Grandes tueuses : Le paludisme. Grandes tueuses : La maladie du sommeil. Norma Andrews (U. Maryland) Part 1: Trypanosoma cruzi and Chagas’ Disease. Oeufs de Schistosoma mansoni dans la paroi intestinale. La Bilharziose intestinale - Cycle évolutif du Schistosoma mansoni - CERIMES. TrypanosomaGambienseInSangHumain DemParasit3 x40. Les trichogrammes. Wasp egg-laying organ inspires new tool to reduce trauma in minimally invasive surgery. By Tayyibah Aziz, science writer.
Actualités scientifiques Prépas : Utilisation de CRISPR-Cas9 pour éradiquer les vecteurs du paludisme. Thème : reproduction, parasite, génie génétiqueFaire des manipulations génétiques sur les animaux en dehors de la recherche fondamentale est souvent mal vu (cas du saumon transgénique par exemple) mais il est un cas où c'est plutôt bien accepté par l'opinion : l'éradication des espèces vecteurs de pathogènes tels que les moustiques du genre Anopheles qui sont des vecteurs du parasite unicellulaire Plasmodium qui cause le paludisme (700.000 morts par an).
Divers stratégies avaient déjà été testées (voir ici par exemple) mais elle s'étaient avérées peu concluantes sur le terrain. Actualités scientifiques Prépas : Le mâle, c'est bien contre le paludisme. Pour CAPES et AgregThèmes : parasitisme, déterminisme génétique du sexe, insectes Comme nous l'a rappelé une polémique récente, l'animal le plus dangereux pour l'Homme n'est pas le requin mais les moustiques du genre Anopheles, vecteurs du parasite unicellulaire qui cause le paludisme, responsable de 700.000 morts par an.
Des chercheurs anglais (article paru dans Nature Communications le 10 juin) ont développé une méthode originale pour diminuer les populations d'Anophèles : ils ont généré une souche de moustiques à 90% mâle en créant une distortion du sex ratio par manipulation génétique. Pour faire cela, ils ont fait exprimer lors de la spermatogénèse dans des moustiques transgéniques une endonucléase appelée I-Ppol qui clive des séquences d'ADN ne se trouvant que sur le chromosome X, ce qui aboutit à générer des gamètes avec un chromosome X coupé en morceaux.
Malaria 'completely stopped' by microbe. Les moustiques du métro de Londres : quel statut taxonomique ? Retour au début Introduction Depuis sa publication en 1999, les résultats de Byrne et Nichols sur les populations de moustiques de Londres ont été abondamment relayés.
Pourtant, certains résultats de cette étude ont été mal compris, et de nouvelles découvertes ont été réalisées depuis. Nous nous proposons d’apporter quelques éclaircissements sur ce cas d’école. Katharine Byrne et Richard A. Les formes molestus et pipiens ne sont pas spécifiques à la ville de Londres mais se retrouvent en Europe, en Afrique du Nord, au Moyen-Orient, aux États-Unis et plus généralement dans toutes les zones tempérées du globe. Culex pipiens Malgré des caractéristiques morphologiques identiques, les formes pipiens et molestus présentent donc d’importantes différences physiologiques et écologiques.
Actualités scientifiques Prépas : L'auxine est nécessaire et suffisante pour induire la formation des structures envahissantes des plantes parasites. Plutôt pour AgregThèmes : parasitisme, hormone végétale Les plantes et les champignons parasites développent un haustorium, un organe qui pénètre dans les tissus de la plante hôte et qui permet d'absorber eau, sels minéraux (et quelque fois nutriments).
Plusieurs équipes de chercheurs travaillent pour comprendre comment cet organe se développe, sachant que c'est bien sûr une étape clé du développement du parasite et que bloquer cet étape pourrait avoir des intérêts importants pour lutter contre les parasites des plantes cultivées. La plupart des plantes de la familles des Orobanchacées sont des parasites qui s'accrochent aux racines d'autres plantes. Les strigas, par exemple, font des ravages dans les cultures notamment de maïs, sorgho, millet, riz et canne à sucre, principalement en Afrique subsaharienne, où elles sont connues sous le nom d'« herbe des sorcières ».
How One Child’s Sickle Cell Mutation Helped Protect the World From Malaria. How malaria boosts its spread : Research Highlights. Bacteria buried in polar snow are busily carrying out the basic processes of life, despite their dry, frigid surroundings.
Microorganisms are known to survive extreme conditions. But there has been debate about whether microbes in polar snow-banks are metabolically active, and so making energy. To gauge microbes’ metabolic capabilities in the field, Kelly Redeker at the University of York, UK, and his colleagues studied patches of snow in the Arctic and Antarctic. They irradiated some of the patches with ultraviolet light, which kills microbes, then sampled the air above both irradiated and untreated snow. The team found that the untreated snow in both locations generated methyl iodide, a gas produced by active bacteria. Levels of these compounds in snow and ice are assumed to mirror pre-industrial levels in the atmosphere, but the new results suggest that biological as well as physical processes need to be taken into account, the authors say. Dramatic evolution within human genome may have been caused by malaria parasite.
A genetic mutation that protects people from a common form of malaria spread like wildfire in sub-Saharan Africa about 42,000 years ago, according to a new study.
Today, it’s nearly impossible to find somebody from this region who doesn’t have it. That makes the mutation one of the swiftest, strongest changes to the human genome yet seen—though it remains a mystery why this particular disease sparked such a dramatic evolutionary response. The world’s most widespread type of human malaria is caused by Plasmodium vivax, a single-celled parasite transmitted by mosquitoes. Although less deadly than other strains, P. vivax malaria remains a disruptive disease: It infected some 16 million people across the globe in 2013. Yet across much of sub-Saharan Africa, P. vivax accounts for fewer than 5% of all reported malaria cases.
Leucochloridium et les escargots.