Deux mois de prison ferme pour non-respect du confinement en Haute-Saône. Deux individus ayant enfreint à quatre reprises en moins de 30 jours les règles du premier confinement ont été condamnés à deux mois de prison ferme par le tribunal de Vesoul.
Le 25 mars, le tribunal de Vesoul a condamné deux individus à deux mois de prison ferme pour des infractions répétées aux règles du confinement. Comme l'indique L'Est républicain, les faits sanctionnées remontent au mois d'avril 2020. Se connecter à Facebook. Contrôle du covoiturage : les premiers radars en test sur le périphérique - Le Parisien. Les usagers du périphérique voyagent-ils seuls ou accompagnés ?
Les « caméras intelligentes » qui scrutent, depuis quelques jours, les automobilistes passant aux abords de la porte de Montreuil vont avoir pour mission de répondre à cette question. Deux modèles différents de radars de nouvelle technologie viennent d'être installés sur le terre-plein central de l'anneau parisien, dans le sens intérieur. Facebook. Stupéfiants : lancement d’une plateforme pour signaler les points de deal près de chez soi. Après une plateforme de lutte contre les discriminations en février, le gouvernement met à nouveau les citoyens à contribution sur ses sites internet.
Gérald Darmanin a annoncé ce mercredi 3 mars l’ouverture d’une plateforme permettant à chacun de signaler à la police et à la gendarmerie les points de deal près de chez lui. A partir de ce jour, chaque citoyen pourra faire ce signalement sur Moncommissariat.fr, et en zone gendarmerie sur la page Ma brigade numérique, a-t-on précisé au ministère de l’Intérieur. Les informations seront ensuite transmises aux policiers et gendarmes concernés, a-t-on ajouté. Se connecter à Facebook. (3) Facebook. Le port du masque ne protège plus de la reconnaissance faciale. Publié le : 28/01/2021 - 11:51.
Comment le maquillage peut nous protéger de la reconnaissance faciale ? Dans les rues de Londres, le collectif anti-surveillance The Dazzle Club milite silencieusement et à couvert.
Son arme de prédilection ? Le maquillage asymétrique pour tromper les dispositifs biométriques de reconnaissance faciale. Trois de ses fondatrices, Emily Roderick, Georgina Rowlands et Anna Hart, nous racontent. Août 2019. La vidéosurveillance dans le viseur de la Cour des comptes. A l’occasion de la publication, le 20 octobre, de son rapport sur la police municipale, la Cour des comptes renouvelle ses interrogations sur la vidéosurveillance.
Elle constate notamment qu’aucune recommandation qu’elle avait pourtant formulée en 2011 dans le cadre d’un précédent rapport sur l’organisation et la gestion des forces de sécurité publique, n’ont été mises en oeuvre. À lire aussi La Cour des Comptes appelle l’Etat à clarifier le rôle des polices municipales Dans le viseur, tout d’abord : le coût de la vidéosurveillance, difficile à évaluer tant les périmètres et le matériel diffèrent. Les auteurs du rapport observent que le coût d’installation d’une caméra peut aller du simple au quintuple. Strasbourg : quatre mois de prison ferme pour le livreur antisémite, les failles de Deliveroo mises en cause. Comme l’impression d’un délibéré pas totalement complet...
C’est le sentiment ce jeudi 14 janvier après la condamnation d’un livreur Deliveroo accusé d’avoir refusé la livraison de deux restaurants israélites de Strasbourg. L’homme, de nationalité algérienne, poursuivi pour discrimination, a été condamné à quatre mois de prison ferme. Le jeune homme, âgé de 19 ans, devra quitter le territoire français après avoir purgé sa peine.
