Un drone filme pour la première fois l'intérieur du réacteur n°5 de Tchernobyl, voici la vidéo. Pour la première fois depuis la plus grave catastrophe nucléaire de l'histoire, des images ont pu être enregistrées à l'intérieur du réacteur n°5 de la centrale de Tchernobyl, en Ukraine.
Ce réacteur était en fin de construction au moment de l'explosion du réacteur n°4, le 26 avril 1986. Le mystère persistait depuis quant à une éventuelle présence de déchets radioactifs dans l'enceinte. L'équipe de démantèlement de la centrale ukrainienne a ainsi fait appel à une entreprise suisse, Flyability, un fabricant de drones spécialisé dans les inspections d'espaces confinés. Son engin, l'Elios 2, est un des rares drones capables d'évoluer dans des espaces intérieurs hors de la vue du pilote. Équipé d'une cage pour parer les collisions, le drone a pu pénétrer dans l'enceinte pour s'assurer qu'elle ne contenait pas d'uranium résiduel. TCHERNOBYL - 30 ans après... Tchernobyl: la météo nationale a-t-elle truqué des cartes en 1986, comme l'affirme Jean-Pierre Pernaut ?
Ce sont des minutes télévisées qui sont restées dans les mémoires.
Nous sommes le 30 avril, JT de 20 heures sur Antenne 2. L'accident nucléaire de Tchernobyl n'a-t-il fait que 130 morts ? Question posée par le 31/05/2019 Bonjour, Le succès de la série Chernobyl, diffusée sur OCS, a relancé l’intérêt du public pour l’accident nucléaire intervenu le 26 avril 1986.
Le 31 mai, Léo Grasset, aussi connu pour sa chaîne YouTube de vulgarisation scientifique DirtyBiology, écrivait dans un tweet, que la catastrophe de Tchernobyl n’avait fait qu’environ trente morts après l’accident et une centaine de cancers thyroïdiens mortels. Soit un bilan faible, par rapport à l’image populaire de l’événement. Le dôme de protection géant de Tchernobyl entame sa mise en place. Découvrez Douga-3, la base militaire secrète de Tchernobyl. Au cœur de la zone d’exclusion qui entoure l’ancienne centrale nucléaire de Tchernobyl, la base militaire secrète soviétique Douga-3 a été laissée à l’abandon.
Les bus de touristes préfèrent se diriger vers les rues désertes de la ville de Pripiat et personne n’ose vraiment s’aventurer dans cet édifice caché dans la forêt irradiée de Tchernobyl. Curieux de voir à quoi pouvait ressembler cette base militaire, Atlas Obscura a décidé de faire le déplacement. La base employait près de 1.500 scientifiques, machinistes, militaires et techniciens avant son abandon précipité, en avril 1986, lors de l’explosion du réacteur n°4 de la centrale nucléaire. Pendant la Guerre froide, le lieu et la nature des activités qui s’y déroulaient ont longtemps été gardés secrets. Sur les cartes, l’endroit était même décrit comme un camp d’été pour enfants.
The Top Secret Military Base Hidden in Chernobyl's Irradiated Forest. Radar antennas at Chernobyl.
The Russian Woodpecker. This article is about the documentary film.
For Soviet radar system near Chernobyl, see Duga radar. The Russian Woodpecker is a 2015 documentary film written, produced and directed by Chad Gracia following Fedor Alexandrovich's investigation into the Chernobyl disaster. It is Gracia's directorial debut feature.[3] The film premiered in the "World Cinema Documentary" competition at 2015 Sundance Film Festival on 24 January 2015[4] and won the World Cinema Documentary Grand Jury Prize at the festival.[5] Synopsis[edit] The films focuses on Fedor Alexandrovich's research into the cause of the Chernobyl nuclear disaster in Ukraine and its potential connection to a Soviet Cold War-era structure, the Duga over-the-horizon radio antenna.
