«Nous proposons des causes communes» - J.-L. Mélenchon à Valence le 23 août 2020. Barrages, l'eau sous haute tension. Ariège : la centrale hydraulique EDF de Ferrières paralysée par un mouvement de grève. Les turbines sont à l'arrêt complet.
Depuis le 11 février, les salariés de la centrale hydraulique de Ferrières occupent le site, mais ont cessé toute activité, afin de protester notamment contre la réforme des retraites. Un mouvement qui intervient dans le cadre de l'action de grande ampleur menée par la CGT Énergie au niveau national, dans le secteur de la production et de la distribution d'électricité. Le nouveau régime serait particilièrement défavorable pour les agents des IEG (Industries électriques et gazières), déclare Jean-Damien Navarro, secrétaire général CGT EDF Sud-Ouest. On estime que le manque à gagner, avec le nouveau mode de calcul des pensions, serait de l'ordre d'un tiers par rapport aux pensions qui sont perçues actuellement. [Pétition] NON à la privatisation des barrages hydrauliques français ! Qu’est-ce que ces 4 scénarios ont en commun ?
Danger : Sécheresse Augmentation des tarifs d’électricité Danger : Inondations Danger : Réacteur nucléaire en surchauffeLe mot « Danger » Scénario catastrophe Intempéries Privatisation des barrages français Si vous avez répondu A, B ou C, c’est faux. La réponse est D : PRIVATISATION DES BARRAGES FRANÇAIS Et oui, après les aéroports de Paris, les autoroutes et Engie, notre gouvernement veut privatiser 150 barrages français. Oui vous m’avez bien entendu, 150 ! 150 barrages sur les 220 directement exploités par EDF[1]. Pourquoi ? Pétition contre la privatisation des barrages - un-autre-monde-est-possible.over-blog.com. Chère Madame, cher Monsieur,
Barrages hydroélectriques : l'obsession de la privatisation. Privatisations : la République en marché - #DATAGUEULE 88. Ouvrir les barrages hydroélectriques à la concurrence ? Députés et syndicats s’y opposent. Hydroélectricité : une centaine de députés contre l'ouverture à la concurrence des barrages. Dans une proposition de résolution transmise ce 5 avril à l'AFP, plus d'une centaine de députés d'opposition demandent au gouvernement de s'opposer à l'ouverture à la concurrence des barrages hydroélectriques voulue par la Commission européenne.
Privatiser les barrages est une folie à très, très hauts risques ! Mes chères impertinentes, mes chers impertinents, Pour rappel, les lettres STRATEGIES et de la Robolution sont en ligne dans vos espaces lecteurs.
Et on va dire "c'est la faute de l'UE" ! Pourtant nous le seul pays européen à les privatiser, curieux. – alwen
La privatisation des barrages hydroélectriques en France envisagée par le gouvernement français, demandé par l’Union Européenne, est potentiellement une folie à très, très hauts risques, dont peu perçoivent le danger très important que cela pourrait faire peser sur la population française.
Même la très « fascisante » chaîne France Culture de Radio France en parle… c’est dire. Niveau complotisme nous sommes sur du lourd. Du très lourd!! Revue rapide des risques qui sont totalement occultés, dans un débat qui n’a pas lieu ! 1/ Les risques de rupture de barrages. Mais… ce n’est pas tout. 2/ Les barrages... utilisent de l’eau pour produire de l’électricité... jusque là aucun scoop ! 4/ Justement, les centrales nucléaires. Les aspects sécuritaires doivent tenir une place clef dans le choix et les décisions de nos dirigeants. Non à la privatisation de nos barrages ! ÉNERGIES RENOUVELABLES, LE CASSE DU SIÈCLE - GILLES BALBASTRE (1/2) MAIN BASSE SUR L'ENERGIE - FNME-CGT.
La privatisation des barrages menace la gestion de l’eau. Nathan Méténier est étudiant à Sciences Po Grenoble.
Le 30 mai dernier, Marie-Noëlle Battistel, députée (PS) de l’Isère, présentait devant la commission des Affaires économiques les conclusions du groupe de travail sur les concessions hydroélectriques. Privatisation des barrages: attention danger! RAPPORT SYNDICAL SuD ENERGIE PAR NOLWENN WEILER 17 JUILLET 2018 BastamAG La mise en concurrence des barrages hydroélectriques français est « dangereuse » et « antinomique de l’intérêt général ».
C’est la conclusion d’un récent rapport du syndicat Sud énergie rédigé à la demande de la députée socialiste Marie-Noëlle Battistel, très impliquée sur le sujet de par l’important nombre de barrages sur sa circonscription, située en Isère. Avec des expert·e·s d’EDF, Sud-Énergie se mobilise contre la privatisation de nos barrages – SUD Energie.
Vouglans : Manifestation au barrage et lâcher d'eau - France 3 Bourgogne-Franche-Comté. Les actions syndicales ne faiblissent pas dans le secteur de l'énergie.
Ce mardi matin 26 juin les agents Enedis et Edf emmenés par la CGT Energie se sont rassemblés sur le barrage de Vouglans et ses 600 millions de m3 d'eau pour protester contre la volonté du gouvernement d'ouvrir la gestion de ce type d'ouvrage à la concurrence. Un risque pour les agents de voir se privatiser la gestion de la production électrique des barrages et donc l'augmentation importante des tarifs de l'électricité.