La sanction est lourde, tout comme les mots du président du tribunal : "Vous qui n’avez pas été élevé en France, je vous rappelle qu’on doit respecter tout le monde dans ce pays, quelle que soit sa religion". Le livreur avait lancé jeudi dernier à l’un des restaurateurs : "Je ne livre pas aux juifs". "J’ai demandé l’origine de la cuisine parce que je suis curieux" Le «pétage de plombs» de l’ancien commissaire qui filmait sous les jupes au BHV - Le Parisien. «Comment expliquer un tel passage à l'acte chez une personne qui a eu un parcours aussi exemplaire ?»
Devant la 28e chambre correctionnelle du tribunal de Paris, la procureure semble presque sonnée. Daniel P. , ex-n°2 de la police du Val-de-Marne, tout juste retraité, a été surpris au cœur de l'été filmant sous les jupes des femmes, microcaméra sur une chaussure, dans les allées du BHV Marais à Paris. Le contraste entre les faits, «peu fréquents» selon la procureure, et le CV de l'ancien directeur territorial adjoint de la sécurité de proximité du Val-de-Marne (DTSP 94), un peu falot à la barre du tribunal, a en effet de quoi dérouter. « Un bicot comme ça, ça nage pas » : un policier exclu 3 jours - Le Point. Le 8 novembre 1892 explosait le commissariat de la rue des Bons-Enfants. Le mardi 8 novembre 1892, une bombe destinée à faire sauter les bureaux de la compagnie des mines de Carmaux est amenée par le concierge du bâtiment au commissariat de police du 1er arrondissement de Paris, sis 21, rue des Bons-Enfants.
Elle y explose, tuant Étienne Fomorin, Marc Réaux, Henri Pousset et Charles Troutot, tous les quatre policiers ; une cinquième personne, Raymond Garin, garçon de recettes à la Compagnie des Mines de Carmaux ; puis une sixième personne, le sous-brigadier Émile Henriot est victime d’une crise cardiaque en entrant sur les lieux du drame. L’attentat n’aurait pu être qu’un attentat de plus dans la fin du XIXe siècle français en pleine guerre sociale entre anarchistes et représentants du pouvoir bourgeois. Fichage politique: des décrets élargissant dangereusement le spectre des personnes visées. La liste des coupables s’allonge. Au tour des universités ? Au Journal officiel de ce 3 décembre 2020, on trouve le décret portant dissolution d’un « groupement de fait », l’« Association de défense des droits de l’homme – Collectif contre l’islamophobie en France ».
Cette association était plus connue sous le nom de « CCIF ». Ce décret de dissolution inhabituellement long – trois pages – a déjà largement été commenté et dénoncé. Academia se permet néanmoins d’insister sur un point : il est important de lire avec attention l’argumentation de ce décret — ce qu’en droit, on nomme les motifs — et d’observer par quels sautillements logiques le gouvernement en arrive aux pires conclusions.
C’est même crucial pour la communauté de l’ESR, dans un contexte bien particulier d’attaques contre les libertés académiques. Certes, ce n’est pas la même artillerie qui est déployée contre le CCIF, d’un côté, et contre les universités et les scientifiques, de l’autre ; mais les petits bonds logiques qui y conduisent présentent de très fortes ressemblances. (37) Innocent, il s'est fait tirer dessus par la police, le témoignage de Paul. Pédocriminalité: fiasco policier dans une école parisienne. Une enquête pour traite des êtres humains expose les pratiques de l’industrie du porno.
La préfecture de police de Paris a menti pour couvrir les tirs d’un policier sur des jeunes innocents. (363) LES VÉRITÉS D'UN POLICIER SUR LE SCANDALE DE L'AFFAIRE MICHEL. 15 mois de prison ferme pour un clip de rap évoquant l’assassinat de Samuel Paty. Un rappeur de 18 ans a été condamné jeudi 26 novembre à 15 mois de prison ferme par le tribunal correctionnel de Meaux après avoir diffusé un clip de rap où il clamait « On découpe comme Samuel Paty, sans empathie », sur fond de machettes et de scies. Interpellé mardi 24 novembre à Lagny-sur-Marne, en Seine-et-Marne, il a été condamné en comparution immédiate pour apologie du terrorisme, port d’arme prohibé de catégorie D et recel de destruction par moyen dangereux pour les personnes, a indiqué à l’AFP le parquet de Meaux.
