La publicité digitale capterait moins l'attention que les autres médias. L’indice Alpha, ou la revanche des médias traditionnels. La publicité en ligne est désormais en pôle position des investissements publicitaires. Pourtant le digital ne parvient pas à capter l’attention de son auditoire, contrairement aux autres médias comme la TV ou la radio. C’est le constat de l’étude My Media sur la mesure de l’attention « Alpha ». Marketing local : les tendances et les priorités 2019. Le mobile capte 58% des investissements publicitaires digitaux. Pour la dixième année consécutive, le SRI présente les résultats de son baromètre de la publicité digitale, en association avec PWC et l’Udecam.
Malgré l’introduction du RGPD et quelques incidents tels que le « DBM gate », le marché publicitaire digital affiche une très forte croissance de 17% en 2018 (+12% en 2017) pour atteindre désormais plus de 4,9 milliards d’euros, ce qui place le digital (34,5% des investissements), devant la TV (27,2%), la presse (17,5%) ou l’affichage (9,8%). Dans le détail, le marché reste dominé par le « Search », en croissance de +11% à 2275 M€, mais dont la part de marché relative recule à 44%, en raison de la forte croissance du display. Search : les 7 tendances work in progress. Il n’existe pas de « meilleure façon » d’appréhender le SEA en 2019, mais les annonceurs devraient avoir à leur disposition bon nombre de possibilités, de plateformes et de formats à explorer pour définir quels leviers leur permettent le mieux d’atteindre leurs objectifs de croissance. 7 pistes à suivre.
En 2018, le Search a été bercé par l'innovation, avec la naissance d’une pluie de nouveaux formats et fonctionnalités pour le plus grand plaisir des annonceurs. Google de son côté n’était pas en reste, avec de nombreuses mises à jour sur sa plateforme comme son changement d’interface, ou encore plus historiquement son nom de marque, passant ainsi de Google AdWords à Google Ads. Mais quelles sont les tendances Search incontournables qui se profilent déjà en ce premier trimestre 2019 ? 1. Les prévisions d’investissements publicitaires en 2019. Selon les prévisions, les dépenses publicitaires de 2019 connaîtront une croissance plus faible qu’en 2018.
La croissance ralentit donc, mais les budgets continuent à augmenter, pour la 10ème année consécutive. Une augmentation des dépenses pour la 10ème année consécutive Trois groupes ont publié leurs prévisions publicitaires pour l’année 2019 : GroupM, Magna Global et Zenith. Soft power : l’arme fatale des marques irrésistibles ? Le soft power qu’est-ce que c’est ?
Le contraire du Hard power pourrait-on résumer un peu vite… ou, au bas mot, son complément. En gros, si le hard valorise les actions coup de poing – militaire par exemple quand il s’agit d’un État – le soft lui se veut être plus diffus. Comment les marques font-elles pour attirer l'attention des clients ?
La bataille de l’attention fait rage et à l’ère du tout numérique, il semble que nous n’ayons plus le temps – ou la capacité – à voir ce qui nous entoure.
Première victime collatérale : la publicité, qui doit rivaliser d’ingéniosité pour se faire remarquer. Le plus souvent, d’ailleurs, elle cherche à se déguiser : brand content ou brand publishing, la pub fait tout pour ne plus ressembler à de la pub, surtout sur internet. Mais IRL, c’est tout aussi compliqué de sortir du lot. La marque américaine Fruit of the Loom a fait le choix inverse. Consciente que les New-Yorkais ne remarquent plus les 4×3 qui envahissent l’espace urbain, elle a caché à différents endroits de la ville des liasses de 1 851$ (clin d’œil à l’histoire de la marque, qui a été créée en 1851). Pourquoi Marcel veur changer de nom.
Du 24 au 26 mai 2018, fidèle au poste comme l’année dernière, Marcel investit l’emplacement G38 du salon VivaTech, juste en face de Microsoft.
Seule agence créative présente Porte de Versailles, la filiale de Publicis y fera son show trois jours durant sous la bannière « Human after all ». À l’heure où le salon grouille déjà de « techos », de « startuppeurs » et de « disrupteurs » en tout genre, l’agence joue les fauteurs de trouble et se donne pour mission de dérider un peu tout ce petit monde. Elle rappelle notamment que la tech ne vaut pas grand-chose sans quelques têtes bien faites et que l’on peut rire de tout, des Hommes aussi bien que des machines. La nostalgie des marques, une émotion au cur des réseaux sociaux. Interdits aux plus de trente ans ?
Les réseaux sociaux, un temps fréquentés surtout par les jeunes, attirent désormais dans leurs rets l’ensemble des générations. À tout âge, on surfe, on poste, on tweete. Et de plus en plus souvent, curieusement, de ces échanges électroniques ultra-rapides, émane un entêtant parfum de nostalgie.