Inquiétez-vous plutôt du changement climatique que de la révolution robotique. XEnvoyer cet article par e-mail Inquiétez-vous plutôt du changement climatique que de la révolution robotique XEnvoyer cet article par e-mailInquiétez-vous plutôt du changement climatique que de la révolution robotique Syndicated articles from Financial Times Technologie Robin Harding, FT - Si la course technologique et robotique reste focalisée sur la productivité, le risque d’un monde à la ‘Blade Runner’ deviendra une réalité Ce qui est étrange avec les robots-ouvriers, ceux qui sont supposés nous voler nos emplois, ceux qui nous abandonneront en train de regarder la télévision toute la journée en survivant sur un revenu de base, est que les personnes qui les fabriquent pour gagner leur vie ont tendance à les dénigrer.
Et maintenant, Google annonce l’immortalité pour la fin du siècle. Atlantico : Ray Kurzweil a théorisé la loi du retour accéléré.
Elle fait écho à la loi de Moore du nom du co-fondateur d’Intel qui affirmait en 1965 que la puissance des ordinateurs allait croître de manière exponentielle. Que signifie la loi du retour accéléré ? Comment fonctionne-t-elle ? Laurent Alexandre : C’est une extension de la loi de Moore à toutes les technologies liées aux nanotechnologies, aux biotechnologies, à l’informatique et aux sciences cognitives (les NBIC). Elle consiste à dire que toutes les activités humaines vont croitre dans les décennies qui viennent de façon absolument explosive comme la puissance des ordinateurs a cru de manière explosive depuis 1965. Or, en 2015 elle tient toujours. La société automatique, par Bernard Stiegler. Message un peu redondant avec l’autre vidéo, mais c’est toujours intéressant.
Je m’intéresse un peu à la domotique et la robotique, j’aime être de ceux qui maitrise, donc je robotise, plus par hobby que par obligation. TEDxParis : Alain Damasio, Très humain plutôt que transhumain. Les applaudissements sont mérités.
Je me retrouve dans son discours.Il n’y a pas de BRGM chez moi, j’ai dû faire les relevés topos et géologiques d’une rivière par chez moi, ça grimpe, il n’y a presque pas de routes, une température de 30/32° et 70% d’humidité ça tue. J’ai tout fait avec mon smartphone dont j’ai apprécié sa polyvalence et sa légèreté. J’avais même le programme pour calculer le débit max de la rivière à certains passages. Sacrée caisse à outils de 100gr, la technologie a du bon quand même.
Mon smartphone il est sur une étagère, je le consulte le matin pour les séismes locaux et les départs de cyclones en ce moment, si j’ai eu des appels je rappelle, même chose en fin d’après-midi.La technologie c’est un outil, pas une fin en soi. Permis de voter, transhumanisme, emploi zéro : Utopia version Xavier Couture.
Une élite "éclairée" veut faire le bien de l'humanité de demain.
Pour ce faire, elle doit sacrifier une bonne partie des hommes actuels. Ce pourrait être la trame d'une œuvre de fiction. On y est : Foxconn, fabriquant de l'iPhone, remplace 60 000 ouvriers par des robots. Foxconn, plus grand fabricant mondial de matériel informatique et notamment producteur de l’iPhone, a mis en marche ses promesses : remplacer ses ouvriers par des robots.
I, Robot. Réduire les coûts de production, tout en accélérant la vitesse de cette dernière : tel est l’enjeu pour maintes entreprises. Et comme si ses 139 milliards de dollars de chiffre d’affaires en 2015 ne lui suffisaient pas, Foxconn, plus grand fabriquant mondial de matériel informatique, qui a sûrement produit l’iPhone sur lequel tu lis ça, remplace 60 000 de ses 110 000 ouvriers par des robots. Soit 58 % du personnel d’une des nombreuses usines du groupe industriel taïwanais, principalement implanté en République populaire de Chine, dans la ville de Shenzhen notamment. Obsolescence programmée. En 1816, Mary Shelley imaginait un savant, le docteur Victor Frankenstein, créant de toutes pièces un humain qui lui échappait et commettait l’irréparable.
Depuis, le mythe n’a cessé de s’amplifier, collant aux peurs liées à la science. Deux siècles plus tard, la greffe d’organes et la stimulation électrique du cerveau sont devenues réalité. Du pacemaker aux lunettes Google en passant par les téléphones intelligents, le corps augmenté et connecté est tout sauf un délire de science-fiction. Alliance GSK-Google : comment la médecine bio-électronique pourrait révolutionner le traitement de bien des maladies. Le groupe pharmaceutique GSK a annoncé lundi 1er août la création d’une coentreprise avec Verily Life Sciences, filiale de Alphabet (Google), destinée à guérir les maladies chroniques grâces à des appareils bio-électroniques.
Un pas de plus pour les tenants du transhumanisme. Science-fiction Ajouter au classeurSuivre ce contributeurLecture zen Intéressé par cet auteur ? Pour retrouvez facilement ses articles dans votre compte et recevoir une alerte à chacune de ses contributions : Lire ou relire plus tard Pour classer cet article et le retrouver dans votre compte : Besoin de vous concentrer Pour lire cet article dans sa version zen : Je m'abonne Atlantico : La filiale de recherche médicale de Google vient de signer un partenariat inédit avec GSK pour guérir les maladies chroniques grâce à des appareils bio-électroniques. La nouveauté, c'est l'échelle à laquelle veulent travailler les chercheurs de Google et GSK.
L’immortalité, luxe ultime des superriches.