Appropriation citoyenne : une mode? une nécessité? Appropriation citoyenne : Une mode ?
Une nécessité ? On vit une drôle d’époque… Loin de l’individualisme et du repli sur soi qui la caractérisent parfois, on voit fleurir çà et là des initiatives citoyennes, des collectifs, qui osent le pari d’un nouveau vivre ensemble. Comment expliquer cet élan ? Besoin d’inventer une alternative ? Besoin de recréer du lien, nécessité de reprendre le contrôle de nos propres vies… ? Un permis pour végétaliser Paris – Paris.fr. Vous pouvez demander votre permis de végétaliser.
Depuis le 30 juin 2015, le permis de végétaliser est un nouveau dispositif qui permet à chacun de devenir acteur de la végétalisation de Paris. Jardiner dans les rues de Paris, c'est permis ! Si vous rêvez de devenir le jardinier ou la jardinière de votre quartier, le permis de végétaliser est fait pour vous ! Il vous permet de disposer d’un site de votre choix, et surtout, de vous occuper vous-même de ce petit bout de jardin inédit. Focus et comparaison des Villes en transition. Focus et comparaison des Villes en transition et des Quartiers Durables Citoyens 1.
Introduction Nous vivons depuis quelques années déjà dans une société en forte évolution. Comme le souligne Guy Bajoit [1], notre société évolue d’un modèle culturel industriel vers un modèle culturel post-industriel. Nous produisons beaucoup trop et pour écouler la marchandise, le consommateur lambda s’endette toujours plus, poussé par un matracage publicitaire dont l’unique objectif est de démontrer aux gens qu’ils ont besoin de posséder plus pour être heureux.
Community Land Trust : une solution aux problèmes de logement. Construction, intégration et stockage "Solaire" Avec la 3ème révolution industrielle (*), l'enveloppe des bâtiments (toit/façades) ne se contentera plus d'un rôle de protection mais deviendra un élément actif de la captation de l'énergie solaire et donc de la production d'électricité.
Ce principe de la captation solaire intégrée dans les futures constructions suppose plusieurs aspects, dont : le développement d'une nouvelle architecture et d'un nouvel urbanisme reposant sur la mise en oeuvre de matériaux multifonctionnels actifs (protéger et produire de l'énergie) et recyclables/sur-cyclables; le développement de techniques de stockage d'énergie (ex.: batteries, hydrogène, air comprimé,...) permettant une meilleure autoconsommation énergétique. etc.
Qu'en est-il aujourd'hui de ces développements (expériences/bilan)? Quelles sont leurs perspectives de mise en oeuvre (délais)? Pour vivre heureux, vivons autrement? Chers Greeners, aujourd’hui The Little Green Way va philosopher !!
A l’heure de l’hyper consommation et des innovations technologiques en perpétuelle évolution, partons découvrir d’autres formes de vies, beaucoup plus en lien avec la nature et les richesses qu’elle produit. Vivre sans smartphone, sans hypermarché, sans internet est-il possible ? Se rapprocher des vraies valeurs de la vie, des besoins simples et de la nature reste vraiment une utopie ? Des études ont cherché à expliquer cette différence notoire entre le bonheur perçu dans les pays riches et le bonheur dans les pays pauvres. En effet, cette question a l’air paradoxale pour nous occidentaux, de se dire comment peut-on vivre sans argent mais être heureux ? Auroville. Auroville (« la ville de Sri Aurobindo » mais aussi « la ville de l'Aurore »[1]) est une ville expérimentale située à une dizaine de kilomètres au nord de Pondichéry dans l'État du Tamil Nadu en Inde.
Elle fut créée en 1968 par Mirra Alfassa (Mirra Richard), plus connue sous le nom de la Mère et compagne spirituelle du philosophe indien Sri Aurobindo. Auroville a pour vocation d'être, selon les termes de sa conceptrice, « le lieu d'une vie communautaire universelle, où hommes et femmes apprendraient à vivre en paix, dans une parfaite harmonie, au-delà de toutes croyances, opinions politiques et nationalités[2],[3] ». Un jardin qui soigne, dans une maison de retraite. Gisèle, l’une des trois porteuses du projet, nous raconte l’aventure.
Quand cette maison de retraite a été créée, en 2010, j’avais déjà eu cette idée. Je me disais : « On est dans un milieu rural, enfermer ces personnes alors qu’elles ont pour la plupart toujours vécues à l’extérieur c’est gênant. Certes le lieu est clair et lumineux, mais ce serait formidable d’offrir une ouverture vers un vrai jardin.»
Définition des Tiers Lieux. Cette page doit permettre de faire évoluer la définition encyclopédique des Tiers Lieux sur Wikipédia Né d'une approche sociologique de nos territoires, le concept de "tiers-lieu" se développe en France et dans le monde à grande vitesse.
Ils sont destinés à être des espaces physiques ou virtuels de rencontres entre personnes et compétences variées qui n'ont pas forcément vocation à se croiser. LES VILLES EN MUTATION. GreenPaperEnersol : un bâtiment exemplaire. C’est un trou perdu en Bretagne et vous allez avoir envie d’y vivre. A Trémargat (Côtes-d’Armor), 24 février 2014 - Clément Guillou/Rue89 (De Trémargat, Côtes-d’Armor) A Trémargat, on dit qu’on est « ravitaillés par les corbeaux » et que lorsqu’ils survolent le bourg, c’est sur le dos pour ne pas voir la misère.
Le centre Bretagne – le « Kreiz Breizh » – est le pays le plus pauvre de la péninsule. Il a échappé aux remembrements et conservé ses fossés, ses landes, ses bois. Une zone rurale au possible, où la terre n’est pas bonne à cultiver. Dans ce beau pays de cailloux, il y a 50 ans, on conseillait aux enfants de ne pas rater le train de l’exode rural. Yourtes et tipis reconnus par la loi comme habitats permanents. Le nouveau projet de loi Alur de Cécile Duflot fait entrer l'habitat léger dans les règles d'urbanisme.
Le développement et la diversification des alternatives au logement classique : yourte, tipi, roulotte, mobile home, caravane, etc. rendent aujourd'hui nécessaire de revoir la réglementation. L'installation de ces formes d'habitat mobile ou léger peut poser question du fait d'un cadre juridique inadapté. Par exemple, aujourd'hui, il n'existe pas de réglementation concernant les yourtes.
Ce vide juridique a conduit à une «judiciarisation» des relations entre porteurs de projets et collectivités locales, dont il faut sortir par le haut. Le principe d’une construction bioécologique. Après la construction durable, voici la construction bioécologique. Le terme peut faire sourire, et, pourtant, c’est là l’avenir de la construction durable. Le principe ? Construire une maison à la fois saine pour ses habitants et respectueuse de l’environnement. Qu’est-ce que la construction bioécologique ?