Découvrir - La Grande Guerre en archives - Mnesys. Georges Clemenceau. 14 - Tagebücher des Ersten Weltkriegs. MIKAËL FITOUSSI Louis Barthas ANTOINE DE PREKEL Yves Congar MEGAN GAY Ethel Cooper JACOPO MENICAGLI Vincenzo D‘Aquila JONAS FRIEDRICH LEONHARDI Ernst Jünger DAVID OBERKOGLER Karl Kasser CHRISTINA GROSSE Käthe Kollwitz ELISA MONSE Elfriede Kuhr CELIA BANNERMAN Sarah Macnaughtan DAVID ACTON Charles E.
EMILIE AUBERTOT Marie Pireaud LAZARE HERSON-MACAREL Paul Pireaud NAOMI SHELDON Gabrielle M. NATALIA WITMER Marina Yurlova Udo Samel Jan Peter Yury Winterberg, Jan Peter, Maarten van der Duin, Andrew Bampfield, Stephan Falk, Florian Huber Jürgen Rehberg Susanne Schiebler, Martin Schröder, Jasmin Hoffhaus Laurent Eyquem Frédéric Goupil Jean-Michel Johnston Patric Valverde Michel Marsolais Valérie Adda Claire Nadon Natalie Trépanier Jean Jacques Dion Aline Huber Stephen de Oliveira Charles Jodoin-Keaton Tobias Fritzsch Kay Dombrowsky. Comprendre la Première Guerre mondiale avec un jeu numérique - Histoire-géographie - Éduscol. « Gueule d’ange » a été créé par les archives départementales des Yvelines dans le cadre de la commémoration du centenaire de la Grande Guerre.
L’objectif du jeu est multiple : sensibiliser les élèves à la condition des Poilus pendant la Première Guerre mondiale, les initier aux fondements de la recherche historique et leur faire découvrir les missions des archives. Le jeu propose de suivre le personnage de Nicolas Mottin, parti sur les traces de ses ancêtres, et de l’aider à trouver l’identité d’un mystérieux Poilu. Le parcours propose de mener l’enquête en manipulant des outils de recherche, des ressources numériques et notamment des documents d’archives. La Grande Guerre au miroir de la bande dessinée. Nombreux sont aujourd’hui les récits dessinés qui évoquent le premier conflit mondial et certains critiques vont même jusqu’à parler d’une nouvelle écriture de la guerre en bande dessinée, voire d’un sujet à la mode.
Enseigner 14-18. Réseau Canopé Retrouvez l’ouvrage dans notre librairie en ligne En complément de l’ouvrage, des documents à exploiter en CM2, 3e ou 1re.
Retrouvez-les sur une frise, une carte ou par thèmes. Femmes en guerre : deux anglaises au chevet des poilus (1915-1919) Ni Marcia, ni Juliet n’étaient de jeunes mondaines écervelées avant que la guerre éclate.
Les lettres des deux sœurs attestent de leur curiosité : elles lisent les journaux et expriment des opinions parfois tranchées. C’est leur mère Mildred ‘Mully’ Mansel qui leur a transmis son sens de l’engagement politique : suffragette militante, elle a passé une semaine dans la prison pour femmes d’Holloway, au nord de Londres, en novembre 1911, après avoir brisé deux vitres du War Office (ministère de la Guerre) lors d’une manifestation pour le droit de vote des femmes.
Mildred « Mully » Mansel et sa mère, Mme Guest© Archives de la famille Mansel Cette question passionne notamment Marcia qui, dans une lettre datée de juillet 1917, se réjouit de l’avancée du projet de loi "Representation of the People Act". C’est que l’expérience de la guerre rend la notion d’âge plus relative. . | Un décalage se crée avec le reste du monde Juliet Mansel. Lettre de Marcia, 7 août 1917 | Reprendre le cours d’une vie. Portail officiel du centenaire de la Première Guerre mondiale. À L'Assaut serious game sur la première guerre mondiale. Apocalypse 10 destins. Fusillés pour l'exemple, l'ultime combat. Première Guerre mondiale : la presse se plie à la censure. Dès le début de la Première Guerre mondiale, la presse française accepte de se plier à la censure militaire et diplomatique, considérant que dévoiler certaines informations pourrait favoriser l'ennemi.
Adolphe Messimy, ministre de la Guerre, rappelle dans un communiqué, une semaine seulement après les premiers combats, « les devoirs particuliers que l’état de guerre impose à la presse », tandis que la loi du 5 août 1914, votée pour toute la durée de la guerre, interdit de publier tous renseignements et informations autres que ceux communiqués par le gouvernement. Les journaux paraissent avec des blancs indiquant que certaines informations ont été caviardées, comme ici dans Le Journal des débats politiques et littéraires.
Il y a cent ans, la bataille de Verdun. Il y a cent ans, se déroulait à Verdun, dans la Meuse, la bataille la plus longue et l’une des plus dévastatrices de la Première Guerre mondiale.
Dès le début de l’offensive allemande en février 1916, elle fait l’objet d’un récit documenté, patriotique et passionné par la presse française. Les journaux relatent jour après jour cette guerre de position qui cause des pertes très lourdes dans les deux camps, publient des communiqués quotidiens, décrivent toutes les phases de la bataille et ouvrent leurs colonnes à des personnalités du monde militaire. “Toute la presse alliée exprime la plus grande confiance dans l'héroïque résistance de nos soldats que l'on sent prête à se changer en brillante offensive”, note le Figaro. Il s’agit en effet d’informer mais surtout de soutenir les soldats français et d’entretenir la flamme patriote, comme le fait avec lyrisme le journaliste Paul Ginisty dans le très populaire Petit Parisien, six jours après le début des hostilités : Ce qu’il faut savoir du génocide des Arméniens.
Exposition virtuelle La guerre de 14-18. Was wäre wenn...