Outils Google. Danah boyd : Vivre avec, dans et autour de l’information. La lecture de la semaine il s’agit d’un texte de danah boyd signalé par un auditeur fidèle de l’émission Régis Barondeau que je remercie à cette occasion.
Je parle souvent de danah boyd ethnographe américaine spécialisée dans l’étude des réseaux sociaux et particulièrement dans l’usage qu’en font les jeunes Américains. Dans ce texte, qui date de 2009, danah boyd étend son champ d’intérêt. Son objet est ici d’interroger une notion qu’elle appelle le flow qu’on pourrait traduire par le « flux »», et les conséquences de cette injonction à être dans le flux. Mais ce qui est plus intéressant encore dans ce texte, c’est, me semble-t-il, son caractère très critique. Une critique de l’intérieur, qui provient d’une des analystes les plus fines des nouveaux médias. Danah boyd commence par noter qu’être dans « le flux » est l’attitude qui convient, l’attitude qui est en adéquation avec un paysage de l’information qui est dessiné par les réseaux. Le bilan est sombre. Big Data : la nécessité d’un débat.
Il nous a semblé intéressant de traduire, de façon collaborative (via Framapad), l’essai original que viennent de publier danah boyd et Kate Crawford présentant « Six provocations au sujet du phénomène des Big Data ».Ces chercheuses, orientées vers l’ethnographie des usages des technologies de communication, s’interrogent – en toute connaissance de cause [cf. cette étude sur les tweets des révolutions tunisiennes et égyptiennes à laquelle a participé danah boyd]- sur les limites épistémologiques, méthodologiques, mais aussi éthiques des Big Data : champ d’études qui s’ouvre aujourd’hui sur la base des énormes jeux de données que fournit internet, en particulier celles générées par l’activité des usagers des sites de réseaux sociaux, que seuls des systèmes informatiques ont la capacité de collecter et de traiter.
Danah boyd : Ce qu’implique de vivre dans un monde de flux. A la Web 2.0 Expo qui se tenait mi-novembre à New York, la sociologue danah boyd a, comme à son habitude, fait une brillante présentation sur les conséquences qu’il y a à vivre dans un monde de flux, notamment en commençant à en dresser la liste des limites.
Explorons dans ses pas – partiellement, mais fidèlement -, son « Streams of Content, Limited Attention : The Flow of Information through Social Media » (Flux de contenus, attention limitée : le flot d’information dans les médias sociaux). Image : danah boyd sur scène à la Web 2.0 Expo à New York en novembre 2009, photographiée par James Duncan Davidson. Danah boyd : pourquoi avons-nous peur des médias sociaux. A l’occasion de la conférence SXSW qui se tenait mi-mars à Austin, Texas, la sociologue de Microsoft, danah boyd, a donné une très intéressante conférence sur « le pouvoir de la peur chez les publics en réseaux » dont elle a publié le transcript sur son site.
Son intérêt pour cette question, comme elle l’explique, vient du fait qu’elle travaille particulièrement sur les cultures adolescentes et les rapports des jeunes aux nouvelles technologies (voir les nombreux articles que nous avons consacré aux travaux de cette chercheuse). Dans ce cadre, elle observe notamment l’intimidation en ligne et est souvent confrontée aux problèmes que les jeunes rencontrent via les réseaux sociaux.
L’occasion de revenir avec elle sur comment les médias en réseaux favorisent nos angoisses et comment pouvons-nous les combattre. Pour danah boyd, si l’on suit une suite de causes à effets, les choses sont assez simples. Danah boyd. Futuribles. Pour penser et agir autrement : La prospective. Une nouvelle vision du monde : La transdisciplinarité. 0 processo de declínio das civilizações é extremamente complexo e suas raízes estão mergulhadas na mais completa obscuridade.
É claro que podemos encontrar várias explicações e racionalizações superficiais sem conseguir dissipar o sentimento de um irracional atuando no próprio cerne deste processo. Os atores de determinada civilização, das grandes massas aos grandes lideres, mesmo tendo alguma consciência do processo de declínio, parecem impotentes para impedir a queda de sua civilização. Joël de Rosnay - Le Carrefour du Futur - Site Officiel de Joël de Rosnay. Joël de Rosnay. Nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Les Nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives (NBIC) désignent un champ scientifique multidisciplinaire qui se situe au carrefour des nanotechnologies (N), des biotechnologies (B), de l'intelligence artificielle (I) et des sciences cognitives (C)[1]. Certains utilisent la notion de « grande convergence » pour souligner l’interconnexion croissante entre « l'infiniment petit (N), la fabrication du vivant (B), les machines pensantes (I) et l'étude du cerveau humain (C) »[2]. Prospective[modifier | modifier le code] Dans le domaine médical et de l'informatique, un des défis que les NBIC cherchent à relever est d'acquérir l'autonomie par la commande directe du cerveau, assisté par des électrodes externes ou internes qui éviteraient la nécessité de passer par un clavier ou un système de reconnaissance des gestes, mouvements d'yeux, etc pour communiquer avec des systèmes informatisés.