Facebook utilise des stéréotypes sexistes pour cibler les internautes. Chauffeur poids-lourds est un métier d'homme, et éducateur de jeunes enfants un métier de femme : c'est sur cette base que l'algorithme de Facebook cible les internautes pour afficher des publicités pour des offres d'emploi à ses utilisateurs dans plusieurs pays européens.
Les plateformes en ligne proposent aux annonceurs publicitaires un ciblage très fin des internautes afin que les publicités qui s’affichent sur leurs écrans correspondent le mieux possible à leur profil. Les géants du numérique utilisent pour cela des algorithmes très puissants, mais totalement opaques. Grâce à des fonds récoltés auprès de Journalismfund.eu, l'organisation à but non lucratif AlgorithmWatch a lancé une étude, en partenariat avec plusieurs médias européens dont la cellule investigation de Radio France, et la Radio télévision suisse (RTS), afin d’observer le fonctionnement des algorithmes de Facebook et Google.
Une approche basée sur des stéréotypes La reproduction du passé et de ses biais. A Year of Google & Apple Maps. The park above (Patricia’s Green) is the centerpiece of a vibrant and trendy neighborhood in central San Francisco, just blocks away from City Hall.
And San Francisco, of course, is Apple’s and Google’s backyard – if there’s anywhere each map is at its best, it’s likely San Francisco.2 But here’s what’s most surprising – In my Cartography Comparison last year, I wrote: According to Google Analytics, that essay has received more than 1,000 hits from computers on Apple’s corporate network, mainly Apple’s Sunnyvale and Cupertino campuses. Yet nearly a year later, Patricia’s Green still isn’t green. Then again, Apple’s primary data provider, TomTom, is also missing these details: Réseaux sociaux : pourquoi sommes nous constamment indigné ? Sur les réseaux ou dans les médias mainstream, nous vivons dans un état d’indignation générale.
Pour le philosophe Laurent De Sutter l’enjeu de ce scandale permanent est moins politique qu’identitaire. À la fin de l’année 2018, le twittos ernst burgler publiait un fichier montrant 365 jours d'indignations et de débats stériles qui avaient secoué Twitter. Addicted to Screens? That’s Really a You Problem.
Nir Eyal does not for a second regret writing Silicon Valley’s tech engagement how-to, “Hooked: How to Build Habit-Forming Products,” even as he now has a new book out on how to free ourselves of that same addiction.
In his original manual for building enthralling smartphone apps, Mr. Eyal laid out the tricks “to subtly encourage customer behavior” and “bring users back again and again.” He toured tech companies speaking about the Hook Model, his four-step plan to grab and keep people with enticements like variable rewards, or pleasures that come at unpredictable intervals. Se priver de Facebook une semaine vous rendrait moins déprimé mais limiterait votre accès à l'information. Envie d'une digital detox ?
Des chercheurs ont observé l'effet d'une privation de Facebook pendant une semaine sur des étudiants. Les conclusions sont édifiantes. Quitter Facebook est plus dur que ce que l'on pourrait penser. Alors que les réseaux sociaux ont pris une place très importante dans le quotidien de la majorité des internautes, la tendance est à la baisse de la consommation et du temps d’écran, du moins dans les discours. On n’a jamais autant parlé de digital detox et de pause numérique. Avant le début de l’expérience, les étudiants choisis passaient près de 2 heures en moyenne sur Facebook chaque jour. 15 à 30 minutes étaient consacrées à la consommation d’informations. Enfin, la troisième conclusion montre l’aspect addictif de Facebook. Recevez par email toute l’actualité du digital. Sur Google, on clique sur les résultats dans moins de 50% des cas. Le cap des 50% a été franchi pour la première fois en juin 2019 : moins d'une recherche Google sur deux est suivie d'un clic sur les résultats.
En juin 2019, plus d'une requête Google sur deux n'a pas été suivie d'un clic sur un résultat. Crédits : Rand Fishkin, SparkToro, données Jumpshot. (42) YouTube Algorithms: How To Avoid the Rabbit Hole. Un projet de loi US veut bannir l'autoplay et le scroll infini pour rendre les médias sociaux moins addictifs. Le SMART act souhaite interdire les fonctionnalités addictives sur les réseaux sociaux.
Si l’idée peut faire sourire, elle n’en reste pas moins sérieuse. Josh Harley, sénateur du Missouri, a déposé un projet de loi visant à combattre les fonctionnalités les plus addictives des médias sociaux. Répondant notamment à de nombreux échos au sujet des pratiques des réseaux sociaux, il explique que « l’industrie tech a adopté un business model de la dépendance.
Trop d’innovations dans ce milieu sont conçues non pas pour créer de meilleurs produits, mais pour capter plus d’attention en utilisant des ruses psychologiques qui rendent difficile de détourner le regard. » Parmi les propositions mentionnées par Josh Harley, citons : L’interdiction des pratiques les plus addictives, comme l’autoplay, le scroll infini, les « achievements » et récompenses comme le Snapstreak.Le consentement devrait être plus présent, et non pas rendu difficile à exprimer. Recevez par email toute l’actualité du digital. Les Echos – Dans la jungle d'Amazon. 1.
L'e-commerce Le commerce en ligne est l'activité historique d'Amazon, celle pour laquelle l'entreprise est connue dans le monde entier. Lancée en 1995 comme simple librairie en ligne, la plateforme Amazon.com offre désormais une diversité infinie de biens physiques et numériques. Plus de 300 millions d'utilisateurs s'y connectent chaque mois, un total seulement dépassé par le chinois Alibaba.
« Les moteurs de recommandation font plus qu’influencer nos choix : ils modifient nos goûts ! » Processus algorithmiques : risque de manipulation des comportements sociaux et politiques - News. Amazon Is Working on a Device That Can Read Human Emotions. L'intelligence artificielle de Persado trouve les mots pour vous faire acheter. Imaginez un vendeur dont le discours, à toute épreuve, réussirait à vous pousser à l'achat. Le tout grâce à un discours extrêmement bien rôdé. Flippant ? C'est pourtant la promesse de Persado, dont l'algorithme réussit à adapter le message publicitaire au client.
Vous pensez pouvoir y résister ? On le sait : certains messages publicitaires sont plus efficaces que d'autres. . « L’intelligence artificielle que nous développons permet à nos clients de trouver les mots, mais aussi le bon format et la bonne photo, qui raisonnent chez leurs clients, et suscitent une action, généralement l’achat », résume Hani Ramzi, directeur France de l’entreprise.