69,3 millions de $ l'œuvre numérique. Un NFT (Non-Fugible Token) a été vendu pour la somme de 69,3 millions de dollars lors d'une vente aux enchères.
Réalisée par l'artiste américain Beeple, cette oeuvre d'Art entièrement numérique vient de battre un nouveau record. Mark Rothko, si simple, si compliqué. Maitre de l'abstraction, Mark Rothko aura pendant plus de trois décennies marqué l'histoire de la peinture d'une empreinte exigeante, mystérieuse et éclatante, comme ses toiles, habiles assemblages de couleurs éblouissantes et de vides lumineux. Une fin au goût d'inachevé Alors que l'année 1970 vient à peine d'écrire ses premières pages, une ligne est déjà assombrie par la disparition d'un homme que rien ne prédestinait à une telle immortalité sociale. Au petit matin du 25 février, dans la minuscule cuisine de son atelier de Madison Avenue à New York, Mark Rothko se donne la mort en ingurgitant des barbituriques, mais également en s'ouvrant les veines des deux bras.
Georges Mathieu redevient tendance. Il fallait oser.
Le 3 décembre, Christie’s avait mis en jaquette de son catalogue d’art d’après-guerre une grande toile de Georges Mathieu (1921-2012), Hugues de Payens fonde l’ordre du Temple, audacieusement évaluée de 800 000 à 1,2 million d’euros. Estimation trop gourmande : l’œuvre a plafonné à 730 000 euros. C’est décevant, mais il s’agit néanmoins de son troisième meilleur prix aux enchères. « On aurait sans doute obtenu un meilleur résultat avec une mise à prix moindre, admet Paul Nyzam, spécialiste chez Christie’s.
Mais il y a encore trois ans, un tel tableau se serait vendu autour de 300 000-400 000 euros. » Le même jour, Artcurial cédait sans coup férir 20 œuvres tardives et très répétitives du peintre, toutes issues d’une même collection. On revient toutefois de loin. Article réservé à nos abonnés Lire aussi En 2019, un marché de l’art en demi-teinte. Ai Weiwei: «Je suis très sceptique devant la vie» Ai Weiwei fait partie de ces artistes si connus qu’on en oublie leur œuvre.
Son activisme et son travail d’artiste sont difficilement dissociables: depuis les années 2000, il met sa notoriété planétaire au service d’une contestation féroce du régime chinois. L’exposition qui ouvre ce vendredi à Lausanne prend cependant le parti de privilégier une approche sculpturale, quitte à mettre en sourdine la figure publique de l’activiste. Une année de discussions entre Bernard Fibicher, directeur du Musée cantonal des beaux-arts, et l’artiste a abouti à la sélection d’une quarantaine d’œuvres ainsi qu’à un principe de dissémination qui entraîne dans une déambulation à travers les cinq musées et la bibliothèque du Palais de Rumine. Damien Hirst: génie de l'art contemporain ou simple businessman ? Anna Zhilyaeva, l'artiste VR qui peint sous Tilt Brush.
Les bons outils ne sont rien sans les bons ouvriers dit l’adage, tout comme les bons pinceaux ne font pas à eux seuls les belles toiles.
Anna Zhilyaeva est une jeune artiste russe qui a préféré troquer les boites de peinture à l’huile pour des manettes VR, un casque VR HTC Vive et le logiciel Tilt Brush. Et sa capacité à tirer le meilleur de ces outils technologique est indéniable, comme en témoignent les vidéos où elle réalise des tableaux « VR » sur des thèmes et avec des styles très différents. Plus étonnant sans doute est la vitesse avec laquelle Zhilyaeva réalise ses oeuvres virtuelles; le geste est sûr, gage sans doute d’une technique de dessin « classique » au départ. L’artiste russe a même déjà participé à des sessions live très médiatisées; ces « performances » hors norme démontrent en tout cas que les possibilités de le réalité virtuelle s’étendent désormais dans tous les secteurs, y compris la création artistique.
Signaler une erreur dans le texte Intéressant ? Takashi Murakami, artiste peintre et sculpteur. L’ascension de cet artiste contemporain est fulgurante.
Né en 1962 à Tokyo au Japon. Très jeune, Takashi Murakami baigne dans les mangas et rêve déjà de réaliser des dessins animés. Après ses études aux Beaux-Arts et musique de Tokyo, Takashi Murakami se lance dans l’art contemporain avec l’aide de son ami Masato Nakamura. Il intègre naturellement le courant pop et obtient une bourse en 1994 (Asian Cultural Council) qui lui permet de participer à l’International Studio Program à New York où il s’installe un an. Dès son retour au Japon, il crée sa propre entreprise Hiropon Factory, véritable studio de production qui deviendra la fameuse Kaikai Kiki Co. Takashi Murakami se dit héritier du Pop art américain comme les artistes Andy Warhol, Keith Haring, et Jeff Koons mais revendique une autonomie de l’art japonais face au modèle occidental, il mélange des éléments et des références tirés du monde des médias des sociétés de consommation américaine et japonaise.
Robert Mapplethorpe. Mapplethorpe, c'est un peu comme Araki : la réputation précède le parcours et le commun ne retient que les images de sexe, les nus provocants.