BAC PHILO - 11 La liberté. La Liberté - Philosophie - Terminale. LA LIBERTÉ EST-ELLE UN SUPERPOUVOIR ? - Grain de philo #6. La liberté consiste-t-elle à faire ce qu'il nous plait ? - Philosophie - Terminale - Les Bons Profs. La liberté 4/5: Leibniz. La liberté 3/5: Kant. Liberté chérie ? 2/4 : André Gide, une liberté absolue ? Par Adèle Van Reeth Réalisation: Mydia Portis-Guérin Lectures: Georges Claisse C'est aujourd’hui en plongeant corps et âme dans l’univers sombre, fantasque et philosophique des Caves du Vatican d’André Gide que nous allons nous demander si ce que nous appelons un acte gratuit est l’acte de naissance ou au contraire la fin de la liberté.
Car les Caves du Vatican est sans doute le roman qui nous donne le mieux à voir et à penser la curiosité de l’homme à l’égard de sa propre liberté. La liberté n’est pas un savoir, elle est toujours en acte, sous peine d’être rongée par le doute de son existence. La conscience de sa propre liberté ne dispense jamais de sa mise à l’épreuve, quotidienne s’il le faut, répétitive, au sein de nos actions, aussi infimes soient-elles, comme autant d’éclats transgressifs. Or si à la question « suis-je libre ? Mais dans ce cas, pourquoi ne pas me jeter dans le vide lorsque je sens l’attrait du ravin au sommet d’une montagne ? Liberté chérie ? 3/4 : Il est libre, Marx. Par Adèle Van Reeth Réalisation: Mydia Portis-Guérin Lectures: Georges Claisse c’est aujourd’hui en compagnie d’Aymeric Monville que nous allons réfléchir à l’envers anthropologique de la liberté, l’aliénation, telle qu’elle est décrite et joue un rôle décisif dans les écrits de Karl Marx.
L’aliénation, au sens où l’entend Karl Marx, est la négation du temps de vivre au sein du régime de production capitaliste. Vidé de sa substance, puisqu’il ne fait appel à aucune compétence personnelle, le travail réduit l’homme à être un assistant de machine, un instrument d’instrument. Liberté chérie ? 4/4 : Spinoza et la libre nécessité. Faut-il se libérer des contraintes ? ( 1/4) : faut-il croire à la liberté ? Spinoza et Kant. Par Adèle Van Reeth Réalisation : Somany Na Lectures : Marina Moncade Il y a quelques mois, nous vous avions proposé une semaine sur la liberté, intitulée Liberté chérie, où il était question d'art contemporain, de Spinoza, de Marx et d'André Gide.
Mais de même que le beau n'aurait aucun sens sans la laideur, le bien sans le mal, la liberté n'est chérie que parce qu'elle s'oppose aux expériences de contraintes qui rythment notre vie. Vectrice de création, de perfectionnement, et même de libération, et si la contrainte était la condition d'une vie sans angoisse ni vertige? Demain, nous serons au festival Philosophia de Saint-Emilion pour faire l'expérience paradoxale de la liberté qu'est la marche, entre contrainte physique et génie philosophique, en compagnie de Frédéric Gros. Sartre et la liberté. Aujourd’hui, j’ai le plaisir de recevoir, dans le cadre de la Nuit Sartre, en direct de l’ENS, Juliette Simont, Jean Bourgault, Patrice Maniglier, Aliocha Wald Lasowski.
Sartre et la liberté. Quel programme ! Voilà un énoncé laconique ! Jean-Paul Sartre (1/4) : Le garçon de café : L'Etre et le Néant. § 13, la liberté - Ép. 3/4 - Le Discours de métaphysique de Leibniz. Troisième temps de notre semaine entièrement consacrée au seul Discours de métaphysique de Leibniz.