Manifestation au barrage de Vouglans. Pétition Pétition contre la mise en concurrence des concessions hydrauliques. Pétition contre la mise en concurrence des concessions hydrauliques Les concessions hydrauliques sont régies par des délégations de service public passées sous la forme de contrats de concessions hydroélectriques pour 40 ou 70 ans Elles sont soumises à la loi Sapin (loi du 21 janvier 1993).
Côté européen, une seule exigence : l’ouverture du marché de l’électricité français à la concurrence. Le gouvernement précédent au travers de la proposition Borloo s’est soumis à cette exigence en offrant la production hydraulique à l’appétit des opérateurs énergéticiens internationaux et des industriels qui ont aussi annoncé vouloir être partie prenante dans ces appels d’offres. BARRAGES PRIVATISÉS : L'UE L'IMPOSE, SEULE LA FRANCE SE SOUMET. LE JOURNAL DU 9 AVRIL 2018 : GRÈVE ÉTUDIANTS/CHEMINOTS, CONGRÈS DU PS, BARRAGE HYDROÉLECTRIQUE. Mon compte rendu de session au Parlement européen [mars 2018] Le Parlement européen s’est réuni du lundi 12 au jeudi 15 mars en session plénière à Strasbourg.
Je rends compte ici de cette semaine de débats et de votes, avec au sommaire :– Scandale politique à la Commission européenne– Ne touchez pas à nos barrages– Pour des accords commerciaux favorisant l’égalité des genres– Militarisation de l’Union européenne ? – Après la décision de Trump de taxer l’acier– Le Premier ministre portugais Antonio Costa prône une alternative à l’austérité– Encore les conditions pour le Brexit– « Responsabilité sociale des entreprises » : en finir avec les phrases creuses– Journalistes en danger : l’Europe doit réagir– Vers une harmonisation du calcul de l’impôt des sociétés Scandale politique à la Commission européenne Lundi 12 mars Comme toute institution, de la commune jusqu’à la présidence de la République, la Commission européenne dispose d’une structure administrative et d’un secrétaire général qui dirige ses services.
M. Barrages hydroélectriques: manifestation contre l'ouverture à la concurrence devant le Parlement européen. MÉLENCHON - Revue de la semaine #7 - Pauvreté, iTélé, médias, privatisation des barrages. Pétition Pétition contre la mise en concurrence des concessions hydrauliques. Pétition contre la mise en concurrence des concessions hydrauliques. Les concessions hydrauliques sont régies par des délégations de service public passées sous la forme de contrats de concessions hydroélectriques pour 40 ou 70 ans Elles sont soumises à la loi Sapin (loi du 21 janvier 1993). Côté européen, une seule exigence : l’ouverture du marché de l’électricité français à la concurrence. Le gouvernement précédent au travers de la proposition Borloo s’est soumis à cette exigence en offrant la production hydraulique à l’appétit des opérateurs énergéticiens internationaux et des industriels qui ont aussi annoncé vouloir être partie prenante dans ces appels d’offres.
Rien ne peut justifier que les pouvoirs publics perdent la maîtrise des outils de production que sont les barrages. Alors que notre pays est frappé par une crise économique et sociale sans précédent, l’énergie hydraulique française ne doit pas quitter les entreprises historiques qui en assurent son exploitation Mesure prise au détriment de l’intérêt public. Privatisation des barrages relancée par Bruxelles: les agents EDF ariégeois dénoncent «le pillage d'un bien public» À quelques jours de la conférence sur le climat, la fameuse COP 21, il y a des sujets qui fâchent… Les agents EDF production hydraulique l’ont bien compris c’est pour cette raison que depuis hier, ils mènent des actions ici ou là partout en France, pour faire entendre «la voix de la raison» dans une affaire relancée en catimini par Bruxelles, celle de la privatisation des barrages hydrauliques.
Retour sur la mort programmée du modèle françaisEn 2010, François Fillon alors Premier ministre s’était engagé à libéraliser les concessions hydroélectriques au grand dam des énergéticiens européens dont les premiers opérateurs ouvrent leurs bureaux à Paris et commencent à prospecter dans les vallées. Aujourd’hui et après cinq ans d’attente, certains comme le géant germano-suédois Vattenfall ont plié bagage préférant comme beaucoup, faire du lobbying à Bruxelles. Bruxelles s’impatiente et met en demeure le gouvernement, lui enjoignant d’accélérer dans ce dossier. L'Union Européenne veut libéraliser nos barrages, Ségolène Royal va-t-elle s'exécuter ?
La nouvelle Ministre de l’écologie Ségolène Royal a annoncé cette semaine qu’elle allait ouvrir les concessions de nos barrages hydrauliques au secteur privé. Je m’inquiète fortement de ce qui ressemble fort en réalité, sous couvert de Sociétés d’Economie Mixte, à une nouvelle étape dans la privatisation de la gestion des barrages français, réclamée depuis longtemps par Bruxelles. L’objectif de la Ministre est de répondre aux injonctions de la Commission Européenne qui demande une mise en concurrence de la gestion des concessions.
Le caractère semi public proposé par le Ministère permettrait de nationaliser les pertes et les investissements tout en garantissant de verser une rente aux gestionnaires privés. Y céder signerait l’abandon de la dernière ligne de résistance qu’avait tenue la Ministre Delphine Batho en son temps, elle qui avait eu le courage de s’opposer à cette « privatisation qui ne dit pas son nom ».