Peut-on atteindre l'autonomie alimentaire ? L'autonomie alimentaire est la capacité à générer des revenus suffisants, grâce à l'agriculture et à d'autres activités non agricoles, pour répondre aux besoins alimentaires d'une population.
Comment l'atteindre à une échelle locale ? Avons-nous tous de quoi nous nourrir ? Nourrir 9 milliards d'hommes : le défi de demain. L'agriculture biologique ne peut pas nourrir la planète en l'état - Le Jardin-vivant. L’ingénieur agronome, Joseph Pousset, auteur de plusieurs ouvrages de référence, dont un sur les Agricultures sans herbicides, préfacé par Hubert Reeves et publié en 2003, et un Traité d’Agroécologie publié en 2012, explique dans une interview parue en 2017 dans Ouest-France, qu’en comparant le régime alimentaire d’un Français moyen, chiffres de l’Insee et du ministère de l’Agriculture à l’appui, avec les rendements actuels de l’agriculture biologique, le « bio » pourrait nourrir jusqu’à sept milliards de terriens… mais il remettrait en question l’autonomie alimentaire de la France si nous ne changeons pas notre manière de consommer.
L’autonomie alimentaire mondiale menacée ! L’humanité approchant aujourd’hui les huit milliards de têtes, et, sauf accident, bien décidée à continuer, c’est finalement l’autonomie alimentaire de la planète qui serait menacée par une agriculture biologique mondialisée ! Comment nourrir 10 milliards d’êtres humains ? Cette année, le 8 août, l’humanité a épuisé toutes les ressources renouvelables de la planète et notamment, la nourriture.
C’est le jour du dépassement, un jour qui avance inexorablement, d’année en année, à mesure que la population et ses besoins augmentent. Nous sommes aujourd’hui 7 milliards et demi. Un maïs à 80 €/t de coût de production. Sur des terres marginales, Frédéric Thomas met à profit son expérience des TCS et du semis direct sous couvert pour développer l’agriculture de conservation.
Une agriculture économe et autonome, basée sur trois piliers : le non-labour, la couverture permanente des sols et la rotation. Aujourd’hui, après dix ans, ses résultats le confortent dans la démarche. L’avenir, il en est convaincu, chiffres à l’appui, est à l’agriculture de conservation. Le potentiel initial des terres de l’exploitation de Frédéric Thomas, dans le Loir-et-Cher, ne ferait pas des envieux.
Sables, taux de matières organiques bas et hydromorphie : les voilà résumés. Agriculture bio : suffirait-elle à nourrir la planète ? L'agriculture biologique peut-elle nourrir l'humanité ?
Peut-on se passer d'engrais chimiques ? Certains estiment que les rendements en bio sont insuffisants pour subvenir aux besoins de la planète, qu'en est-il vraiment ? Enfin, la bio peut-elle être appliquée aux pays pauvres ? Éléments de réflexion. Et si l’agriculture pouvait de nouveau être un secteur d’avenir. Chroniques d’experts Innovation Le 29/11/2017.
Un éleveur pratiquant l'agroforesterie : avantages pour les animaux. En Loire-Atlantique, Guillaume Jahan a implanté des arbres dans une prairie pour former des paddocks de 1 ha.
Ce projet avait un objectif avant tout économique avant que l'éleveur ne s'aperçoive des nombreux bienfaits des arbres pour ses animaux et ses pâtures. Cliquez sur la vidéo pour lancer le reportage. En 2017, lors de son installation sur l’exploitation laitière familiale à Sucé-sur-Erdre (Loire-Atlantique), Guillaume Jahan décide de lancer un projet d’agroforesterie. Agroforesterie : cultiver à l’ombre des arbres, quel(s) intérêt(s) ? - CDA - L'agriculture de demain. Qu’est-ce que l’agroforesterie ? L’agroforesterie consiste à associer arbres et cultures au sein d’une même parcelle pour transposer en agriculture, des principes de fonctionnement valables dans une forêt. Pratique longtemps utilisée dans les campagne françaises, elle a été peu à peu abandonnée afin d’utiliser les machines plus facilement sur des parcelles toujours plus grandes.
Agroforesterie en qq mots. Fiche AFAF agroforesterie filiere Bovins. Ch16. Table des matires - Prcdente - Suivante This is the old United Nations University website.
Visit the new site at Activits actuelles en agroforesterie. Valoriser nos arbres et arbustes en alimentation animale : une solution d’avenir ? – PLAT’EAU’SAINTOIS. Pour faire suite à une formation récente sur les fourrages ligneux organisée par Gaïa Formation et l’Association Française d’Agro-Foresterie, la mission eau a souhaité apporter quelques éléments essentiels d’un argumentaire en faveur de la valorisation des arbres et arbustes en alimentation animale.
Pratiquée depuis le néolithique, l’utilisation des fourrages dits ligneux, pour alimenter le bétail est aujourd’hui encore d’actualité sur les 5 continents. En France, les réflexions liées à la transition agro-écologique de l’agriculture et au changement climatique incitent à remettre à l’honneur de telles pratiques. A une période de l’année où la moitié de la surface fourragère n’est plus exploitable, arbres, arbustes et lianes peuvent en effet présenter pour les éleveurs des sources d’alimentation appréciables.