Doc 16 le revers de mon look. Doc. 1 : Teindre du tissu sans rejeter de l'eau polluée, c'est possible. Dans l’industrie textile, quand on teint du tissu, on utilise énormément d’eau générant des rejets liquides pleins de colorants et autres produits chimiques.
Comment les traiter de manière efficace et peu coûteuse ? Une équipe de chercheurs européens associée notamment à une entreprise belge pense avoir trouver la réponse. Nous nous rendons à Renaix en Belgique dans une usine textile où chaque année, environ 12.000 kilomètres de tissus sont teintés, un procédé qui nécessite des millions de litres d’eau. A l’issue de l’opération, les rejets liquides sont pleins de colorants, de produits chimiques et de sels. Comment faire en sorte qu’ils soient réutilisés dans le processus de teinture ? Doc. 2 : Les teintures végétales : la couleur par les plantes. Doc. 3 : Consommation d'eau pour faire des teintures textiles. Statistiques mondiales temps réel sur la consommation d'eau 97%97% de l’eau douce se trouve dans des nappes souterraines continentales. 151 Chaque année un Français consomme 151 litres d'eau minérale (contre 39,9 en 1970) - Insee Les Etats-Unis sont les plus gros consommateurs d’eau en bouteille.
L’Inde et la Chine, ont triplé et doublé leur consommation entre 2000 et 2005. Doc. 4 : effet de serre. Doc. 5 : Pourquoi la mode fait partie des pires pollueurs au monde ? Cet article fait partie d'une série sur la mode, son histoire et ses mécanismes.
Tous les épisodes sont disponibles sur le site du blog Le Troisième Baobab. On a vu dans les épisodes précédents les raisons psychologiques et sociales qui nous poussent à aimer (ou pas) la mode. Et à en vouloir toujours plus ! Alors maintenant, on va enfin pouvoir parler des conséquences de tout ça. Parce qu’une telle passion n’est pas sans conséquences environnementales. Quand on y pense, on ne peut pas vraiment être surpris par les problèmes environnementaux causés par la fast fashion. Et les méfaits environnementaux de la mode ne s’arrêtent pas à la fabrication des vêtements : c’est tout le cycle de vie d’un vêtement qu’il faut prendre en compte !
Il s’agit non seulement de la fabrication (production des fibres textiles, traitements, teintures, et assemblage des tissus), mais aussi de l’utilisation du vêtement (dont le lavage), puis de sa fin de vie. Doc. 6 : Le coton OGM nécessite un usage croissant de pesticides. C’est un comble, mais le coton OGM nécessite un usage croissant de pesticides.
Les chercheurs s’en inquiètent en Inde et au Pakistan, où l’on cultive plus de la moitié du coton de la planète et où le coton est en quasi-totalité transgénique. Ce coton BT contient pourtant déjà un pesticide contre le pire des prédateurs du coton, le ver rose - un ver qui mange l’intérieur des capsules de coton avant qu’elles ne puissent produire de la fibre. Ce coton OGM est donc censé permettre aux agriculteurs de ne pas utiliser d’insecticide contre ce fléau. Des rendements augmentés de 60 % entre 2003 et 2006 L’efficacité a effectivement été maximale les premières années : de 2003 à 2006, les rendements de coton indien ont augmenté de 60 % !
Mais au bout de quelques années, le ver rose a fini par résister au coton OGM, les rendements ont commencé à chuter à la fin des années 2000. Doc. 7 : Conso : la face cachée du coton. Cet article date de plus de trois ans.
Publié le 09/02/2018 21:42 Mis à jour le 09/02/2018 23:01 Durée de la vidéo : 5 min. Article rédigé par Les grandes enseignes en raffolent, les consommateurs aussi : le coton. Reportage en Inde, où la culture du coton donne lieu à un désastre environnemental et sanitaire. Comme Manon et Mélanie, nous sommes très nombreux à profiter des bonnes affaires. Doc. 8 : Le coton, une plante qui a soif. Le coton, cette plante qui nous habille Entre la Fast Fashion, l'obsolescence programmée et l'attention que nous portons à nos vêtements, nous poussons la culture du coton à ses limites.
Cette culture a certes des vertus mais possède aussi ses sombres côtés. Coton rime avec consommation Le coton est une plante très demandeuse en eau : il faut en moyenne plus de 11 000 litres d'eau pour faire pousser un kilo de coton, soit 2 700 litres pour un T-shirt. Doc. 9 : Mer d’Aral : une catastrophe écologique. La mer d’Aral vue par Aigoul Beknazarova, enfant participant à des activités organisées par l’Unicef. © M.
Pouchin/CUEJ Agrandir l'image Mer intérieure partagée entre le Kazakhstan au Nord et l'Ouzbékistan au Sud, la mer d'Aral qui couvrait en 1960, 68 000 km2 soit l’équivalent de deux fois la Belgique, a perdu aujourd’hui plus de la moitié de sa surface (30 000 km2). Alimentée par deux fleuves, le Syr Daria et l’Amou Daria elle s’est scindée en deux parties inégales en 1989 formant la Petite mer au Nord et la Grande mer au Sud. Doc. 10 : Considérée comme morte, la mer d’Aral semble avoir ressuscité. Grâce à de nombreux efforts, l’eau refait son apparition dans ce qui est désormais un désert de sel. A l’époque, il s’agissait du 4e plus grand lac de la planète. De fait, une grande partie de la région vivait grâce à la pêche. Mais à partir de 1960, l’URSS a décidé de transformer les steppes désertiques en cultures intensives de blé et de coton.
Pour irriguer les champs, les fleuves ont été détournés. Conséquence ? Aujourd’hui, la partie sud reste un vaste désert mais la vie reprend peu à peu au nord. Doc. 11 : la mer d'Aral. Doc. 12 : Parcours de la vie d’un T-shirt en coton bio et équitable. Doc. 13 : La teinture : une source de pollution des eaux. La teinture occupe une place importante dans l’activité économique du Mali depuis des décennies, surtout pour les femmes.
Doc. 14 : Coton bio recyclé et polyester recyclé, le bon mix. Coton, coton bio, polyester recyclé : de quoi parlons-nous ?
S’habiller n’est pas une option et pour le faire nous avons la possibilité de choisir entre des fibres végétales : coton, lin, jute ; des fibres animales : laine, alpaga ; et des fibres synthétiques : polyester et nylon pour les plus connues. Doc 15 : Des vêtements qui polluent - Curium magazine. Avec leurs soldes incroyables et leurs publicités tapageuses, les grandes chaînes de vêtements nous poussent à renouveler sans cesse notre garde- robe.
Comment éviter de tomber dans le panneau du gaspillage vestimentaire ? On en parle moins souvent que du gaspillage alimentaire, mais le gaspillage vestimentaire est un enjeu de société majeur.