Sans titre. Sans titre. Mimesis: The Representation of Reality in Western Literature (German: Mimesis: Dargestellte Wirklichkeit in der abendländischen Literatur) is a book of literary criticism by Erich Auerbach, and his most well known work.
Written while Auerbach was teaching in Istanbul, Turkey, where he fled after being ousted from his professorship in Romance Philology at the University of Marburg by the Nazis in 1935,[1] it was first published in 1946 by A. Francke Verlag. Overview[edit] The mode of literary criticism in which Mimesis operates is often referred to among contemporary critics as historicism, since Auerbach largely regarded the way reality was represented in the literature of various periods to be intimately bound up with social and intellectual conventions of the time in which they were written.
Auerbach was a Romance language specialist, which explains his admitted bias towards treating texts from French compared to other languages. Bloom. Western Canon. This page: A.
Sans titre. Écrivain, philologue, professeur et essayiste émérite, William Marx entre au Collège de France où il ouvre la chaire de littératures comparées.
Par son approche qui s'intéresse au contexte originel de l'écriture des œuvres, ce normalien et agrégé des lettres classiques entend repousser les limites de la discipline dès sa leçon inaugurale, ce jeudi 23 janvier, "Par-delà la littérature - Lire dans la bibliothèque mondiale", introduction à son cours à venir intitulé "Construire, déconstruire la bibliothèque mondiale". Dans une approche qui mêle l'universel et le particulier, il expose une analyse où nos lectures dépendent de nos vies, de nos attentes, des autres livres que nous avons déjà lus. Sans titre. Une nouvelle chaire intitulée Littératures comparées est confiée à l’historien de la littérature, écrivain et essayiste William Marx.
Il y sera traité de la littérature comme un fait universel, d’extension mondiale et d’envergure transhistorique, quoique sous des modalités extrêmement diverses. À quelle échelle en effet envisager un problème quelconque de l’histoire littéraire ? L’échelle européenne vaut pour un grand nombre de sujets intéressant la littérature française. Mais de quelle Europe s’agira-t-il ? Une définition large s’impose, intégrant les littératures des langues européennes, de quelque continent qu’elles viennent, et notamment des Amériques. Sans titre. La littérature migrante convie enseignants et élèves à la découverte d’un corpus contemporain, non canonique, issu de la minorité, bref, pour reprendre la belle expression de Paré une « littérature de l’exiguïté » (1992).
Chez les allophones, l’utilisation de ce corpus contribue au processus d’adaptation : ils se sentent valorisés de façon égalitaire. Les élèves issus de la majorité y trouvent matière à relativiser leur propre culture. Après avoir passé en revue les questions posées à l’institution scolaire par l’insertion de la littérature migrante dans les programmes, nous rendrons compte d’une expérience de lecture que nous avons effectuée dans deux classes professionnelles, option travaux de bureau. Concrètement, il s’agissait de comparer la manière dont Maghrébins (en tentant de cerner l’originalité de leur situation de migrants) et Belges francophones appréhendent un certain nombre de traits culturels repérables dans les œuvres étudiées. Sans titre. Il est historiquement avéré que pour pouvoir se constituer et perdurer les États-nations se sont chacun fortement appuyés sur « leur » littérature nationale.
Ce dont on peut facilement avancer des exemples multiples et très « parlants » pour nombre de pays qui ont revendiqué leur indépendance nationale durant le XlXe siècle. Ils l'ont fait en associant le plus souvent l'affirmation d'une langue, d'une histoire et d'une culture nationales avec la mise en valeur d'oeuvres littéraires. Ces phénomènes ont conduit à l'unification de l'Allemagne ou de l'Italie morcelées, de même qu'à la naissance du pays qui est le nôtre, la Belgique - avec notamment Charles de Coster. Mais ces phénomènes ont également été présents, même s'ils n'ont pas tous abouti, sur l'ensemble du territoire européen ; de dont témoignent, par exemple, Sandor Petôfi pour la Hongrie, France Preseren pour la Slovénie ou Adam Mickiewicz pour la Pologne. Une littérature européenne fait-elle défaut à l'Union européenne ? Sans titre. Quel(s) sens les écrivains francophones donnent-ils à la littérature ?
C’est à cette simple et vaste question que ce séminaire entend répondre en parcourant les œuvres produites par quelques écrivains francophones de tous les continents, de la fin de la seconde guerre mondiale à nos jours. Corpus d’étude (à titre indicatif) Sans titre. Ce « guide pratique » a été conçu intégralement à partir d'exemples et d'expériences tirés de la pratique pédagogique des auteures, notamment en premier cycle.
Il s'adresse aux étudiants réels et non à un hypothétique « étudiant idéal ». Il propose, en se mettant à la place de l'étudiant à la recherche de repères concrets et de solutions pratiques, une démarche originale pour réussir son parcours universitaire en littérature comparée. Sans titre. Sans titre. Sans titre. Théories et méthodes MOURA, Jean-Marc : Postcolonialisme et comparatisme PAGEAUX Daniel-Henri : Littérature comparée et comparaisons WESTPHAL, Bertrand : Pour une approche géocritique des textes.
