Filament d'ABS phosphorescent qui brille la nuit. Imprimer des objets 3D avec de la cire. Un nouveau type de matière première va bientôt être démocratisé : la cire.
C’est aujourd’hui Sculpteo, jeune société française spécialiste de l’impression 3D, qui dévoile cette technologie. Car si la cire existe depuis fort longtemps, il a fallu adapter la formule pour l’utiliser dans le processus d’impression en 3D. La cire est connue pour fondre à partir d’une certaine température et permet donc des possibilités encore impossibles avec les différents plastiques. Avec un point de fusion supérieur à 100°C, ce polymère autorise des formes nouvelles et donc la création d’objets encore plus farfelus. G3DP : de l'impression 3D avec du verre en fusion. Le verre est sans conteste l’un des matériaux les plus anciens mais aussi les plus utilisés.
Il peut être soufflé, moulé, formé, et à présent imprimé en 3D, comme on peut le découvrir durant cette vidéo du MIT. L’impression 3D ne cesse de se perfectionner pour nous emmener vers des possibilités dont nous ne faisons qu’effleurer toute l’ampleur. Qu’il s’agisse d’encre à base de graphène, d’impression 3D en couleurs hautement réaliste ou d’impression en continu à grande vitesse, les innovations se multiplient. Si le plastique et le métal sont les matières premières les plus employées pour créer toutes sortes d’objets – jusqu’à une voiture en 3D –, de nombreux travaux sont menés pour tester d’autres matériaux. Ainsi, une équipe du Mediated Matter Group au Massachusetts Institute of Technology (MIT) vient-elle de présenter une étonnante imprimante 3D qui fonctionne avec du verre fondu. L'extrusion du verre, une technique vieille de 4.500 ans Des améliorations à apporter Sur le même sujet. Les meilleurs filaments PLA pour imprimer en 3D.
A l’image des imprimantes 3D personnelles qui ces dernières années ont déferlé en masse sur le marché, on assiste aujourd’hui à une véritable avalanche de nouveaux matériaux.
En effet, suite à l’expiration du brevet clef de Stratasys sur le FDM en 2009, le marché des imprimantes 3D à extrusion a explosé tirant derrière lui celui des filaments plastiques. Représentant 250 millions de dollars en 2014 pour 64% du marché, ces matériaux devraient même dépasser les 600 millions € en 2019. Une situation qui a débouché sur une offre exhaustive de filaments, et plus particulièrement sur le PLA, le matériau le plus utilisé par les imprimantes 3D et particulièrement prisé par les makers. Difficile donc de s’y retrouver pour les utilisateurs, l’offre multiple et la qualité des filaments pouvant varier beaucoup d’un fournisseur à un autre… Fort de ce constat, la start-up française 3D Matter a mené une étude comparative pour mettre en évidence les meilleurs PLA et visant à améliorer ces matériaux. Logiciel PreForm — Formlabs. Du filament à base de chanvre et de tagua biodégradable et abordable.
Il existe déjà une grande variété de filaments sur le marché dont les 2 plus répandus sont à base d’ABS et de PLA.
Ce dernier matériau, le PLA, est très populaire en raison de ses propriétés biodégradables. Si vous êtes fan du PLA pour cette raison alors voici une nouvelle qui devrait vous réjouir : deux nouveaux filaments biodégradables à un prix abordable seront prochainement commercialisés. Développés par le studio de création MatterLab basé à Brooklyn, ces nouveaux filaments sont fabriqués à base de produits naturels. Tout en restant discret sur leurs nouveaux produits, les fondateurs de Matterlab, Robert Cicetti et Gabriela Trueba, ont déclaré que les deux filaments sont constitués de 20% de PLA et le reste à partir de tagua ou de chanvre. Le chanvre, quant à lui, est plus connu en Occident grâce à une sous-espèce célèbre, le cannabis. Nous vous tiendrons informé dès que nous en saurons plus. Les matériaux d'impression 3D : un marché d'un milliard de dollars en 2019 - 3Dnatives. Le cabinet d’études Markets & Markets publie une nouvelle analyse sur le secteur des matériaux d’impression 3D où l’on apprend qu’il devrait atteindre plus de 1,052 milliards de dollars en 2019.
Le rapport étudie le marché lié aux différents types de matériaux disponibles à l’heure actuelle : Plastiques (photo-polymères, ABS, PLA, Nylon et autres), Métaux (Acier, Argent, Aluminium, etc…), Céramiques (Verre, Silica, Quartz et autres) mais également d’autres matériaux comme la Cire, le Laywood (mix de plastique et bois) et des matériaux hybrides, en analysant le marché par secteur et par zone géographique. Les matériaux plastiques représenteront environ 64% du marché en 2019 Globalement, l’industrie des matériaux devrait augmenter au rythme annuel de 20.4% selon Markets & Markets, soit un marché actuel estimé à 400 millions de dollars. Jelwek, un projet de montres imprimées en 3D voit le jour sur Indiegogo - 3Dnatives. Jelwek Watch est un tout nouveau projet de montres imprimées en 3D, imaginé par une jeune équipe d’ingénieurs basés en Pologne.
