Chemins de Mémoire - Ministère des Armées. Mission Centenaire 14-18. Discours et témoignages de la Première Guerre Mondiale. L’année 2014 marque le centenaire de la Première Guerre mondiale.
A cette occasion, le département de l’Audiovisuel propose à l’écoute onze discours d'hommes politiques français ayant marqué ces quatre années de guerre, édités sur disques par Pathé. Parmi ces enregistrements, vous trouverez plusieurs discours emblématiques : le discours d'entrée en guerre de la France de René Viviani clôturant la séance historique du 4 août 1914 à la chambre des députés, le discours prononcé par Raymond Poicaré, alors Président de la République, lors du transfert des cendres de Rouget de Lisle aux Invalides le 14 juillet 1915, ou bien encore celui d'Alexandre Ribot, du 5 avril 1917, sur l’entrée en guerre des États-Unis aux côtés des Alliés.
Ces enregistrements sont accompagnés de leur retranscription (Journal Officiel) ou bien de photographies relatives aux événements. Plateforme 14-18 : corpus d’archives privées de la famille Résal. Documentaire "Apocalypse" Immersion : Retracer l'histoire de 10 destins de la Grande Guerre. Immersion : Gueule D'Ange. Aider Nicolas Mottin a partir sur les traces de ses ancêtres. Vidéo documentaire "700000" sur l'archéologie de la Grande Guerre.
Aventure interactive À L'Assaut. L’exposition de la BNF sur la guerre 14-18. Cartographie 1914-1918. Site officiel du centenaire de la bataille de Verdun. 1914-1918 - Collections Europeana : archives de bibliothèques et familiales dans le cadre de la "grande collecte" Guerres et traces de guerre. Portail officiel du centenaire de la Première Guerre mondiale. Se connecter sur Éduthèque (avec un mail académique) pour avoir accès à de nombreuses ressources.
Renault et la première guerre mondiale.
Le peintre et soldat Otto Dix raconte la guerre. Les eaux-fortes présentées ici appartiennent à un cycle de gravures intitulé « La Guerre » et réalisé par Otto Dix en 1924.
Il s’agit de cinq albums comprenant chacun dix gravures. Ces derniers s’inscrivent dans la continuité de dessins réalisés sur le front de 1915 à 1918 par le peintre, engagé volontaire dès l’entrée en guerre de l’Allemagne en août 1914. L’essentiel de ce cycle a trait à la représentation des morts, corps atrocement mutilés, en phase de décomposition. En quoi l’acte pictural sur le corps des morts contribue-t-il à révéler un traumatisme ?
Avec un souci inouï du détail qu’accentue l’intensité du clair-obscur, le peintre s’attache ici à représenter la déshumanisation des corps et la bestialité de la mort : « La guerre, c’est le retour à l’animalité : la faim, les poux, la boue, ce bruit infernal… En regardant les tableaux d’autrefois, j’ai eu l’impression qu’on avait oublié un aspect de la réalité : la laideur », indiquait Dix. (Munissez-vous d'écouteurs) "L’Art en 1917 : Artistes au front" sur France Culture. Une série de Perrine Kervran, réalisée par Gislaine David L’offensive du chemin de dames, l’entrée en guerre des Etats unis, le ballet « Parade », « Fountain » de Duchamp , Dada à Zurich, Verdun de Vallotton, les joueurs de carte de Fernand Leger, la révolution russe, Apollinaire et « Les mamelles de Tirésias », Diego Rivera abandonne le cubisme et assomme Pierre Reverdy dans une galerie parisienne…Tout ça et bien d’autres choses ont pris place en 1917 ; entre Paris, Zurich, la Champagne, New York, Moscou et Mexico. 1917 est une année folle, une de ses années prétexte qui permet d’ausculter le monde et la façon dont les évènements s’imbriquent les uns dans les autres.
Alors l’idée a été d’ausculter tout ça au travers du regard des artistes et de voir comment ils se sont soudain retrouvés combattants, souvent poussés par un patriotisme nationaliste. De voir aussi ce que la guerre a fait à la peinture et aux représentations. 1. Bibliographie et liens En partenariat. Force Noire - Guillaume Prévost. J'ai emprunté Force noire dans mon office au travail il y a quelques temps déjà.
J'étais intriguée par ce nouveau roman estampillé « 14-18 Les grands romans de la Grande guerre » et par l'évocation des bataillons d'Afrique dont on parle très peu (ou pour ainsi dire presque jamais). Je n'avais encore jamais lu de roman sur le sujet et je n'ai que peu de connaissances sur ce pan de la guerre 14-18, j'étais donc curieuse d'en savoir plus.A peine les premières pages entamées, je suis tombée complètement sous le charme de Bakary Sakoro, à la fois jeune soldat de 17 ans tout fraîchement engagé dans la Grande guerre mais aussi octogénaire émouvant racontant son histoire à la jeune Alma, et à nous par la même occasion.
Bakary nous raconte sa jeunesse à côté de Ségou au Mali, ses souvenirs heureux comme ses malheurs, souvent dû au fameux Malinko Malinké. Soldat Peaceful - Michael Morpurgo. Tommo n'a que seize ans lorsqu'il quitte son Angleterre natale pour suivre son frère ainé Charlie sur le front de l'Yser.
Malgré le froid, le manque de sommeil, la vermine et la mort qui rôde à chaque instant du jour et de la nuit, il est persuadé que rien ne peut leur arriver tant qu'ils restent ensemble ! Pourtant, une nuit, tout bascule... Tommo tente alors d'arrêter le temps, d'empêcher que l'aube ne se lève et que l'inéluctable ne se produise en se replongeant dans ses souvenirs, ceux où les frères Peaceful vivaient heureux dans leur campagne, entourés des leurs...
14 - 14 - Paul Beorn. Imaginez deux boites aux lettres magiques, deux messagères un peu sorcières, plantées dans le temps, l'une dans le passé, l'autre dans le présent.
Une lettre écrite élégamment à la plume Sergent-Major, par un écolier, en 1914, dans un village de Picardie, se retrouve dans les mains d'un collégien, en 2014, dans une petite ville de Picardie. Et pourtant, il ne s'agit pas de courrier égaré. Cheval de guerre - Michael Morpurgo. Cheval de guerre prenait les poussières depuis un certain temps : je voulais le lire, mais je n'osais pas.Un cheval qui se retrouve dans la Grande Guerre, un jeune garçon qui aimait son cheval et qui le perd, trop dur pour mon petit coeur.En ce qui concerne le film, c'est encore pire, je n'osais pas non plus le regarder pour ces mêmes raisons.Maintenant que j'ai franchi le pas avec le roman, je vais me tourner vers le film, mais pas tout de suite.Dans cette boucherie qui fut cette Grande Guerre, des hommes n'avaient pas demandé de la faire, et même ceux qui l'avaient souhaité, ont vite déchanté.
Mais les animaux, eux, qu'est-ce qu'ils y comprennent aux conneries de quelques humains qui voulaient absolument en découdre ? Rien…Le narrateur est Joey, le cheval et nous verrons sont arrivée dans la ferme du père d'Albert, son débourrage, l'amitié qui le lie au jeune garçon et son arrivée dans cette guerre atroce où les morts tombent comme des mouches sous les balles et les obus. Lien :