Sartre. L’utilitarisme moral. L’utilitarisme a été fondé par l’anglais Jérémy Bentham.
Très populaire et aujourd’hui sans doute dominant, cette philosophie morale vise à rendre accessible le bonheur. Il part du simple constat que le souci brutal et irréfléchi du plaisir conduit souvent à des actions immorales mais se solde aussi par plus de souffrances que de joies. Il faut donc, pour servir son intérêt et son plaisir, réflechir et calculer son intérêt. C’est la fameuse “arithmétique des plaisirs” qui intervient alors. Pour faire son bilan moral, il faut littéralement “calculer” les plaisirs sur toutes leurs dimensions : Par le calcul des plaisirs, Bentham montre que les vertus traditionnelles donnent des plaisirs plus purs, plus durables, plus féconds, plus étendus que les vices opposés. Cette arithmétique repose sur le postulat contestable que “le bonheur est la plus grande somme de plaisir diminuée de la plus petite somme de douleurs dans une existence complète”.
Logos, pathos et ethos - Aristote. John Locke: théorie de la tabula rasa. L’une des tâches principales de la philosophie est d’enquêter sur la nature de l’être humain, en particulier en ce qui concerne sa vie mentale.
De quelle manière pensons-nous et faisons-nous l'expérience de la réalité? Au dix-septième siècle, le débat sur cette question a eu deux côtés opposés: les rationalistes et les empiristes. L'un des penseurs les plus importants du groupe des empiristes était John Locke, philosophe anglais qui a jeté les bases de la conception mécaniste de l'être humain. Dans cet article, nous verrons quelles étaient les approches générales de sa philosophie et de sa théorie de la tabula rasa. Article connexe: "En quoi la psychologie et la philosophie sont-elles semblables?
" Qui était John Locke? John Locke est né en 1632 dans une Angleterre qui avait déjà commencé à développer une discipline philosophique distincte de la religion et de la bible. D'autre part, le jeune Locke s'intéressait également à la politique et à la philosophie. 1. 2. 3. 4. Popper: falsifiabilité scientifique. Karl Popper nous invite à distinguer une réfutabilité scientifique, d'une réfutabilité plus commune, puisque tout être humain utilise des énoncés réfutables, dans la vie courante, et en dehors de tout cadre scientifique.
Par exemple, si Sigmund Freud a pu prétendre "réfuter" certaines de ses assertions, il ne peut avoir été "plus poppérien que Popper", étant donné qu'il affirma lui-même dès les premières pages de son "Introduction à la psychanalyse" que : « La conversation qui constitue le traitement psychanalytique ne supporte pas d'auditeurs ; elle ne se prête pas à la démonstration.
On peut naturellement, au cours d'une leçon de psychiatrie, présenter aux élèves un neurasthénique ou un hystérique qui exprimera ses plaintes et racontera ses symptômes. Mais ce sera tout. Vous ne pouvez donc pas assister en auditeurs à un traitement psychanalytique. Examen des affirmations précédentes de Sigmund Freud. Par conséquent, affirmer que : La réfutabilité. 1. 2. 3. Page 9 : Pages 10 - 11 : Je est un autre. Bonsoir, Nous avons terminé notre parcours des rapports entre le sujet et autrui en interrogeant l'Autre en Moi.
En quel sens puis-je dire que je suis autre que ce que je suis ? Pour répondre à cette question très philosophique, nous sommes partis de la formule bien connue de Rimabud : "Je est un autre" (Lettre à Georges Izambard, 13 mai 1871). Arthur Rimbaud (au centre, évidemment) Lorsque Rimbaud dit : "Je est un autre", on peut l'interpréter de trois façons (complémentaires). a) Le sujet humain (le "Je") ne se limite pas au "moi" conscient. Dédoublement, d'Antoine Le Grand. Craintes et tremblements. Amoralisme. Manges (avec) lesriches !
L'amoralisme, antonyme de moralisme, est une doctrine qui préconise l'ignorance de la morale[1]. Elle complète le point de vue moral, à savoir les notions du bien et du mal, par le neutre ou la logique "indécidable" montrée par Kurt Gödel[2],[3]. Cette doctrine rejette la morale courante[4] ; elle prône l'ignorance complète d'intentions morales[5] et la croyance que la théorie de la moralité est immatérielle. Par exemple, la science ou la vie organique sont amorales[6]. Paradoxalement, la dimension "neutre" de l'amoralisme réside dans le refus de porter un jugement sur la nature morale ou immorale d'un fait. Définition Bien que souvent associée à l'immoralisme qui est couramment opposé à la moralité, l'amoralisme ne considère pas l'existence de la morale comme plausible.
Cette absence d'éthique signifie souvent le refus des normes sur le Bien et généralement des normes esthétiques sur le Beau[7],[8]. Approche philosophique Approche naturaliste Approche économique. L'intellect Agent. La notion d' intellect agent vient d'Aristote, dans son traité De l'âme, III, 5 : c'est la fonction de connaissance qui produit les intelligibles (noêta), les réalités pensées (dont Dieu) : il permet la saisie de l'intelligible, du pensable, comme la lumière permet la saisie du visible, du perçu.
Cependant - et là commencent les problèmes d'interprétation - il semble transcendant, il paraît échapper à notre pensée consciente d'homme, aux images, au corps, car il est "séparé, impassible et sans mélange", toujours en acte, "seul immortel et éternel", et il vient du dehors dans le corps du foetus.