Aujourd’hui donc, il est temps d’affronter le redoutable problème de la liberté humaine dans un monde qui a été entièrement décidé à l’avance pour nous par Dieu. C’est au paragraphe 13 que se trouve l’essentiel des problèmes soulevés par le statut de la liberté humaine, et pour nous en parler nous avons le plaisir de recevoir Michel Fichant. Références musicales:
Le monde de Schopenhauer Livre II (2/4) : Qu'est-ce que la Volonté ? **** Par Adèle Van Reeth Réalisation: Mydia Portis-Guérin Lectures: Georges Claisse Arthur Schopenhauer, Le monde comme volonté et représentation (1818), livre II, §24 (Gallimard, 2009), p. 288-289.Arthur Schopenhauer, Le monde comme volonté et représentation (1818), livre II, §29 (Gallimard, 2009), p. 352-354.
Délits flagrants, documentaire de Raymond Depardon (1994)Mon oncle d’Amérique, film d’Alain Resnais (1980) Le monde de Schopenhauer Livre IV (4/4) : Comment faire pour ne plus vouloir ? Par Adèle Van Reeth Réalisation :Mydia Portis-Guérin Lectures: Georges Claisse Arthur Schopenhauer, Le Monde comme volonté et comme représentation , trad.
Auguste Burdeau, PUF, Quadrige, Paris, 2009, livre IV, p. 394.Arthur Schopenhauer, Le Monde comme volonté et comme représentation , trad. Auguste Burdeau, PUF, Quadrige, Paris, 2009, livre IV, pp. 476-477. Raphaël Enthoven interviewe Clément Rosset sur Les Vendredis de la philosophie sur France culture, le 3/06/2005Sketch de Desproges intitulé « Je baisse », extrait du spectacle « La Scène » au théâtre Fontaine en février 1984 Mozart, Don Giovanni K 527 Ouverture. Le TTP de Spinoza (3/4) : Quelles conditions pour la liberté d'expression ? L’espoir fait-il vivre? (3/4): Malraux, ou comment échapper à son destin. Quel est le point commun entre Indiana Jones et André Malraux?
Au delà de leur goût pour l'expédition archéologique, tous deux embrassent l'aventure humaine et ses imprévus. Avec le même espoir, nous dit Jean-Claude Larrat: celui d'échapper au destin imposé par la société. Marc Aurèle, « Pensées pour moi-même » - Ép. 3/0 - Les stoïciens. Qu’est-ce que la liberté ? - Ép. 4/4 - Hannah Arendt et La crise de la culture. Hannah Arendt écrit: "Le champ où la liberté a toujours été connue,(...)
,est le domaine politique", et non celui de l'intériorité ou de la volonté.La liberté n'est donc pas de faire ce que je veux, mais de commencer une action avec courage, comme nous l' explique aujourd'hui Etienne Tassin. Semaine en partenariat avec Philosophie Magazine Archives Hannah Arendt : enregistrement de 1974 dans le documentaire de Roger Errera « Un certain regard ». Partie V : De la liberté humaine - Ép. 4/0 - L'Ethique de Spinoza. Miguel de Unamuno ou la question de l'engagement - Ép. 3/0 - Fables et réalités de la philosophie espagnole. Connaissez-vous Miguel de Unamuno ?
L'essayiste qui revendiquait le droit de se contredire, aussi à l'aise parmi les idées qu'un joueur de pelote basque, faisant rebondir les balles à grand bruit ? Le philosophe, qui ne se résolut jamais à prendre parti, mais qui ne s'interdit jamais non plus de faire porter sa voix sur la marée des événements? Figure contradictoire et passionnée, à l'image de nos deux invités, Colette et Jean-Claude Rabaté, qui nous font partager leurs découvertes sur ce grand tragique que fut Unamuno. Comment maîtriser ses passions ? - Ép. 1/4 - Lucrèce, le poète philosophe. Comment atteindre le bonheur ? Il faut déjà postuler, comme les Épicuriens, que le bonheur est possible dès cette vie. Et pour atteindre l'ataraxie, il faut s'éloigner des passions, et en premier lieu de la passion amoureuse, qui nous fait souffrir - qui n'en a jamais fait l'expérience ?
