La transformation digitale des entreprises, une évolution inévitable. Stéphane Roder, CEO de AI Builders, estime que la crise sanitaire a rendu inévitable la transformation digitale des entreprises.
Le Covid a mis en lumière le caractère Darwinien de la transformation digitale pour les entreprises. Pour la première fois dans l'histoire de l'évolution de l'industrie un élément exogène les a contraintes à un saut quantique dans leur maturité vis-à-vis de leur environnement économique, technologique et concurrentiel. C'est la pression dont elles avaient besoin pour comprendre qu'elles devaient se transformer pour s'adapter ou accepter de disparaitre. Au final, cette crise aura été un véritable crash test pour les process existants et même les habitudes de travail. Autant il était possible de s'accommoder de leurs défauts en les intégrant comme un mal nécessaire, autant cette crise a montré qu'il fallait avoir transformé les plus cruciaux d'entre eux pour espérer survivre voire même sortir gagnant. Transformation numérique : la patience est la clé de la réussite. Selon une enquête de PwC, il existe un écart entre ce que les entreprises attendent de leurs efforts de transformation numérique et ce qu'elles obtiennent réellement.
Organisation du travail : les cinq nouvelles tendances de demain. La digitalisation des entreprises a profondément modifié la représentation que nous avions de l'espace de travail.
Aujourd'hui, une véritable transformation du bureau traditionnel s'est opérée pour s'adapter aux nouveaux usages professionnels et répondre à trois principaux besoins : augmenter la flexibilité, renforcer la collaboration et optimiser la connectivité. Découvrez cinq tendances émergentes en termes d'organisation d'espace de travail qui pourraient se généraliser dans les années à venir. La révolution numérique, presqu'aussi importante que celle de l'invention de l'imprimerie, est une véritable mutation qui impacte profondément notre société et ses comportements. Associée aux exigences de développement durable, elle bouscule l'organisation spatiale et temporelle. D’autres plateformes sont possibles : la piste coopérative. Fortement plébiscitées depuis leur apparition à la fin des années 2000, les plates-formes dites collaboratives suscitent aujourd’hui de nombreuses critiques qui conduisent certains de leurs utilisateurs à l’action collective.
Les préoccupations sont croissantes concernant l’utilisation des données personnelles, mais aussi l’éthique des algorithmes. Outre leur fonctionnement technologique, c’est tout le modèle socio-économique des plates-formes qui fait débat. Censées générer de la valeur pour leurs utilisateurs en organisant des transactions en pair à pair, certaines plates-formes dominantes extraient des rentes conséquentes de leur position d’intermédiaire. Concr3de veut imprimer en 3D les gargouilles endommagées de Notre-Dame.
Tesla rappelle aux employés qui font fuiter des informations qu'ils risquent très gros. Dans un mail interne (qui a paradoxalement fuité), Tesla a rappelé que les employés responsables de «leaks » risquent d'être renvoyés mais aussi poursuivis en justice.
Tesla n’apprécie pas du tout que des informations internes sortent de l’entreprise. Dans un nouveau mail confidentiel envoyé à tous les salariés que CNBC a pu consulter, le fabricant automobile a rappelé que « chacun a la responsabilité de protéger toutes les informations et technologies » créées par l’entreprise. Le mail, partagé ce 4 mai 2019 par The Next Web en entier, est assez large pour inclure à la fois les employés qui parlent aux médias, mais aussi ceux qui seraient tentés de communiquer des informations à des concurrents de Tesla. « Les sollicitations [que vous recevez] peuvent non seulement être dommageables pour notre entreprise mais elles peuvent aussi être illégales, vous mettre en danger d’être renvoyés, vous et vos collègues et amis.
Renvoi, dommages et intérêts et même poursuites judiciaires. Services numériques : face à la concurrence, Ekino mise sur le management participatif. Créée en 2009 et rachetée par le groupe Havas depuis 2015, l'agence de services numériques Ekino (350 salariés, 26 M€ de chiffre d'affaires en 2017) a décidé d'ouvrir un bureau à Bordeaux dès le mois de juin 2016.
Sébastien Collery, 32 ans, entré chez Ekino comme stagiaire en 2009, est aujourd'hui le directeur de l'antenne bordelaise et de ses 42 salariés. Dans un entretien avec La Tribune, il revient sur le développement d'Ekino à Bordeaux dans un contexte toujours plus concurrentiel et sur les méthodes de management participatif mises en avant par l'entreprise. La Tribune : Pourquoi Ekino, dont le siège est à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine), a décidé d'ouvrir son second bureau français à Bordeaux dès 2016 ?
Sébastien Collery : "Nous avons pris la décision fin 2015 parce que nous avions senti que beaucoup de choses bougeaient dans le bon sens à Bordeaux avec le chantier Euratlantique, l'arrivée prévue de la LGV, le projet de Cité numérique, etc. Agile, Lean Management, quelle méthode pour l'innovation ? Le Lean Management peut être défini comme un mode d'organisation de la production qui s'attache tant à l'optimisation des processus qu'à la production aux meilleurs coûts, qualités et délais, par le biais de la standardisation, de l'amélioration continue et du flux tendu.
Inspiré des méthodes de management utilisées par l'entreprise Toyota au Japon au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, le Lean Management a connu une diffusion avec la publication aux Etats-Unis de plusieurs livres consacrés, notamment "The Machine That changed the World "(1991) basé sur une étude du MIT dans le secteur automobile. Par la suite, Le Lean Management a subi des déclinaisons dans des secteurs variés (industrie, services). Au cœur du Lean Management, 3 objectifs clés : zéro délai, zéro stock, zéro défaut. Les méthodes Agiles, quant à elles, apparaissent en 1986 avec un ouvrage intitulé "The new new product development game".
Pourquoi les entreprises de la tech n'inspirent plus confiance. Une plate-forme collaborative pour manager l'innovation, Aide à l'innovation.