Il détourne les publicités sexistes des années 50 en inversant les rôles. Originaire du Liban, Eli Rezkallah est un artiste qui s’amuse à détourner les publicités sexistes et vintages des années 1950.
Malgré les stéréotypes et les inégalités qui subsistent encore, l’image de la femme a bien évolué au fil des années. En 1950, il n’était pas choquant de voir la femme représentée, dans des publicités et autres, par une mère de famille affairée à s’occuper de la maison toute la journée, de son homme, de ses enfants et de sa petite cuisine… avec un beau sourire en prime. Même si les mentalités ont bien évolué depuis (et heureusement), il reste encore des pays où la femme n’est hélas pas perçue comme l’égale de l’homme. Et si on changeait la mentalité grâce à la pub ? C’est tout le sujet du projet créatif entreprise par Eli Rezkallah, un artiste originaire de Beyrouth au Liban, qui a eu l’idée de détourner les pubs sexistes des années 50. Imaginé par : Eli Rezkalla Source : boredpanda.com. Lettres : Débattre en classe sur la grammaire sexiste ?
L'illustratrice Élise Gravel déconstruit tous les stéréotypes de genre chez les enfants. STÉRÉOTYPES - Oui, les petits garçons peuvent s'émouvoir, pleurer et être coquets.
Non, les petites filles ne se soucient pas que de leur apparence, ne sont pas toujours sages et peuvent devenir des meneuses. En fait, chacun peut être ce qu'il veut. Voilà ce que tient à rappeler l'illustratrice jeunesse Montréalaise, Élise Gravel, dans ses dessins qui déconstruisent les clichés. Cette artiste engagée a posté ce lundi 15 janvier sur sa page Facebook une affiche brisant les stéréotypes de genre. Femmes violées. L’avocate nantaise répond à Catherine Millet. Matilda, plateforme vidéo éducative sur l'égalité des sexes. Jeux vidéo : « Peu à peu, on s’éloigne du fameux principe de la Schtroumpfette » Pour la chercheuse Marion Coville, la multiplication des héroïnes dans l’industrie du jeu vidéo est un signe positif.
Mais il s’inscrit dans un contexte de recul des droits des femmes. LE MONDE | • Mis à jour le | Propos recueillis par William Audureau Marion Coville est chercheuse associée en sciences de l’information et de la communication à l’université Paris-I Panthéon-Sorbonne et présidente de l’OMNSH (Observatoire des mondes numériques en sciences humaines, structure réunissant des chercheurs en jeux vidéo). Après la sortie le 22 août sur PlayStation 4 d’Uncharted: The Lost Legacy, premier épisode de cette série de jeu d’aventures majeur à mettre en scène deux héroïnes modernes, elle livre au Monde son analyse de l’évolution de la représentation des femmes dans les jeux vidéo.
Lire aussi : De Lara Croft à Chloe Frazer, les héroïnes de jeux d’action à l’école du féminisme « Il y a eu une prise de conscience » Cela ne veut pas pour autant dire que la situation est idyllique. Petite et grande histoire du féminisme en bande dessinée. Éliminer les obstacles à l’éducation des filles. Ronde, petite ou grande, la poupée Barbie va (enfin) changer. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Nicole Vulser Après la Black Barbie, lancée avec sa coupe afro dans les années 1980, le fabricant américain de jouets Mattel brise un tabou en annonçant, jeudi 28 janvier, de multiples déclinaisons de sa Barbie.
Elle ne sera plus seulement incroyablement longiligne comme aujourd’hui, mais également commercialisée dans trois nouvelles versions : « ronde », « petite » ou « grande ». Qui plus est, cette poupée, qui aura les honneurs d’une exposition au Musée des arts décoratifs, à Paris, à partir du 10 mars, sera déclinée en sept types de couleurs de peau différentes. « Barbie est le reflet du monde que les jeunes filles voient autour d’elles », a expliqué Richard Dickson, le PDG de Mattel. Il était temps. Lire aussi Barbie fait sa crise de la cinquantaine « Refléter une vue plus large de la beauté » Mattel s’est surtout fait souffler, en décembre 2015, l’énorme contrat des licences Disney par son compétiteur Hasbro. Comment les jouets fabriquent des destinées et assignent les garçons à la domination. Pour beaucoup, Noël appelle la magie et la fête.
Mais le père Noël apporte aussi au pied du sapin son lot de préjugés, présents dans la majorité des jouets. Si en 1968 Barbie parlait pour la première fois et déclarait “comme j’aime être mannequin !” , les temps ne semblent guère avoir changé depuis. Dans les magasins de jouets, nombreux sont les rayons réservés soit aux garçons, soit aux filles, affichant alors sans complexe dînette, balai et maquillage. Afin de sensibiliser le public et l’industrie du jouet aux sexisme dans les jouets, deux associations féministes (Osez le féminisme !
“On construit des filles et des garçons” L'hebdo Lettres : Quand des collégiens font des selfies pédagogiques. Collectif des créatrices de bande dessinée contre le sexisme. L'histoire des droits de la femme. Plus Belle la vie : les relations hommes/femmes - Plus belle la vie... Un dispositif de débat philosophique sur les rapports hommes/femmes Dès l'école primaire, les enseignants peuvent proposer à leurs élèves des débats sur des questions philosophiques et citoyennes.
Les ateliers de philosophie sont en totale cohérence avec les objectifs du socle commun. Les enseignants de différentes disciplines peuvent travailler ensemble à la mise en place de ces moments de débats et de réflexion collective.