Gard : Le concours de chant du coq, tradition insolite depuis 1988. Politique culturelle:Culture : un système d'asservissement révélé au Conseil départemental 13. Au Conseil départemental 13 et chez les opérateurs culturels qui en dépendent la révolte gronde.
Gros plan sur un système d’asservissement. Les opérateurs culturels dépendent directement et sans filtre des financements publics, globalement en baisse. Une situation délicate qui les amène souvent, lorsqu’ils sont en difficulté, à taire les pressions auxquelles ils sont soumis et dont ils n’ont pas de trace écrite.
La pratique d’un certain chantage tacite n’est pas récente, et les élus ont tendance à utiliser les subventions culturelles pour récompenser ceux qui les servent, confondant leurs intérêts politiciens, c’est-à-dire le fait d’être réélus, et l’intérêt politique, c’est-à-dire les droits culturels de leurs administrés et la santé des professionnels de la culture. Ils incitent donc les opérateurs culturels à participer à leurs opérations de communication. Comment font-ils pour que le financement de fonctionnement des opérateurs culturels bénéficie à leur propre image ?
Un système. (2) La culture comme pétrole. Tribune.
Le Festival d’Avignon vient tout juste de commencer. Il pollue - c’est un fait. C’est presque une signature. SONDAGE - Les Français majoritairement attachés à leurs régions malgré les inégalités sociales et territoriales. Le cabinet d’études Elabe et l'Institut Montaigne publient ce mardi avec franceinfo une enquête sur le moral des Français, région par région, intitulée "La France en morceaux" *.
Services publics, transports en communs, emploi, pouvoir d'achat, équilibre entre vie personnelle et professionnelle, avenir de leur région et du pays : 10.010 personnes ont été interrogées entre le 14 décembre 2018 et le 8 janvier 2019. Voici ce qu'il faut en retenir. Une France divisée en quatre catégories Selon cette enquête, 73% des Français en moyenne se disent heureux mais il existe de fortes disparités selon les régions.
L'étude dresse le portrait d'une France divisée, dans laquelle quatre grands types de trajectoires sociales et territoriales se dessinent : P.-O. : Les nappes phréatiques au plus bas en cette fin d'hiver. Le panorama des industries agroalimentaires. PHOTOS - Plus de 150 arbres plantés contre la ZAC des Sablas. Fusion des régions, les associations d’Occitanie en souffrance. Depuis la mise en œuvre de la réforme territoriale, en 2016, la fusion des régions a entraîné celle de nombreuses associations.
Une redistribution des cartes parfois compliquée et coûteuse, comme en Occitanie. Épuisement lié aux trajets de Montpellier à Toulouse ; surcoûts budgétaires ; réélection de représentant sur fond de tension, non-versement de subventions en guise d’épée de Damoclès… Les nerfs des responsables associatifs, mais aussi des bénévoles, ont été mis à rude épreuve, ces deux dernières années. En Occitanie, cela concerne près d’un million et demi d’habitants engagés. Par voie de circulaire ou de feuille de route, les associations organisées en réseaux régionaux et financées par les services déconcentrés de l’État ont toutes été contraintes à un mariage forcé, afin de coller au redécoupage régional intervenu en 2016.
À lire aussi. Le grand gaspillage de la fusion des régions. Quand on regarde les comptes individuels des régions sur le site des collectivités locales, quelque chose saute aux yeux : les charges de fonctionnement des régions qui ont fusionné ont toutes augmenté entre 2016 et 2017.
Et la région où le coût par habitant est le plus élevé, c’est l’Occitanie. Née de la fusion entre Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées, cette nouvelle région compte aujourd’hui près de 6 millions d’habitants, répartis dans 13 départements. Son siège est situé à Toulouse. Montaren-et-Saint-Médiers : Le CSU alerte la population. L'enquête publique relative à la création de la Zone d'Aménagement Concertée (ZAC) Les Sablas vient de débuter et durera jusqu'au 6 novembre prochain.
Ce projet de ZAC est située à Montaren (lieu-dit la Barralette), en face de la zone d'activité existante et s'étend sur une superficie totale de 10,76 hectares (ha). « L'objectif de l'enquête est de consulter les citoyens au sujet de la construction de la première tranche de la ZAC, d'une superficie de 4,3 ha. Seulement 10 entreprises contrôlent notre alimentation – La Tribune des Pirates. Lorsque l’on fait ses courses au supermarché, notre argent est destiné à l’une des multinationales suivantes : Coca-Cola, Mondelez, Mars, Unilever, Kraft, General Mills, Nestlé, PepsiCo, P&G, Johnson & Johnson, Danone et Kellogg’s.
Pour illustrer ceci, Oxfam International a réalisé une infographie exhaustive qui montre l’emprise qu’ont ces 10 entreprises sur la nourriture que nous consommons. Avec ce graphique, il est possible de faire le lien entre plusieurs marques que l’on croyait indépendantes. Ainsi, la marque Tropicana appartient au groupe PepsiCo, l’eau San Pellegrino appartient à Nestlé, l’eau Evian à Danone, etc… Face à cette mainmise des multinationales sur l’alimentation, Oxfam International conseille : « Les plus grandes entreprises de nourriture et de boissons au monde ont beaucoup de pouvoir, mais vous en avez plus. Par conséquent, il nous est tout à fait possible d’arrêter d’enrichir ces grands groupes.
Visite surprise au Central : une équipe... - Bar le Central Ste Enimie. Les Echos – Audit de la France. Téléphonie mobile 4 G.