Fusion Nucléaire. Il y a 65 ans, EDF produisait le premier kWh électrique d’origine nucléaire - Le Point. Parc nucléaire français : nombre de réacteurs, localisation, chiffres clés. Nucléaire : la France parie sur les petits réacteurs modulaires. Rolls Royce vient de se lancer dans un pari fou : le nucléaire. Rolls-Royce est connue pour ses voitures, mais la marque est loin de faire que ça.
Preuve de ses connaissances tentaculaires, elle vient de se lancer dans le nucléaire. Quand on évoque le nom de Rolls-Royce, la première image qui vient en tête à beaucoup de personnes, c’est celle d’une voiture de luxe, dans le pure style britannique avec son logo reconnaissable entre 1000. Mais il serait fou de penser que la firme anglaise ne se résume qu’à ça. Nucléaire : Macron annonce la construction de nouveaux réacteurs. Le président Emmanuel Macron a annoncé mardi que la France allait construire de nouveaux réacteurs nucléaires sur son sol, soulignant les avantages de cette énergie, notamment du point de vue climatique.
"Nous allons, pour la première fois depuis des décennies, relancer la construction de réacteurs nucléaires dans notre pays et continuer de développer les énergies renouvelables", a-t-il dit dans une allocution télévisée, sans donner plus de détail à ce stade. Cela "pour garantir l'indépendance énergétique de la France, pour garantir l'approvisionnement électrique de notre pays et atteindre nos objectifs, en particulier la neutralité carbone en 2050", a-t-il fait valoir. La France, qui tire la majorité de son électricité du nucléaire, ne construit actuellement qu'un seul réacteur nucléaire de nouvelle génération, l'EPR de Flamanville (EDF), dont le chantier entrepris en 2007 n'est toujours pas achevé.
Nicolas Hulot reporte l’objectif de baisse du nucléaire de 50 % prévu pour 2025. Anne Lauvergeon: réduire la part de nucléaire à 50% d’ici 2025 "n’est pas réaliste" Les engagements de François Hollande sur le nucléaire "seront bien évidemment respectés". L'Elysée tente de calmer le jeu après les déclarations d'Anne Lauvergeon, ce mardi 3 décembre, sur France Inter. L’ancienne présidente d’Areva avait annoncé qu’il ne serait probablement pas possible de réduire la part de nucléaire dans la production électrique française à 50% d’ici 2025, ce qui était l’une des promesses de campagne de François Hollande. "On ne peut pas se permettre de passer de 75% d'énergie nucléaire à 50% d'ici 2025, comme il a été annoncé (…) Cela poserait un problème grave. Cela voudrait dire arrêter une vingtaine de réacteurs. Je ne pense pas que cela soit réaliste aujourd'hui sur le plan économique et pratique", a-t-elle expliqué.
Pourquoi un «Airbus de l'énergie» ne verra pas le jour. COOPERATION – La volonté de créer un champion franco-allemand de l'énergie était l'une des annonces phares de François Hollande lors de sa dernière conférence de presse...
L’énergie. Ce sujet sera au cœur du Conseil des ministres franco-allemand qui se tient mercredi à Paris. Mais dans ce domaine, le rendez-vous ne s’achèvera pas par une annonce spectaculaire. Le lancement d’un champion binational de la transition énergétique, l’équivalent d’Airbus dans l’aviation, n’aura pas lieu. Créer cet «Airbus de l’énergie», c’était pourtant la volonté du président François Hollande. «L’économie, ça ne marche plus comme ça aujourd’hui» Car, outre-Rhin, créer un Airbus de l’énergie est hors de propos. L’Elysée calme aussi le jeu, et l’enjeu. A défaut d’un Airbus énergétique, Berlin et Paris devraient donc annoncer l’émergence d’une plateforme, accessible aux industriels, aux chercheurs ou encore aux financeurs français et allemands.
Nucléaire : fermer les centrales en fin de vie coûterait 250 milliards selon Bruxelles. La Commission européenne estime qu’il faudra des investissements de plus de 250 milliards d’euros pour fermer les centrales nucléaires en fin de vie de l’Union européenne (UE), d’ici à 2050.
Bruxelles chiffre à 123 milliards d’euros les fonds nécessaires pour le démantèlement des centrales, et à 130 milliards les fonds destinés à gérer les déchets nucléaires, dans son projet de programme indicatif nucléaire (PINC) publié lundi 4 avril, le premier rapport de ce type depuis l’accident de la centrale japonaise de Fukushima en 2011.
Ces montants ont progressé de 47 % depuis la publication du précédent PINC en 2008, a souligné une source proche de la Commission. « L’expérience en matière de démantèlement des réacteurs dans le monde est assez maigre », note la Commission dans sa communication. « Il y a 89 réacteurs nucléaires fermés définitivement en Europe à la date d’octobre 2015, mais seulement trois réacteurs ont jusqu’ici été complètement démantelés », tous en Allemagne, rappelle-t-elle. Une sortie progressive du nucléaire coûterait très cher, selon le patronat. Une sortie progressive du nucléaire coûterait très cher, selon le patronat PARIS - Une sortie progressive du nucléaire en France d'ici 2030 coûterait très cher, la facture des particuliers risquant d'augmenter deux fois plus vite en moins de vingt ans, selon une étude des professionnels de l'électricité publiée lundi.
En plein débat sur l'avenir de l'atome à six mois de l'élection présidentielle, l'Union française de l'électricité (UFE), le syndicat professionnel représentant les grandes entreprises du secteur comme EDF ou GDF Suez, se garde de prendre clairement position sur cette question cruciale entre écologistes et pro-nucléaires.
En estimant que le statu quo paraît la solution la moins onéreuse, cette étude égratigne la solution préconisée par le candidat socialiste François Hollande.