L'inclusivité à outrance est discriminatoire. Depuis quelques temps apparaît sur nos murs, sur Internet, un terme somme toute particulier, le mot « fxmmes », ou « femmes* ».
Ce terme, qui se veut inclusif, est de plus en plus en vogue dans les milieux féministes, et en particulier dans les mouvements de collages contre les féminicides. Créer un ministère des Droits des hommes. Nombreux sont les hommes, aujourd’hui, qui rencontrent de grandes difficultés et qui pourtant n’osent pas demander d’aide, sachant que la conception même de la virilité s’inscrit en porte-à-faux avec la notion de vulnérabilité.
Il est donc grand-temps d’intervenir en créant une institution adaptée à leurs problèmes, d’autant que si des services sociaux ont été mis en place pour les femmes, ils font par contre singulièrement défaut pour les hommes, en dehors de ceux qui concernent l’emploi. Mélanie Gourarier : «La masculinité contemporaine, c’est se gouverner soi-même pour mieux gouverner les autres» Speed dating, coaching en séduction : pour sa thèse de doctorat, la jeune anthropologue Mélanie Gourarier a arpenté le terrain intime des recompositions masculines.
Autour du mal-être et du déclin supposé du premier sexe, des consultants et coachs ont investi le champ de la séduction dispensant techniques de drague et recettes pour ego meurtri. La séduction, comme arme de reconquête du masculin ? Loin d’être anecdotique, ce coaching pour séducteurs montre que la «maison des hommes», cet entre-soi masculin qui entretient et renforce les hiérarchies sexuelles et de pouvoir, est loin d’avoir disparu. En crise, le masculin ? Pas vraiment affirme Mélanie Gourarier dans Alpha mâle (sous-titré : Séduire les femmes pour s’apprécier entre hommes) qu’elle publie ce jeudi au Seuil.
"Je ne suis pas un homme" : du bon usage d'une panique par Daniel Schneidermann. Devenir végane pour résister aux normes sexuelles. I'm not a cisboy: Le privilège binaire n'existe pas. La Cour de cassation validera-t-elle le “troisième genre” ? (20+) Une fraternité très masculine. Identités en questions « ptilou42. Ces derniers temps, j’ai vu passer pas mal de choses autour des définitions des identités non-binaires et des orientations asexuelles et aromantiques.
Dont pas mal de choses assez problématiques. Je pense que la pensée politique se développe par l’analyse et la critique. Ce disclaimer étant posé, je propose de faire une liste de trucs plus ou moins problématiques que j’ai vu passer. La théorie (critique) du genre existe. Les manuels français enseignent-ils la «théorie du genre» - BuzzFeed News. « Et qui va faire la vaisselle, on fait des manifestations » FRC - like being very clear, when i asked Patricia Hill Collins about the co-opting of her terms and the use of white feminisms use of intersectionality as a feminist theory she had CHOICE words. The gender unicorn. Embauche-t-on les femmes quand ça va mal ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Mathilde Damgé Mercredi 13 juillet, ce sont deux femmes qui pourraient s’adjuger des places de premier plan dans l’arène politique britannique : la conservatrice Theresa May (dont l’unique concurrente était une femme) au poste de premier ministre et Angela Eagle, qui a déclaré vouloir prendre la tête du parti travailliste.
Lire aussi : Guerre des chefs au Labour britannique Le contexte mondial lui-même semble porteur. Aux Etats-Unis, la course présidentielle américaine est fortement marquée par la présence de la candidate démocrate Hillary Clinton. Et dans l’espace européen, l’influence d’Angela Merkel, la chancelière allemande, se fait toujours sentir. Mais cette arrivée réalisée ou pressentie de femmes à des postes politiques décisifs pourrait être moins le signe d’une promotion que d’une situation de crise. Prise de risque plus grande pour les femmes Obligation de réussir Rupture avec le modèle dominant. Parlons de droits plutôt que de choix.
Il existe une tendance, dans le féminisme contemporain, à parler des revendications féministes – et donc à les justifier – en termes de choix.
C’est mon ressenti – Raymond, reviens, t'as oublié tes chiens ! Je fréquentais des milieux “underground” à une époque.
Un ensemble de métalleux-es, gothiques, nerds, autant de gens qui se mettaient volontairement dans une position de relative marginalité par rapport à la société. Ces groupes n’avaient ni ambition ni revendication politique, ils étaient constitués de fait par des gens partageant les mêmes hobbies et goûts. L’un des éléments marquants pour moi de ces milieux, c’est qu’il y avait toujours une sorte de code permettant de s’identifier. Un code qui n’avait pas de sens dans la société, parfaitement incompréhensible aux béotiens, mais qui permettait de s’identifier auprès des membres de la communauté. Par exemple “Moi je suis plutôt Debian Sage/KDE/vim”, ou encore “Je suis plutôt Viking/Thrash/Doom”. Dans certains milieux féministes/queer, en ligne ou hors-ligne, j’ai l’impression que le genre et la sexualité deviennent de tels élément d’identification.
A butch lesbian rejects a non-binary identity. Photo by Theo Wargo/Getty Images.