La France dans la mondialisation. Le franc CFA est-il l'arme invisible de la Françafrique ? La France en Opex : 50 ans d’engagement. Franc CFA : pourquoi des pays d’Afrique de l’Ouest n’en voulaient plus. Nicolas Normand - L'Afrique : continent de demain ? - Les Experts du Dessous des Cartes | ARTE. La France est-elle responsable des problèmes de l’Afrique ? - 28 Minutes - ARTE. Nicolas Normand - L'Afrique : continent de demain ? - Les Experts du Dessous des Cartes | ARTE. La langue française dans le monde 2018. Le rayonnement de la culture française : un enjeu de pouvoir ?
Abu Dhabi : le Louvre du désert. Cet article date de plus de six ans. Publié le 07/11/2017 21:14 Mis à jour le 07/11/2017 22:30 Temps de lecture : 1min - vidéo : 4min C'est un peu de notre culture, des trésors de nos plus beaux musées que l'on retrouve sur une ile du golfe persique : le Louvre Abu Dhabi (Émirats Arabes unis) va ouvrir ses portes samedi et sera inauguré demain par Emmanuel Macron. Une ile musée, ancrée dans les eaux turquoise du golfe persique. Protégée par une spectaculaire dentelle d'inox et d'aluminium, aussi lourde que la Tour Eiffel. Il a fallu 7 ans pour faire émerger l'édifice. Partager : l’article sur les réseaux sociaux les mots-clés associés à cet article. Marc Hecker - Terrorisme : la France reste-t-elle une cible ? - Les Experts du Dessous des Cartes.
Opération Barkhane : la France doit-elle se retirer du Sahel ? Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenus personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux. Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois. La France vue de Turquie : "Je t’aime, moi non plus" Le chaud puis le froid, puis le chaud puis le froid. Les relations entre la Turquie et la France sont complexes, anciennes, faites d’un mélange de complicité et de rivalité. Au-delà de son président, la Turquie regarde la France d’un œil à la fois critique et envieux. Il y a là du "Je t’aime moi non plus".
Analyse en cinq points clés : géographie, Histoire, économie, droit et psychologie et sociologie. La géographie La France est regardée par la Turquie comme un pays de taille comparable. Certes, la Turquie est moins riche : son Produit intérieur brut, 700 milliards d’euros, est 4 fois inférieur à celui de la France. Avec une population plus jeune : 2 Turcs sur 3 ont moins de 35 ans. Et puis la Turquie se voit pour ce qu’elle est, une puissance régionale, la puissance régionale de l’Est de la Méditerranée, là où la France est une puissance de l’Ouest de cette même Méditerranée, trait d’union entre les deux pays. L'Histoire La Turquie regarde la France comme un vieil allié. L’économie Le droit. Luxe : un succès à la Française. Cet article date de plus de trois ans. Publié le 22/06/2018 20:59 Mis à jour le 22/06/2018 22:43 Durée de la vidéo : 2 min.
Article rédigé par Le luxe français se porte bien. Il est même devenue une référence dans le monde en atteignant et en conservant une place de leader. Au cœur de Paris, l'avenue Montaigne est le temple du luxe. Chanel, Givenchy, Louis Vuitton et des acheteurs le plus souvent étrangers prêts à dépenser des centaines d'euros pour rapporter un peu de la France et de son image. Les PME sont aujourd'hui devenues des multinationales, sans pour autant renier leurs traditions : toutes appartiennent à de grandes familles. Partager : actualités analyses vidéos Prolongez votre lecture autour de ce sujet tout l'univers Commerce.
Covid-19 : "L'économie française est sous perfusion", affirme l'économiste Daniel Cohen. L'économie française est secouée par des signaux contradictoires. Il y a d'un côté cette crainte de récession et d'un retour à un chômage de masse en raison de la crise du Covid-19 mais la catastrophe n'est pas encore arrivée. Le nombre de défaillances d'entreprises a été moins élevé en 2020 qu'en 2019. "Le sujet, c'est s'assurer que l'économie française reste intacte, prête à rebondir" analyse sur franceinfo l'économiste Daniel Cohen, directeur du département d'Économie de l'École normale supérieure. franceinfo: Comment va notre économie ? Daniel Cohen : Elle est sous perfusion. Elle est sous perfusion des finances publiques. Les deux tiers de la perte de revenu qu'on a observés l'année dernière ont été portés par l'État. Ce choix du "quoi qu'il en coûte", c'était le bon choix ? C'est le seul choix possible à partir du moment où l'État, garant de la santé publique, ordonne à tel ou tel secteur de fermer.