Le clip du morceau intitulé « Samuel Paty », diffusé sur YouTube, met en scène ce rappeur entouré de jeunes masqués de noir et armés de machettes, couteaux et scies. En décor, une voiture qui brûle. (332) À l’air libre (33) Violences policières, racisme: « Un puissant déni » REPLAY. Violences contre un producteur : "Si la justice conclut à une faute, je demanderai la révocation des trois policiers", annonce Gérald Darmanin, invité du "20 heures" de France 2. Retrouvez ici l'intégralité de notre live #DARMANIN 20h44 : Comme il s'y est engagé, le ministre de l'Intérieur vient de publier sur Twitter le rapport de l'IGPN concernant les violences qui ont émaillé lundi soir l'évacuation de migrants de la place de la République.
On y lit notamment que le commissaire divisionnaire qui a fait un croche-pied à un migrant, ce soir-là, a commis un "manquement par un usage disproportionné de la force". Vous pouvez consulter le rapport intégral ici. (327) Cette folle scène de violences policières aurait pu rester cachée. #RDLS124 - Confinement, état d'urgence : le régime autoritaire. Macron à la dérive autoritaire : le document choc.
Pour la deuxième fois en un an, le gouvernement a recours à d’intenses restrictions de libertés pour juguler l’épidémie de Covid 19. Depuis le mois de mars, nous sommes passé d’un état d’urgence sanitaire à un régime transitoire sans retour à la normalité démocratique puis de nouveau en état d’urgence. L’accoutumance de notre société aux états d’exception permanents semble progresser à l’ombre de justifications évidentes : le terrorisme et la menace sanitaire. Ni l’un ni l’autre ne sont pourtant des fatalités qu’on ne pourrait maîtriser d’une autre façon plus rationnelle et démocratique. Violences policières: les camouflages de la «CSI 93» mis au jour par l’IGPN.
Mathieu Rigouste : « Pour prospérer, le capitalisme joue la carte sécuritaire » Mathieu Rigouste est sociologue et essayiste, chercheur indépendant en sciences sociales. Il a notamment publié Un seul héros, le peuple (éditions Premiers Matins de Novembre, mars 2020) et La domination policière — une violence industrielle (La Fabrique, novembre 2012). Reporterre — Que pensez-vous du déchaînement rhétorique et verbal qui s’est produit à propos de l’« islamo-gauchisme » ?
Mathieu Rigouste — Lorsqu’un système de domination entre en crise, il a tendance à piocher dans des répertoires qui ciblent d’un côté les révolutionnaires et de l’autre les « impurs ». Il désigne un ennemi intérieur à deux faces, quelque chose comme une alliance entre l‘étranger et le subversif, qu’il s’agirait de purger pour rétablir l’ordre social.
« Loi sécurité globale ». La macronie s'attaque toujours plus aux droits de la presse et de manifester. C’est une étape de plus dans le saut répressif du gouvernement qui a lieu depuis quelques semaines. Après l’annonce de la dissolution de BarakaCity, la création d’une unité de contre-discours républicain pour encadrer les réseaux sociaux, c’est une nouvelle proposition de loi liberticide qui est à l’agenda de la macronie. C’est le spectre de la loi Avia, qui constituait un dangereux outil de censure mais qui avait été retoquée par le Conseil Constitutionnel qui plane derrière ces nouvelles mesures. A l’époque, c’est l’amateurisme du gouvernement qui avait été pointé dans l’échec de sa promulgation, puisqu’il avait proposé une loi retoquée quasiment de fond en comble.