En cours de financement sur la plateforme Indiegogo, la collection Jelwek propose 2 modèles de montres au style minimaliste et fabriquées à partir d’un filament d’impression 3D combinant bois et plastique. La montre Jelwek sera proposée en 2 coloris Pour la réalisation d’une montre, trois heures d’impression et deux heures de montage sont nécessaires aux équipes de Jelwek, un temps assez faible lorsque l’on voit la qualité du résultat. Colorfabb lance l'impression 3D à base de bronze et de bambou - 3Dnatives. ColorFabb est un startup hollandaise née il y a un peu plus d’un an et qui s’est fait connaître pour la qualité de ses consommables pour imprimantes 3D.
Elle a notamment mis au point son propre filament à base de PLA et PHA, deux plastiques d’origine végétale, permettant d’obtenir un filament plus robuste et moins cassant, dans une large palette de couleur (plus de 29 coloris au total). ColorFabb a également développé des filaments plus exotiques comme le WoodFill, composé à 70% de PLA et 30% de fibres de bois, ou bien le filament XT, un plastique translucide, très solide et par dessus tout « FDA approved », c’est à dire qu’il peut être mis en contact avec des aliments et qu’il ne contient pas de bisphénol. Aujourd’hui, la société annonce tester deux nouveaux matériaux, le BronzeFill et le BambooFill, avant leur lancement officiel en Juin prochain. Imprimer en 3D à base de paille pourrait coûter deux fois moins cher - 3Dnatives. Non il ne s’agit pas de la paille pour siffler votre soda préféré mais bien de la paille de céréales, comme la paille de blé, d’orge ou de riz.
Et c’est une compagnie chinoise, Jiangsu Jinghe Hi-Tech, qui annonce avoir développé un procédé pour transformer les récoltes de paille en filament d’impression. La technique consiste à broyer la paille en morceaux de 1,5 à 2mm et à la mixer avec différents additifs dont du polypropylène, du silane et de l’éthylène bisstéaramide. Ce mélange est alors extrudé sous forme de granules plastiques et in fine sous forme de filament pour imprimante 3D. La compagnie indique que les granules peuvent être également utilisées pour le moulage par injection. Les premiers tests d’impression montrent une finition propre, une couleur proche du bois et une bonne solidité des objets imprimés. Les granules plastiques. Imprimer en 3D à partir d'algues, c'est green et c'est français ! - 3Dnatives. En collaboration avec Algopack, le FabShop a créé le SWF, dit « SeaWeed filament ».
Un nouveau filament pour imprimante 3D à base de soja - 3Dnatives. FilaSoy est un filament écologique et recyclable pour imprimante 3D, développé par 3 étudiants de l’université de Purdue, aux US.
Comme son nom l’indique, le filament comprend dans sa composition du soja, à hauteur de 20 à 25%, et sera prochainement commercialisé par la startup S3D Innovations, créée pour l’occasion par Nicole Raley, Carmen Valverde-Paniagua et Yanssen Tandy, les trois amis à l’origine du projet. Le filament FilaSoy est composé à 20-25% de soja La petite équipe a récemment remporté un prix de $20,000 dans le cadre du Student Soybean Product Innovation Contest, un concours de la meilleure innovation autour du soja. Le filament FilaSoy est un dérivé du PLA, un thermoplastique d’origine végétale (maïs, amidon, tapioca et sucre de canne) largement utilisé dans l’impression 3D maison, auquel ils ont rajouté du soja.
L'impression 3D à base de coquilles d'huître, une initiative française ! - 3Dnatives. Au fil des mois, de nombreuses initiatives ont vu le jour afin de développer des matériaux d’impression 3D toujours plus propres conçus en respect avec l’environnement. The Plastic Bank dévoilait ainsi avoir mis au point le premier filament pour imprimante 3D issu de déchets plastiques recyclés en juin dernier. L'impression 3D métal bientôt plus accessible grâce au Selective Inhibition Sintering. L’impression 3D métal est le secteur de l’impression 3D qui semble avoir le plus le vent en poupe. C’est en effet la technologie d’impression 3D qui permet de produire de façon évidente des pièces à forte valeur ajoutée dans un matériau intéressant les industries de pointe.
L’impression 3D de plastiques haute performance est également de ce point de vue très intéressante. Ce sont aujourd’hui les deux principales technologies permettant d’avoir des pièces utilisables dans des produits finis, utilisées par les industriels. Les applications à ce jour de l’impression 3D métal sont principalement à trouver dans l’aérospatiale, l’aéronautique ou encore la médecine. La principale raison à un essor encore limité est le prix des machines. L'impression 3D à partir de noix de coco s'invite chez vous.
Groupe Gorge : Impression 3D: Prodways présentera deux nouveaux matériaux dotés de la technologie Somos® à EuroMold.