Production[edit] During the production of the film, cinematographer Artem Ryzhykov was injured by sniper fire at Euromaidan and his equipment was destroyed.[6] Two people standing next to him that day were killed at that moment.[7] Pic-vert russe. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Antennes du Douga-3 près de Tchernobyl. L'ensemble de cages coniques sur la droite représente les directeurs alimentés par une ligne symétrique. On aperçoit au centre gauche les fils constituant le réflecteur[1]. Commentaires de Michel Fernex sur le reportage "Tchernobyl, une histoire naturelle" Nous reproduisons ici intégralement un long texte produit par Michel Fernex, professeur honoraire à la faculté de médecine de Bâles, lors de la sortie du reportage « Tchernobyl, une histoire naturelle », diffusé la première fois par Arte en juin 2010 et rediffusé le 21 août 2012. « Pour que le nucléaire prenne un nouvel essor, il faut effacer Tchernobyl.
Déjà en 1958, un groupe d’étude de l’Organisation Mondiale de la santé (OMS Série Rapport Technique 151) prônait l’ignorance pour permettre à l’industrie nucléaire de proliférer sans rencontrer d’opposition dans la population. Pourtant, cette démarche était fondamentalement contraire à la Constitution de l’OMS, qui impose à cette organisation « d’aider à former, parmi les peuples, une opinion publique éclairée » (Documents Fondamentaux OMS Genève). En 1956, les cinq puissances nucléaires installaient l’Agence Internationale de l’Energie Atomique (AIEA) au sommet de la hiérarchie de l’ONU, sous leur surveillance directe. Tchernobyl a-t-il provoqué des cancers en France ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Gary Dagorn Le « nuage radioactif » venu d’Ukraine ne s’est certes pas arrêté à la frontière, comme l’assuraient avec aplomb les autorités françaises dans la foulée de l’accident nucléaire qui secoua l’Europe le 26 avril 1986, mais il n’a eu que peu de conséquence sanitaire, contrairement à la croyance populaire ancrée depuis trente ans.
Pourquoi ? Deux éléments permettent d’expliquer les faibles conséquences sanitaires : le niveau de contamination des sols et de l’air en France et l’amélioration du diagnostic du cancer de la thyroïde. La contamination radioactive en France est restée faible Le survol du nuage radioactif de Tchernobyl du 30 avril au 3 mai a diffusé dans l’air et sur les sols français un certain nombre d’éléments radioactifs tels que l’iode 131 ou le césium 137. La supplication. L'accident de la centrale soviétique Lénine, survenu il y a plus de trente ans, le 26 avril 1986, à Tchernobyl, en Ukraine, a été classé au niveau 7 sur l'échelle internationale des événements nucléaires, comme Fukushima en 2011.
Il a fallu dix-huit jours pour éteindre le coeur du réacteur en fusion. Après les pompiers dépêchés sur le site, quelque deux cent quarante mille ouvriers "liquidateurs" venus de toute l'URSS ont travaillé sans protection adéquate à la décontamination des terrains. Des dizaines de milliers en sont morts, ou sont restés gravement handicapés. The Famous Photo of Chernobyl's Most Dangerous Radioactive Material Was a Selfie. Artur Korneyev, Deputy Director of Shelter Object, viewing the "elephants foot" lava flow at Chernobyl, 1996. (Photo: US Department of Energy) At first glance, it’s hard to know what’s happening in this picture. A giant mushroom seems to have sprouted in a factory floor, where ghostly men in hardhats seem to be working. But there’s something undeniably eerie about the scene, for good reason. You’re looking at the largest agglomeration of one of the most toxic substances ever created: corium. L'accident de Tchernobyl. L'accident de la centrale de Tchernobyl - Vidéo.
Ukraine, 25 avril 1986, centrale nucléaire Lénine à 18 km au nord de la ville de Tchernobyl. C'est une nuit pas comme les autres dans la centrale. Dans la salle de commande, tout le monde est à son poste. Pour la première fois, on va tester le fonctionnement du réacteur numéro 4 en cas de panne de courant. Pour les besoins du test, les systèmes d'alarme de refroidissement doivent être débranchés et la puissance du réacteur doit être réduite.