Watch. ENQUETE FRANCEINFO. Des métiers d'hommes et des métiers de femmes : l'algorithme de Facebook épinglé pour sexisme. Une étude menée dans plusieurs pays européens, dont la France, montre que le ciblage publicitaire opéré par Facebook repose sur des stéréotypes sexistes Une étude menée dans plusieurs pays européens montre comment l'algorithme de Facebook choisit de diffuser des offres d'emplois à ses utilisateurs.
Un ciblage qui repose sur des stéréotypes sexistes. Selon cette étude menée en France, en Espagne, en Suisse, en Pologne et en Allemagne, Facebook cible ses utilisateurs en fonction de critères sexistes qui pourraient être considérés comme discriminatoires. Pépite Sexiste - De la jolie main d'œuvre qualifiée. Actu plus - L'égalité homme/femme dans le monde du travail. Dix phrases sexistes qu’on ne veut plus jamais entendre. Les pires phrases sexistes et mysogines de la politique. Un clip vidéo de l’UNESCO contre les stéréotypes sexistes récompensé par l’Union Européenne. Le vidéo clip musical Ngwazi Zazikazi (qui signifie « championne » ou « héroïne » en langue Chichewa du Malawi), produit par l'UNESCO dans le cadre du projet STEP (Programme de formation technique et professionnelle) conduit au Malawi et financé par l'Union européenne, a remporté le prix EUROPEAID remis par la direction de la Coopération internationale et du développement de l'Union européenne (DEVCO).
Ce prix est attribué à la meilleure activité de communication d'un projet financé par l'Union européenne. L’UNESCO a lancé cette chanson au Malawi à l’occasion des célébrations de la Journée internationale des femmes en 2017, dans le cadre de son programme STEP. Composé par Robert Chiwamba, poète bien connu au Malawi, sur une musique de Sangie, un artiste musical primé, Ngwazi Zazikazi s'est classé numéro un pendant huit semaines en mars et avril 2017 et a fini la chanson numéro cinq de l'année au Malawi en 2017. Cette fausse pub montre l'absurdité des différences de salaires entre hommes et femmes. France 5 - Le monde en face : A quatre mains.
Un garage automobile de femmes démonte les préjugés au Sénégal. Comment déconstruire les stéréotypes pour plus d’égalité hommes-femmes. « La vie est injuste : habituez-vous !
». La première des célèbres « 11 règles de vie qui ne sont pas enseignées à l’école » de Bill Gates résonne chez tout le monde, mais probablement plus chez les femmes que chez les hommes. Selon l’indice Women, Business and the Law de la Banque mondiale, les femmes ne se voient accorder en moyenne que les trois quarts des droits reconnus aux hommes. Cet indice tient compte des différentes étapes de la vie professionnelle d’une femme (du premier emploi jusqu’à la retraite, en passant par le mariage et la maternité) et mesure l’existence d’inégalité entre femmes et hommes pour chacune de ces étapes. Comme illustré sur le graphique ci-dessous, il existe de grandes différences entre les pays. Accorder les mêmes droits aux hommes qu’aux femmes suffit-il à éliminer toute forme de discrimination au travail ? L’ascension sociale des femmes en graphiques.
En 2015, seulement 8 % des filles d’agricultrices exploitantes exercent la même profession que leur mère ; 11 % sont cadres ou appartiennent aux professions intellectuelles supérieures. Deux chiffres qui illustrent, d’une part, la mobilité féminine, d’une génération sur l’autre, dans les catégories socioprofessionnelles (CSP) – 92 % des filles d’agricultrices font autre chose – et, d’autre part, l’amélioration de leur position sociale. Une meilleure position sociale de la fille par rapport à celle de la mère, c’est ce que l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), qui réalise cette étude à partir de la nomenclature socioprofessionnelle (les fameuses CSP), qualifie de « mobilité verticale ascendante » – l’évolution des femmes peut également être descendante, et « non verticale » (cette dernière catégorie regroupe les évolutions non comparables, par exemple une fille de commerçante, statut non salarié, devenant ouvrière qualifiée). Les hôtesses d’accueil, piégées dans la précarité et la féminité par Margot Poulain.
Les hôtesses d’accueil sont souvent réduites à leurs beaux sourires.
Et pourtant. Comme l’a déjà montré Politis (1), leur déconsidération et leur manque de reconnaissance sont de coutume. À travers une sociologie du genre et du travail, Gabrielle Schütz, dans son ouvrage Jeunes, jolies et sous-traitées : les hôtesses d’accueil, montre comment ces nouvelles figures du salariat précaire et essentiellement féminine doivent développer un large panel de compétences pour résister, dans un univers extrêmement exigeant.
À lire aussi >> Hôtesses d’accueil : derrière le sourire, la souffrance. Éviter la sous représentation des femmes en politique ? - SES spé SSP - Terminale - Les Bons Profs. Madame Badinter, allez porter une robe à fleurs à l’Assemblée ! Burkinis, cafés non mixtes, voile à l’université, harcèlement de rue… D’inlassables polémiques ne cessent de faire courir la même petite musique : le problème de la condition des femmes en France, ce serait l’islam ou les étrangers.
Autant de tentatives de dédouaner nos hommes autochtones ou sévissant dans les beaux quartiers. Pendant la primaire de la droite, où il ne fut pas besoin d’un quelconque voile pour souligner la quasi-invisibilité des femmes, ces messieurs ont vanté leurs valeurs laïques et féministes. Pourtant, rien sur l’ingérence politique de mouvements conservateurs comme la Manif pour tous et le très filloniste Sens commun.
Rien sur celle du pape gendarmé contre la théorie du genre à l’école. Rien sur la participation de Jean-Frédéric Poisson à leur compétition, candidat ouvertement opposé au droit à l’avortement. Pendant ce temps, les candidats aux législatives LR outrés contre le harcèlement de rue dans le nord de Paris ne comptent que 39 % de femmes.