Sans titre. Sans titre. Sans titre. Sans titre. Le Figuier d’or : Intertextualités classiques et représentations de l’oralité dans l’espace caribéen (Alejo Carpentier, Édouard Glissant, Derek Walcott) ( le 06/12/2019 ) La soutenance aura lieu à 13h30 le vendredi 06 décembre, au rez-de-chaussée de la Maison de la Recherche de Sorbonne Université, dans l'amphithéâtre Georges Molinié.
Le jury sera composé de : Mme Véronique GÉLY – Professeure de Littérature générale et comparée à Sorbonne Université (directrice de thèse) Mme Tiphaine SAMOYAULT – Professeure de Littérature générale et comparée à l'Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3 M. Romuald FONKOUA – Professeur au Centre International d'Études Francophones de Sorbonne Université Mme Delphine RUMEAU – Maître de Conférences HDR de Littérature général. Sans titre. Sans titre. Messieurs, Notre première pensée à tous ne peut être aujourd’hui qu’une pensée triste, mes premières paroles que l’expression d’un douloureux hommage et d’un deuil respectueux ; je comprends l’émotion qui a dû vous saisir en mettant le pied dans cette salle, où vous entendîtes pour la dernière fois la voix aimée et déjà défaillante du vénérable maître que nous avons perdu.
Sans titre. Quand le choix bienveillant d’un écrivain célèbre m’a désigné pour occuper passagèrement cette chaire, illustrée long-temps par l’éclat de son esprit et de sa parole, je n’ai pu songer à vous rendre quelque chose des improvisations pour moi inimitables, auxquelles il vous avait accoutumés. Heureux s’il m’était donné de continuer, par un enseignement plus modeste, l’enseignement solide et ingénieux tout ensemble du collègue distingué que l’éloquence latine vient de ravir aux lettres françaises ! J’ai cru qu’il n’était permis d’aborder cette chaire qu’en y apportant, à défaut d’un talent digne des brillans souvenirs qu’elle rappelle, les fruits d’une étude sérieuse. En effet, messieurs, il est impossible de s’occuper de l’Europe moderne et de ne pas être ramené sans cesse à la France ; dans mes plus lointaines excursions littéraires au nord et au midi, j’ai rencontré partout son génie voyageur et conquérant.
Sans titre. Sans titre. 1Dans l’entre-deux-guerres, Paris a été la capitale culturelle de l’Europe centrale, comme le montre l’ouvrage paru sous ce titre (Delaperrière et Marès, 1997). Pour un Milosz décrivant dans son Europe familière (traduit en français sous un titre qui exprimait l’inverse de son intention car l’éditeur a intitulé son livre Une Autre Europe), l’évidence pour toute personne cultivée était de faire un voyage à Paris (Milosz, 1964).
On rappellera l’exemple d’un Jozef Czapski ce grand Centre Européen, polyglotte, survivant de Katyn, qui a passé la première moitié de sa vie en Pologne et l’autre en France [1][1]Né en 1896 dans la famille aristocratique des Hutten-Czapski il…. Celui-ci a rédigé directement en français le texte de Proust contre la déchéance (Czapski, 2012), un véritable plaidoyer pour la langue française dont il dit qu’elle l’a sauvée de la barbarie des camps soviétiques où, privé de sa bibliothèque, il ne pouvait que se rappeler ses lectures préférées (Ibid. Sans titre. Sans titre. Cet article peut contenir un travail inédit ou des déclarations non vérifiées(février 2016). Vous pouvez aider en ajoutant des références ou en supprimant le contenu inédit. Sans titre. Discipline rareNon Présentation Quel(s) sens les écrivains francophones donnent-ils à la littérature ?
Sans titre. Discipline rareNon Présentation Ce séminaire propose d’étudier les mises en scène de la littérature (qui comprend aussi celle de l’écrivain) dans le roman francophone. On s’attachera en particulier aux bibliothèques textuelles, aux autoportraits d’écrivains, aux fonctions de ces représentations de l’écriture (sous toutes leurs formes et dans toutes les aires culturelles) dans la francophonie contemporaine. Volume horaire. Sans titre. Jede Nationale Literatur ennuyiert sich zuletzt in sich selbst, wenn sie nicht durch fremde Teilnahme wieder aufgefrischt wird. Toute littérature nationale s'ennuie en elle-même et éprouve périodiquement le besoin de se tourner vers l'étranger.
Johann Wolfgang v. Goethe, Schriften zur Weltliteratur Fidèle au projet de Goethe qui appelait de ses voeux l'émergence d'une Weltliteratur, la littérature comparée étudie le phénomène littéraire sous ses formes les plus diverses. Sans titre. Sans titre. Revue Revue de littérature comparée. Objectifs La Revue de littérature comparée, de diffusion internationale, publie des articles en français et en anglais. Sans titre. Littérature comparée et Beaux-Arts aux XIX° et XX° siècles : de fructueux échanges entre artistes et écrivains (10/11) Écrire sur l’art, l’art d’écrire, avec Pierre Brunel et Marie-Hélène Girard.