Le texte du jour « Voilà pour nous Vénus, voilà ce qu’on nomme l’amour, voilà cette douceur qu’en nos cœurs goutte à goutte Vénus a distillée, puis vient le froid souci : que l’aimé soit absent, ses images pourtant sont présentes, son nom hante et charme l’oreille. Mais il convient de fuir sans cesse les images, de repousser ce qui peut nourrir notre amour, de tourner ailleurs notre esprit et de jeter en toute autre personne le liquide amassé, au lieu de le garder, au même amour voué, et de nous assurer a peine et la souffrance. Le monde : entre déterminisme et liberté - Ép. 1/0 - La Critique de la raison pure d’Emmanuel Kant. La métaphysique leibnizienne s'en remet à Dieu pour rendre raison d'un monde entièrement contingent ; le déterminisme spinoziste identifie la nature à Dieu et rend tout nécessaire.
Devant les antinomies de la raison, notamment celle de l’origine du monde, Kant sort de son "sommeil dogmatique" et rédige pendant dix ans la Critique de la raison pure. Le texte du jour « En feuilletant rapidement votre livre, je me suis arrêté sur la note de la page 339, contre laquelle il me faut protester. La liberté - Ép. 1/0 - L'idéal républicain. Liberté, égalité, fraternité, laïcité.. Et si ces termes n'étaient que des idéaux ? Et si la république était non pas une réalité, mais un idéal générant la frustration permanente de ne jamais pouvoir l'atteindre ? Liberté, égalité, fraternité, laïcité... personne ne s'accorde sur la définition de ces termes. Faut-il alors renoncer à les définir et se battre pour les faire advenir ? Ou contraire, tenter d'ajuster en permanence une définition provisoire avec un contexte toujours changeant ? Le remords avec Nietzsche - Ép. 3/4 - La philosophie dans tous ses émois. "Le remords est comme la morsure du chien sur la pierre : une bêtise", écrit Nietzsche (Humain trop humain II, paragraphe 38).
Comment comprendre, d'une part, l'inconsistance du remords pour le philosophe à l'esprit libre - celui qui s'est affranchi de l'illusion du libre arbitre ? Le possible et le réel - Ép. 2/4 - Bergson, La pensée et le mouvant. Bergson récuse cette invasion du possible dans le présent. Mais l'enjeu n'est pas seulement une distinction conceptuelle : il s'agit de libérer la liberté. Mais Bergson est aussi le philosophe de la joie : exalter le jaillissement de la créativité humaine, c'est rendre à l'homme sa force et sa joie. Le texte du jour. Prenez-vous en main avec les Stoiciens - Ép. 2/4 - C'est ton destin ! Était-il vrai, de toute éternité, que César se ferait tuer aux Ides de Mars ? Zadig ou la Destinée de Voltaire - Ép. 3/4 - C'est ton destin ! Camus : "consentir, c'est ne pas se résigner" - Ép. 4/4 - Le consentement. Dire oui pour mieux dire non, consentir pour mieux se révolter : c'est une façon de décrire la philosophie d'Albert Camus.
Cette dernière nous accompagne dans ce dernier volet de la série des Chemins de la philosophie portant sur le consentement. Si l'absurde est un événement qui fait de nous des êtres complètement démunis face à la perspective de la mort, comment revenir à la vie et au monde ? Marylin Maeso, enseignante en philosophie, vous raconte cette convalescence et cette renaissance telle que l'a voulue l'intuition camusienne : sous les auspices de la révolte et de l'amour. Le oui chez Camus c'est d'abord un consentement au monde.
Sommes-nous tous de mauvaise foi ? - Ép. 1/4 - Sartre, L’être et le néant. Sommes-nous tous de mauvaise foi ? L’homme est-il condamné à être libre ? - Ép. 2/4 - Sartre, L’être et le néant. Condamnés à être libres, sans rémission, et d'une liberté illimitée ! Telle est l'annonce paradoxale que Sartre nous adresse dans L'Être et le Néant.