, elle, est invitée à contempler le mystère. Entamée dès les années 1960 sous l’égide du ministère des affaires culturelles, la réduction de la culture à l’art représente une catastrophe intellectuelle pour tout homme ou toute femme de progrès. Si « culture » ne veut plus dire qu’« art », alors ni l’action syndicale, ni les luttes des minorités, ni le féminisme, ni l’histoire, ni les métiers, ni la paysannerie, ni l’explication économique, etc., ne font plus partie de la culture.