>> Covid-19 : le "quoi qu'il en coûte" continue encore et encore. La dette a doublé. Quand la crise oblige à repenser l’économie avec Robert Boyer. Depuis le début de la crise mondiale de la Covid-19, les questions sur notre avenir économique se multiplient. Les mesures adoptées par la plupart des gouvernements pour endiguer la diffusion du virus ont entraîné un arrêt brutal de pans entiers de la production et de la demande, au nom de la préservation des vies humaines. En dépit des plans de relance, de nombreux observateurs anticipent une sortie de crise difficile pour les économies.
Comment appréhender notre avenir alors que nous sommes encore en pleine pandémie ? Notre modèle économique a-t-il atteint ses limites ? Nous en parlons avec Robert Boyer, économiste au CEPREMAP (Centre pour la recherche économique et ses applications), co-fondateur de l’École de la régulation, et auteur de Les capitalismes à l'épreuve de la pandémie (éd. Robert Boyer Lorsque le plan de relance a été adopté en France, on pensait que l’économie allait reprendre à la fin de l’année 2020. La nouveauté, c’est aussi la synchronisation des économies. Coronavirus : comment entreprises et élus tentent de relocaliser la production en France et en Europe.
"On s'est retrouvés avec un arrêt brutal de pratiquement toutes nos activités. " Philippe Billebault se souvient bien du 12 mars. Emmanuel Macron vient d'annoncer la mise à l'arrêt du pays pour contrer l'épidémie de coronavirus. A Toulouse (Haute-Garonne), le PDG d'Aertec, un sous-traitant dans l'aéronautique, voit arriver la catastrophe. Livraisons suspendues, commandes annulées… La PME de 250 salariés doit "trouver une alternative" pour les mois à venir.
Deux mois plus tard, 30 000 masques lavables par jour sortent de ses ateliers. La crise du Covid-19 a révélé les défaillances tricolores dans la production de certains biens stratégiques et sa dépendance vis-à-vis de l'Asie. On a été victimes, au début des années 2000, de la philosophie des élites françaises : 'On va garder la R&D et on va laisser partir l'industrie en Asie'.Vincent Bedouin, vice-président du Comité stratégique de filière de l'industrie électroniqueà franceinfo Le "monde d'après" sera-t-il synonyme de relocalisation ?
Isabelle Méjean : « On se met à vouloir tout produire en France, mais il y a un coût. Depuis la crise-Covid, tout le monde n'a plus qu'un mot à la bouche, c'est « relocaliser », « relocaliser », « relocaliser ». À tort, selon vous ? À tort, je ne sais pas. Mais j'ai l'impression qu'on entend beaucoup cela sur plein de sujets différents, sans beaucoup de précisions sur ce qu'on veut relocaliser. Mon discours, c'est de dire : on ne relocalise pas la même chose selon les différents objectifs que l'on veut atteindre.
C'est très important de bien préciser quels sont les objectifs visés et, après, de spécifier quels sont les types d'activités que l'on veut localiser ou relocaliser, selon le cas. Dans les débats, on a parlé d'objectifs très nombreux mais qui ne sont pas du tout compatibles les uns avec les autres. Pendant des décennies, la logique était : si je peux fabriquer ailleurs moins cher, je le fais. Non, il faut qu'il y ait un effet massif pour que l'on arrive à ces extrêmes-là, et je ne pense pas qu'on arrivera à un changement complet de modèle. JO 2024 : Le clip présenté par Paris pour convaincre le CIO. Pourquoi la France attire tant les tournages de films étrangers. "Dans son bilan du premier trimestre, le CNC constate une très forte hausse du nombre de projets de tournages dans l'hexagone. L'explication est à trouver dans le renforcement du crédit d'impôt pour les films étrangers entré en vigueur au début de l'année.
" L'attractivité de la France dans le cinéma fait un bond en avant. Sur les trois premiers mois de l'année, le CNC a enregistré 19 projets de films ou de séries étrangères qui seront tournés dans l'hexagone, pour des investissements estimés à 100 millions d'euros. C'est autant que sur l'ensemble de l'année 2015. Simon Tenenbaum édité par P.S. Le rayonnement de la France dans le monde. Magnard – Exercices interactifs.