Le leurre écologique des semences pour "prairies fleuries" " Un panaché de couleur dans votre jardin, plus de biodiversité !
" indique la boîte de semences " prairie fleurie, pour papillons et abeilles " de chez AVEVE. Le genre de packaging que l’on retrouve dans la plupart des grandes surfaces de jardinage ou de bricolage. En bonne âme et conscience, vous achetez ce petit concentré de fleurs " idéales pour papillons et abeilles ", mais est-ce vraiment un acte écologique ? Ce n’est pas l’avis de Jean-Benoît Ducarme, chef de cultures au Centre Technique Horticole de Gembloux : " Dans ce genre de mélange, ce sont des semences de plantes qui ont été sélectionnées pour faciliter la floraison. 10 arbres mellifères. Le potentiel mellifère de certains arbres permet d'aider les abeilles à trouver suffisamment de pollen et de nectar pour se nourrir durant toute leur saison d'activité.
Plantez ces arbres dans votre jardin, pour aider ces insectes essentiels à l'équilibre de la Nature. L'aulne glutineux : bel arbre appréciant les sols très humides et les bords de cours d'eau, l'aulne glutineux fleurit dès fin janvier dans les régions les plus douces. Il produit des chatons allongés vert/jaunâtre très appréciés par les abeilles sortant de leur dormance. Plantes attractives abeilles (juin 2017) Dix arbres mellifères à planter pour les abeilles (ép. 1) Pour que vos abeilles aient suffisamment de nourriture tout au long de la saison apicole, implantez votre rucher à proximité d'espèces qui présentent le meilleur potentiel de pollen et de nectar.
Vous souhaitez créer un rucher dans votre jardin ou vous avez trouvé un emplacement pour héberger votre colonie d’abeilles... Avant de vous décider, prenez le temps d’inventorier votre environnement végétal, pour savoir si celui-ci va fournir à votre ruche, du printemps à l'automne, suffisamment de nectar, pollen et miellat.Parmi les 4500 plantes à fleurs que comporte la flore de nos régions, environ 450 sont en effet considérées comme mellifères et constituent une source de nourriture non négligeable pour les abeilles.
Parmi ces espèces, préférez celles qui présentent les meilleurs potentiels nectarifères et pollinifères. Abréviations employées :Syndicat des apiculteurs de Thann : lettre T.Centre horticole de Gembloux: lettre G.Guide Delachaux: lettre D. Saule marsault Cerisier-merisier. Dix arbustes mellifères à planter pour les abeilles (ép. 2) Pour que vos abeilles aient suffisamment de nourriture tout au long de la saison apicole, implantez votre rucher à proximité d'espèces qui présentent le meilleur potentiel de pollen et de nectar.
Il est indispensable de fournir aux abeilles – et aux abeilles solitaires – un environnement le plus diversifié possible, afin qu’elles puissent se nourrir et demeurer en bonne santé. Selon le site du Cari, consacré à l’apiculture wallone et bruxelloise, une colonie d’abeilles a en effet besoin, à chaque saison, de plus ou moins 140 kg de nectar et 20 kg de pollen.Choisissez donc des arbres, des arbustes et des fleurs (billet à venir) à la floraison la plus étalée possible, au lieu de vous concentrer sur une seule variété ou sur une seule époque. Les avettes doivent avoir à disposition des ressources du printemps jusqu’à l’automne, cette dernière saison étant vitale pour qu’elles puissent bénéficier d’un bon hivernage.
Cornouiller mâle Prunellier Aubépine monogyne Buisson ardent Bourdaine Néflier. Florapis - Recherche participative. Le biotope du Noisetier - le pollen de l'hiver. Le calendrier des fleurs - Cari. En librairie : guide des plantes mellifères. Un nouveau livre très intéressant va trouver sa place dans les bibliothèques des apiculteurs.
Edité par Delachaux et Niestlé, ce guide présente 200 plantes facilement repérables dans notre environnement. Les Saules. Les saules sont des arbres, arbustes et arbrisseaux de la famille des salicacées, que l'on retrouve généralement dans les zones fraiches et humides.
On en connait environ 360 espèces, dont une dizaine à l'état spontané dans nos régions. Le nom latin, Salix, proviendrait de deux racines celtiques sal, "près de", et lis, "eau", illustrant ainsi l'amour de ces plantes pour les zones humides. Le nom français, saule, proviendrait plutôt de l'ancien francique, dérivant lui-même du germanique salχaz. Noisetier commun. Le noisetier est un arbrisseau commun dans les haies, les taillis et les lisières de bois.
La plante est dite monoïque : chaque individu possède des fleurs mâles (chatons, jaunes) et des fleurs femelles (ressemblant à des bourgeons, avec des stigmates rouges) distinctes, mais celles-ci ne s'épanouissent pas en même temps, afin d'éviter l'autofécondation. Les fleurs mâles arrivent à maturité avant les fleurs femelles (on parle de protandrie) et, puisque tous les individus ne fleurissent pas de manière synchrone, le mécanisme permet une pollinisation croisée. Le noisetier et les abeilles Puisqu'ils fleurissent l'hiver, dès la fin décembre parfois (avant même l'apparition des feuilles), on comprend vite que les noisetiers doivent se passer des insectes pollinisateurs comme intermédiaires à leurs amours ; la plante est donc anémophile, c'est-à-dire que le pollen, très abondant, est transporté par le vent.
Plus grosses et plus fermes, les fraises profitent de la pollinisation par les abeilles. TAILLE.
La pollinisation de fraises par les abeilles produit des fruits plus gros, plus rouges et plus fermes, selon une étude publiée mercredi 4 décembre qui tend à démontrer que les bénéfices économiques liés aux abeilles sont encore sous-estimés.