[Retour d'expérience] Comment Etam réinvente sa stratégie mobile. À l’heure où le mobile est l’écran le plus consulté avec 34 millions de mobinautes par jour en 2018, soit 3 fois plus que l’année précédente, les marques rencontrent encore une grande difficulté à développer leur visibilité et leur reach sur ce terminal: en effet, 90% du temps passé sur mobile est dédié à des applications (1) mais près de la moitié du temps dévolu à ces applications se concentre uniquement sur 10 d’entre elles.
Les bannières sur mobile enregistrent encore une qualité média très faible: on compte moins d’une impression visible sur deux en display sur web-mobile ou in-app, contre 62% sur desktop.Les emails, quant à eux, enregistrent un taux d’ouverture de 70% deux heures seulement après l’envoi et le taux de clic avoisine les 20%; le canal devient saturé.Le SMS coûte cher et reste un canal assez intrusif qui ne peut être utilisé que ponctuellement. Il est donc compliqué pour une marque d’engager efficacement leurs clients sur mobile. Migration vers Android: et si on repensait les processus métier ?
La migration vers un système d’exploitation tel qu’Android, pensé nativement pour la mobilité permet de revoir les processus métier, de repenser les flux, d’imaginer des outils complémentaires et d’élever les niveaux de sécurité.
D’ici 2021, Microsoft n’assurera plus la maintenance des OS (operating system) Windows CE, Windows Mobile et Windows Handheld Embedded. Cette décision aura des conséquences significatives en termes d’usages professionnels, obligeant les environnements industriels à préparer la migration de leur parc de terminaux durcis vers un OS mobile de nouvelle génération. Le système d’exploitation Android, qui s’est largement imposé sur le marché du smartphone grand public, semble avoir séduit les principaux fabricants de tablettes et terminaux mobiles en milieux professionnels.
3 conseils pour booster les conversions mobiles. Les acteurs de la publicité mobile en un coup d'oeil. Une meilleure expérience client grâce au RGPD et aux appareils mobiles. Bien que quelques détracteurs prétendent toujours que le Règlement général sur la protection des données (RGPD) signera la mort du marketing numérique, la plupart des professionnels du marketing savent désormais que l’association du Règlement à des données enrichies permet d’améliorer l’expérience client.
Au vu de la véritable explosion du volume des données à l’échelle mondiale, soit 20 exaoctets par mois à l’heure actuelle et avec 46,5 millions de Français possédant un smartphone, les données mobiles contribuent en grande partie à ce phénomène. De plus, l’Internet des objets (IoT) devrait générer 10 fois plus de données en 2020 qu’en 2013. Crédit Agricole Italia optimise l’UX pour gagner des clients emprunteurs. - Milko Hascher, Chief of Digital Transformation, Crédit Agricole Italia Avec l’aide de Google, Crédit Agricole Italia a mis en place un laboratoire d'expérience utilisateur, qui a permis d'analyser le site web et de générer une liste de 45 idées à tester.
La marque a ensuite classé ces idées selon leur priorité, leur impact potentiel sur les performances du site web et les efforts requis pour les concrétiser. « C'était un bon moyen de lancer le projet, car nous avons pu sélectionner très facilement les idées à développer en premier », précise Milko Hascher. Ensemble, les deux équipes ont effectué le suivi de toutes les actions, de leur impact et de leurs résultats. Marketing mobile : quand le RGPD joue sur les budgets. Une étude Harris Interactive illustre les défis que le RGPD pose en matière de marketing mobile, tout particulièrement sur la personnalisation des applications.
En France, aucune entreprise hormis Google et Facebook ne capte une part des revenus du secteur de la publicité sur Internet supérieure à 10 %. Cette observation figure dans un avis que l’Autorité de la concurrence a rendu le 6 mars 2018. Soulignant la « position prépondérante » des deux groupes, les sages de la Rue de l’Échelle ont laissé la porte ouverte à de possibles rebonds en contentieux, notamment pour des questions de vente liée. Ni Google, ni Facebook n’est cité dans le dernier volet de l’étude que Harris Interactive consacre aux enjeux du marketing mobile.
Follow Analytics suit à la trace les mobinautes. La jeune pousse Follow Analytics mêle push notification et tracking de la navigation sur application mobile.
Son nouveau challenge : aider les consommateurs à se réapproprier leurs données. La création de la start-up Follow Analytics résulte d'un constat récurrent: campagne mobile rime souvent avec tâtonnement, à cause d'un manque de données exploitables, rendant le ciblage difficile. La start-up franco-américaine fondée en 2013 se donne pour mission de "comprendre l'utilisation des applications mobiles afin de faciliter la segmentation et de créer des campagnes de notifications push in-app ou via Internet, à travers des messages personnalisés à destination des clients finaux", résume Pascal Laik, CEO de l'entreprise arrivé en février 2018.
Concrètement, Follow Analytics inclut un segment de code, appelé "SDK", ou kit de développement logiciel, au sein des applications mobiles de ses clients, parmi lesquels figurent Louis Vuitton, Allianz, Axa, la Société Générale et TF1.