Guide Construire Ensemble 2014. Retour sur le management transverse. En ce mois d'août, rafraichissons-nous un peu la mémoire avec ce texte initialement publié le 25/01/2016 Management transverse : l’adhésion, au-delà de l’autorité De nos jours les structures organisationnelles des entreprises s’orientent de moins en moins vers des organisations pyramidales avec un pouvoir hiérarchique affirmé selon sa ligne de management.
Obtenir l’adhésion des collaborateurs peut très vite devenir un vrai challenge en situation de management transversal. En effet, sans pouvoir hiérarchique, la capacité à convaincre est une nécessité. Selon mon expérience personnelle, évoluer dans l’entreprise peut s’effectuer grâce à la fédération et l’adhésion des ressources, sans lien hiérarchique, mais cela passe par un fort besoin d’adhésion. Le management d’influence : sans pouvoir hiérarchique Il est important de comprendre que dans une stratégie d’entreprise, les intérêts et le rôle des collaborateurs doivent tendre vers des objectifs communs pour le bien de l’entreprise.
Un nouveau management contre le stress et la démotivation. Accueil Comme le témoignent de nombreux sondages d'opinion, managers et collaborateurs semblent démotivés et gagnés par le stress.
Et si un management basé sur la compréhension et l'indulgence permettait d'inverser la tendance ? (...) Cet article est réservé aux abonnés, pour en profiter abonnez-vous. Et aussi sur les Echos Les articles à la une. Bonheur et plaisir au travail : utopique ou réaliste ? Les entreprises ne cessent de rechercher des solutions novatrices afin de maintenir un taux de motivation élevé, une mobilisation de tous et une augmentation notoire du niveau de productivité.
Cependant, nous sommes confrontés actuellement à une modification de la conception du monde du travail, car la sphère professionnelle prend de plus en plus d’espace dans nos vies. Nous pouvons même pousser l’exagération en soulignant que travail et identité s’entrecroisent et se jumellent. Notre boulot devient notre identité. À certains égards, le surinvestissement est même valorisé reflétant l’overbooking, la charge de travail et l’importance qui nous est dévolue. Parallèlement à cette conception, il est devenu difficile de donner un sens et une utilité à son travail. Qu’est-ce que le bonheur au travail ? Formation : les 7 tournants à prendre en 2016. Pour ou contre la réforme de la formation ?
Que n’a-t-on pas dit depuis un an et demi sur le sujet ! Sans tourner autour du pot, quelles sont les (bonnes) décisions à prendre aujourd’hui par les fonctions RH et formation pour une stratégie 2016 aux petits oignons. Opportunités à saisir, risques à anticiper et virages à ne pas rater… présentés par Jean-Pierre Willems, expert ès formation, lors d’un événement organisé le 29 septembre 2015 par Demos spécialiste de la formation et Qapa, 1er site de recrutement par matching, dans le cadre cocoon de l’incubateur de startups The Family.
Pour élaborer sa stratégie formation 2016, impossible de ne pas s’atteler à une lecture opérationnelle du cadre légal de la formation instauré par la loi du 5 mars 2014. Les décisions à prendre, c’est maintenant ! 1 – Entretien professionnel : dead-line au 6 mars 2016 Pour respecter le texte de la loi, le chantier est donc urgentissime. Définir qui de la fonction RH ou du management va mener les entretiens. L'engagement. La notion d’engagement est aujourd’hui largement utilisée par la fonction RH.
Alors que longtemps, les DRH comme les chercheurs se sont plutôt centrés sur la « motivation » : elle renvoyait à l’envie de se lever le matin pour aller travailler, de s’investir dans son activité professionnelle et de se dépasser. La notion d’engagement va plus loin, avec la traduction de cette envie en actes concrets. Or c’est bien cette matérialisation qui intéresse l’entreprise et c’est à ce niveau de la réalité des actes que l’engagement peut être constaté et mesuré. Alerte sur le désengagement Or qu’observent de nombreux DRH dans la période actuelle ? Nous assistons à un phénomène classique en situation de crise. . « L’engagement apparent » qui subsiste n’est qu’un investissement de substitution lié à la crainte du futur, notamment sur son emploi, et à une forme de résignation : les salariés font le gros dos, en attendant des jours meilleurs. Chef d’entreprise : vous aussi, vous pouvez vous former ! La formation des salariés est un domaine souvent évoqué.
Mais qu’en est-il de celle des chefs d’entreprise ? Souvent vécue comme une contrainte par les dirigeants, elle est pourtant indispensable. Organismes, financement, aides… : (in)formez-vous. Management des équipes, maîtrise des évolutions techniques, suivi des tendances du marché, changements juridiques, marchés publics… : les domaines où le chef d’entreprise doit rester formé et à jour sont multiples. Ne vivez pas la formation comme une contrainte (manque de temps, financement…) ! Vous pouvez prétendre à des formations que vous soyez travailleur dirigeant de société, travailleur indépendant ou repreneur d’entreprise.
Quelle formation choisir ? Vous l’avez sans doute remarqué : le nombre de formations proposées par des organismes publics ou privés est particulièrement élevé. Quel organisme de formation sélectionner ? Voici quelques exemples :