Sida : « Pendant mon école d’ingénieurs, je n’ai parlé à personne de ma séropositivité » Témoignage. A l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le sida, Rémy Hamai, 25 ans, raconte au « Monde » son parcours d’étudiant séropositif. Diplômé d’une école d’ingénieurs en travaux publics, il évoque l’impact du VIH sur ses années d’études, entre silence et changement de voie. J’étais très jeune quand j’ai découvert ma séropositivité.
J’ai passé le test à l’âge de 20 ans et reçu le résultat le jour anniversaire de mes 21 ans. J’avais toujours pris très peu de risques, j’avais eu seulement un rapport non protégé, mais inconsciemment je me suis douté du danger. Un étudiant sur deux n’utilise pas de préservatif à chaque rapport sexuel. Masculinité : la campagne #MâleInformé à destination des hommes. Le 28 juin 2018 L’Espace Santé Étudiants de Bordeaux est vraiment une chouette organisation.
C’est un centre de santé ouvert à toute personne faisant ses études supérieures dans l’agglomération bordelaise. Sont disponibles : des médecins, gynéco, assistantes sociales, psychologues, infirmier·es… Un calendrier de l’avent Kama-sutra pour faire de la prévention. Pour préparer Noël, La Mutuelle des étudiants propose de découvrir, derrière chaque case, une position amoureuse, une question et sa réponse, en vue d’une sexualité sans risque.
« Durant mes trois années à l’université, personne ne nous a jamais parlé du sida et des autres IST » Après avoir vu le film « 120 battements par minute », Réda Merida s’est interrogé sur la sensibilisation aux infections sexuellement transmissibles à l’université.
Chronique. Réda Merida, licencié ès sciences politiques et étudiant en Big Data et analyse sociale à Paris, évoque le manque de sensibilisation aux infections sexuellement transmissibles (IST) à l’université. Marion Cazaux, culture queer. École d’ingénieurs : les étudiants LGBT sous pression. Un escalier arc-en-ciel à Rennes 2 pour lutter contre l’homophobie et à la transphobie. (In)attendue - Rennes 1 et le prénom d'usage // Les routes de la Vodka // Européennes 2019 : Le grand débat de la Jeunesse - (In)attendue. Marseille: La plus grande université de France permet désormais aux étudiants trans d'utiliser leur prénom d'usage. L’université d’Aix-Marseille fait partie des rares universités autorisant aux trans le recours à leur prénom d’usage.
Un moyen de réduire les discriminations selon les autorités et la communauté trans. C’est une petite révolution pour ce qui est communément appelée la plus grande université de France, avec plus de 78.000 étudiants répartis sur pas moins de cinq campus. Les universités incitées à reconnaître le nom d’usage des étudiants transgenres. Le Collectif Trans Posé⋅e⋅s a été déconcerté en découvrant dans divers médias que l’université de Tours communique très largement sur ses actions en faveur des personnes transgenres. — Trans Posé⋅e⋅s. Le gouvernement veut autoriser les étudiants transgenres à utiliser leur prénom d’usage. Communiqué de presse du 31 mars 2019 - Association Nationale Transgenre.
Journée internationale de visibilité des personnes transgenres - Ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation. A Nice, les étudiants transgenres peuvent désormais utiliser leur prénom d'usage. Deux étudiants en avaient fait la demande.
A la rentrée 2018/19, le syndicat Solidaires Etudiant-e-s avait alerté le président de l’université sur un incident à la faculté des lettres. Une étudiante transgenre n’avait pu s’inscrire sous son prénom féminin, son changement d’identité n’ayant pas été enregistré en mairie auprès du service de l’état civil. Le président de l’université, Emmanuel Tric, s’était alors engagé à "lever les blocages informatiques et matériels" auxquels se heurtent les étudiants transgenres.
"La décision avait déjà été prise de travailler sur ce sujet-là", précise Sophie Raisin, vice-présidente chargée de la CFVU (commission de la formation et de la vie universitaire). Vote à l’unanimité. L’université, moment de l’émancipation pour des jeunes LGBT+ Montpellier : une semaine de lutte contre l'homophobie à l'Université. Etudiants trans : des universités autorisent l'utilisation du prénom d'usage.
« Il y a un réel manque de données sur la santé des étudiant.e.s LGBTI+ » L'université de Lille reconnaît désormais les prénoms d'usage des étudiants transgenres. GENRE - L'université de Lille fait un grand pas vers la diversité.
Comme le rapporte La Voix du Nord, la faculté est devenue la cinquième française à autoriser ses étudiants à utiliser un prénom différent de leur prénom officiel dans toutes leurs démarches avec l'administration. Une directive annoncée le 27 mars sur leur site qui fait suite à un vote organisé en novembre, avant la fusion de Lille 1, 2, et 3. Elle concerne tous les étudiants "dont le prénom constitue de fait un frein à la poursuite de ses études", précise au HuffPost Emmanuelle Jourdan-Chartier, vice-présidente à la vie étudiante de l'université. Pour éviter toute discrimination, les élèves transgenres (qui s'identifient à un autre genre que celui assigné à leur naissance) ne sont pas spécifiquement mentionnés dans le communiqué, mais la mesure s'inscrit bien dans une démarche d'inclusivité et d'accompagnement chère à l'université lilloise (par exemple, le site est intégralement rédigé en écriture inclusive).
Étudiant trans, ma fac refuse de m’appeler par mon prénom. J’ai commencé à me poser des questions sur mon identité de genre dès mes 13 ans.
Étudiant transgenre, Charly se fait le relais de son université sur les questions de genre. Il VA FAIRE LA UNE.
À 21 ans, Charly, étudiant transgenre, endosse un nouveau rôle. Encouragé par son université, à Tours, il fait désormais office de relais dans son établissement pour aider les jeunes, qui, comme lui autrefois, manquent d’informations sur les questions liées au genre. Charly ne sait pas très bien ce qu’il fera une fois sa licence de psychologie terminée, en 2019. La fac de Tours et les transgenres : c'est compliqué. Cette semaine, l’université François-Rabelais de Tours vit son moment de gloire, à base de harcèlement de la chargée de com et de gros titres de la presse nationale.
La raison ? La fac tourangelle a entrepris des aménagements en faveur de ses étudiants transgenres. Le mouvement Sens Commun n’est pas le bienvenu à Sciences Po - Le Figaro Etudiant. L’université de Tours va s’équiper de toilettes pour les étudiants transgenres - Le Figaro Etudiant. Université Grenoble Alpes Etudiants transgenres (juillet 2017) Transgender Professor Wins Civil Rights Case Against University. Like many states, Oklahoma doesn't specifically protect transgender people from discrimination.
But a jury recently agreed with what many have been saying for years: By protecting people from sex-based discrimination in workplaces, housing, and other areas, federal and state laws also protect transgender people. According to BuzzFeed News, a jury found that professor Rachel Tudor had been discriminated against by Southeastern Oklahoma State University because she is transgender. The jury found the university had denied Rachel tenure because of her gender and that she faced retaliation after complaining about workplace discrimination. Rachel's win came after the Justice Department, under President Obama, had sued the university. But under President Trump, the Justice Department decided to settle the case instead of proceeding with the suit. Act'ULB.