En quoi consiste « l’unité de contre-discours républicain » qui va bientôt être mise en place sur les réseaux sociaux ? Après l’assassinat de Samuel Paty, la ministre déléguée à la Citoyenneté, Marlène Schiappa, a annoncé la création d’une « unité de contre-discours républicain sur les réseaux sociaux ». Frédéric Lordon : "Cette police est foutue, raciste à cœur, hors de contrôle, devenue folle de violence, d’enfermement dans le déni collectif et n’a que les épisodes d’attaques terroristes pour se refaire la cerise" Première partie - FRUSTRATION. Crédit photo : Stéphane Burlot pour “Ballast”. Podcast : dans la police, le petit business de “l’outrage à agent” Télérama et des tiers selectionnés, notamment des partenaires publicitaires, utilisent des cookies ou des technologies similaires.
Les cookies nous permettent d’accéder à, d’analyser et de stocker des informations telles que les caractéristiques de votre terminal ainsi que certaines données personnelles (par exemple : adresses IP, données de navigation, d’utilisation ou de géolocalisation, identifiants uniques). Envoyés en prison comme 440 autres Gilets jaunes, ils racontent. Lundi 10 décembre, tribunal de Valence (26) – La décision du juge percute Maria aussi sèchement qu’un crochet au visage. « Placement en détention provisoire. » La femme, en larmes, s’écroule dans les bras de son voisin, Stéphane. À Kenosha, des images attestent que la police a laissé le tireur présumé partir librement. L'Elysée paie en partie les frais de justice de Claude Guéant, ex-secrétaire général de l'Elysée et ex-ministre de Nicolas Sarkozy.
C'est une information révélée par France Inter. Fait désormais partie de Verizon Media. Les forces de l’ordre social, par Laurent Bonelli (Le Monde diplomatique, juillet 2020) Un policier condamné aux assises, toujours en poste, devient délégué syndical Décès suite à une intervention policière : les deux-tiers des affaires ne débouchent sur aucun procès. « Je peux vous assurer qu’il n’y a aucune impunité pour la police ». Invité par le journal Le Parisien début juin, le directeur général de la Police nationale, Frédéric Veaux, se veut catégorique face aux lecteurs désireux d’obtenir des explications, dans le contexte d’une mobilisation d’une ampleur inédite contre les brutalités policières [1]. Maurice Rajsfus, encyclopédie des violences policières. Les fiches bristol sont si serrées dans leur boîte en plastique qu’il peine à les sortir. Maurice Rajsfus feuillette certains des articles qu’il a, sur plus de quatre décennies, soigneusement découpés et collés sur chacune de ces feuilles cartonnées : «Tous les soirs, quand je rentrais de mon boulot, je m’attaquais à ça.»
Meurtres et mensonges d'État : la police française a tué au moins 12 personnes durant le confinement. Durant ces 2 mois de confinement, si un certain nombre de violences policières ont pu être dénoncées grâce aux images et aux révoltes dans les quartiers populaires et mises en lumière dans les médias, les morts liées aux interventions de la police sont restées dans l’angle mort. Malgré un article publié le 20 avril sur cette situation, largement relayé et suivi de tribune, aucun média national n’a titré sur ces morts, aucun média national n’a titré sur ces morts. Débat : Quand « le libre choix » cache la société disciplinaire que dénonçait Michel Foucault. Sihame Assbague - Ces dernières semaines, la police dans... (470) A nos corps défendants - 2020 - 90 min - FR / ENG (enable subtitles !) #OnNoublieraPas que le préfet de Seine... - Partager C'est Sympa. Orientations, par Frédéric Lordon (Les blogs du Diplo, 7 avril 2020)
Au nom du coronavirus, l’État met en place la société de contrôle. Confinement: dans les quartiers populaires, attention aux contrôles sous tension. Un millier de gilets jaunes condamnés à de la prison ferme depuis le début du mouvement (124) Samedi 15 février gilet jaune □ Réprimer la délinquance des puissants, par Vincent Sizaire (Le Monde diplomatique, février 2020) La vidéosurveillance intelligente s'installe à Marseille, deux associations tentent de la faire suspendre - Médias / Net. (888) Bernard Harcourt : "La société d'exposition"
(869) Police et démocratie : les défis de l’égalité et de la diversité - Sebastian ROCHE. Sebastian Roché, De la police en démocratie. (413) Lawfare : Le cas Mélenchon (Documentaire) Police Use Face-Recognition Software as India Protests Intensify. Ce qui se cache derrière les suicides en prison - Léa Gasquet. (1842) GAZ LACRYMOGÈNE : UN SCIENTIFIQUE SONNE L'ALERTE. « Allez-y franchement, n’hésitez pas à percuter. Ça fera réfléchir les suivants » : le jour où la doctrine du maintien de l’ordre a basculé. L'État d'exception selon Giorgio Agamben. « Capitalisme carcéral » : la prison du futur sera partout. Internet-signalement.gouv.fr - Portail officiel de signalements de contenus illicites - Accueil.
Selon des experts, l'utilisation d’armes imprimés en 3D à Halle doit servir d'avertissement pour les autorités. (379) François Sureau : «L’État cherche toujours à réduire la liberté» Big Brother Awards - Éditions Zones. Ce que tout révolutionnaire doit savoir de la répression - Éditions Zones. Manifestations à Paris : les policiers sont «au bout du rouleau» Acte 46 à Toulouse : LDH et journaliste matraqués par des membres des forces de l’ordre (VIDEO) Gilets jaunes face à la justice : 3000 condamnations prononcées, 1000 peines de prison ferme. François Sureau : "La liberté a déjà disparu" Nantes Révoltée - MEDIA & RÉPRESSION : DISSONANCE... UNE HISTOIRE FRANÇAISE DE LA RÉPRESSION D'ÉTAT. La lutte contre les drogues, une «guerre raciale» Nantes Révoltée - HALLUCINANT : GUET-APENS POLICIER POUR... L'autoritarisme, stade suprême du néolibéralisme. La soirée des policiers déguisés en Noirs fait désordre. La vidéosurveillance ne sert presque à rien.
Vidéosurveillance: une sociologue derrière la caméra. Dans l’affaire Liu Shaoyao, tué en 2017 par un tir policier, les juges ordonnent un non-lieu. COLOMBES : PLONGÉE DANS UNE POLITIQUE DE VIOLENCES POLICIÈRES. MORT DE ZINEB REDOUANE : ENTRE ZONES D'OMBRES ET FAITS ACCABLANTS. Suède: La ville d’Eskilstuna instaure un permis de mendier. À Hong Kong, les méthodes ingénieuses des manifestants contre la police. Black men 2.5 times more likely than white men to be killed by police. Les commissaires de police toucheraient des primes à la garde à vue. « Ne parlez pas de violences policières » : bref historique d’un déni politique. Morts à la suite d'interventions policières - une enquête de Basta Mag. CŒUR DE BOXEUR : LA VÉRITÉ SUR CHRISTOPHE DETTINGER - AVEC ANTOINE PEILLON. Gaz lacrymogène, des larmes en or, par Anna Feigenbaum (Le Monde diplomatique, mai 2018) Maintien de l’ordre, les faux-semblants du modèle français, par Vincent Sizaire (Le Monde diplomatique, avril 2019)
Où est Steve ? (et où va la police ?), par Frédéric Lordon (Les blogs du Diplo, 15 juillet 2019) Des Gilets jaunes ont-ils été parqués dans un entrepôt le 14 juillet? (vidéo) En Cause - Des citoyens en colère, qui ont fait du bruit... Pont de Sully: l’usage de gaz lacrymogène a été tel que le commandant des CRS a perdu connaissance. Ces avocats qui mettent en scène la souffrance des accusés pour adoucir le juge. Abolir la prison, ses mécanismes et ses logiques. Ces prisonniers qui ne cessent de payer, par Jean-Marc Rouillan (Le Monde diplomatique, juin 2005) La prison comme arme absolue, par Loïc Wacquant (Le Monde diplomatique, septembre 2004)