25 fév. 2021 Prolongation du fonctionnement des réacteurs de 900 MW au-delà de 40 ans : l’ASN revoit ses exigences à la baisse pour satisfaire celles d’EDF et du gouvernement. Communiqué du 25 février 2021.
Si cette prolongation provoque un accident grave, qui sera responsable, EDF ou l'ASN, ou l'Etat qui chapeaute le tout ? – alwen
Que RTE fasse son travail permettant à l’ASN de faire le sien. #nucléaireRéseau de Transport d’Electricité (RTE) consulte le public sur des scénarios énergétiques de long terme, très techniques et complexes, qui n’engagent à rien et ne sont pas de la compétence du public.
Pendant ce temps l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) prend des décisions allant à l’encontre de la sûreté nucléaire, valide les demandes d’EDF et accepte ses conditions pour permettre au nucléaire civil de perdurer. Mais le public n’est jamais consulté officiellement sur la question fondamentale et de sa compétence : voulez-vous l’arrêt de la production d’électricité nucléaire ? Remettons chacun dans son rôle et exigeons de RTE l'étude de scénarios d'arrêt en urgence des réacteurs nucléaires si la sûreté le requiert. [ 1 200 participations ] Cyberaction mise en ligne le 26 février 2021 Elle sera envoyée à Président de RTE Elle prendra fin le : 05 mars 2021 Plus d'infos. Révélation : de nouvelles malfaçons sur les Générateurs de Vapeur des centrales nucléaires françaises - CANSE. Et ça continu.
Vous avez aimé les viroles vérolées et soudures dessoudées de l'EPR d'EDF à Flamanville, vous avez apprécié les dissimulations des mauvaises fabrications et malfaçons d'Areva-Creusot Loire, vous avez applaudit aussi ce tour de force de la chute d'un Générateur de Vapeur à la centrale atomique EDF de Paluel, vous êtes resté bouché bée face aux barres de "combustibles" radioactifs coincées en l'air dans un réacteur nucléaire à Tricastin et qui ont menacé toute la Provence, vous n'êtes pas resté insensible à l'explosion du four de fusion de déchets métalliques radioactifs de la Centraco-EDF/Areva à Marcoule : vous allez apprécier les défauts du traitement thermique par Framatome (ex-Areva devenu EDF) des joints soudés des générateurs de vapeurs.
C'est la nouvelle saison à rebondissement que révèle l'Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire ce 12 septembre 2019. Chapeau bas devant les scénaristes nucléocrates tricolores! Pour eux la mort est notre quotidien. Report et remise en cause de l’installation des diesels d’ultime secours : l’ASN aux ordres de l’industriel ?
En cours / Installation : EDF Le 27 février 2019, l’ASN a publié deux décisions qui actent, d’une part, le report de l’échéance pour l’installation des diesels d’ultime secours (DUS) pour 54 réacteurs, EDF étant dans l’incapacité de respecter la date initialement fixée au 31 décembre 2018, et d’autre part, qui revient sur la nécessité d’une telle installation en ce qui concerne les réacteurs de la centrale de Fessenheim au vu de sa fermeture prochaine.
EDF s’est montrée négligente dans l’installation d’équipements importants pour la sûreté Lors de l’accident de Fukushima, les générateurs diesels destinés à l’alimentation électrique de secours avaient été détruits, ne permettant plus d’assurer le refroidissement des réacteurs. Or dans cette affaire, EDF a encore démontré que la sûreté des installations et la protection des populations n’étaient pas sa priorité ! Ce retard n’était pas lié à une approche perfectionniste.
Nucléaire: la CRIIRAD conclut à une "vraie faillite" de l'ASN. Lettre mensuelle CRIIRAD - N°46 - Avril 2018 (extrait)Audition Parlementaire de Roland Desbordes du 5 avril L'actualité ayant mis en évidence des failles dans la sécurité des installations nucléaires, une commission parlementaire a été créée pour tenter de « faire le jour » sur ces questions.
Roland Desbordes* a été sollicité pour être auditionné. Les problèmes liés aux équipements sous pression ont été mis en évidence. Il est admis qu'ils ne doivent pas présenter le moindre défaut. Leur rupture entraînerait un accident grave à cinétique rapide, scénario actuellement exclu des études de danger. La CRIIRAD a étudié les informations diffusées par l'ASN (Autorité de Sûreté Nucléaire) et les exploitants (voir notre TU n°75). Les exploitants sont bien sûr responsables de cette situation, mais nous avons pu aussi prouver que l'ASN, notre «gendarme», n'était pas indemne de tout reproche. . * Actuellement, Roland Desbordes, physicien, préside le Conseil d’Administration de la CRIIRAD.
L’ASN prise à son tour dans le piège de l'EPR. Scandale de la cuve de l’EPR : comment faire confiance à une autorité de contrôle qui n’agit pas ? Le chantier doit être abandonné immédiatement et définitivement. Communiqué du 1er avril 2017 Comme le prouvent des documents révélés le 31 mars 2017 par France Info, l’Autorité de sûreté nucléaire avait eu connaissance dès 2005 de graves problèmes à l’usine de Creusot Forges, où devait être fabriquée la cuve de l’EPR de Flamanville.
Pourquoi l’ASN n’est-elle pas intervenue plus tôt ? Alors que le président de l’ASN s’était dit « effondré » par ce qu’il avait constaté dans l’usine en 2006, pourquoi le gendarme du nucléaire n’a-t-il pas interdit la production, sachant que les aciers ne pouvaient pas être aux normes ? Alors que la cuve est censée ne surtout pas rompre, pourquoi l’ASN, malgré ses suspicions, a-t-elle laissé fabriquer un élément dont elle pressentait bien qu’il comporterait des défauts ? Pourquoi a-t-elle laissé Areva installer cette cuve avant d’effectuer des tests, alors que cet équipement, une fois posé, ne peut quasiment plus être retiré sauf à détruire ce qui l’entoure ?
Rapport de sûreté 2014 : les paradoxes d'un discours et les limites d'une pratique. Rarement le Rapport annuel sur la sûreté et la radioprotection n’a suscité autant d’articles dans la presse et de commentaires.
Pourtant rien ne semble différencier le cru 2015 de celui des années précédentes. L’Autorité nucléaire propose un discours de prime abord très classique. Mais la prose de l’ASN est plus complexe que peut le laisser penser une lecture rapide. Chaque mot compte surtout ceux qui sont soigneusement évités par les rédacteurs du rapport : Le nucléaire français se prépare à un scénario Fukushima. Une sûreté nucléaire « globalement assez satisfaisante » : vraiment pas rassurant.
Communiqué de presse du 16 avril 2013 L’autorité de sûreté nucléaire a présenté ce jour un bilan annuel de la sûreté « globalement assez satisfaisant ».
L’expression ne peut manquer de faire penser au « bilan globalement positif » du communisme… mais avec encore moins d’enthousiasme ! Si la sûreté n’est que globalement assez satisfaisante, cela signifie nécessairement que, dans le détail, elle est souvent insatisfaisante. Cela en dit long sur la gêne manifestée par l’ASN. Et on la comprend ! On la comprend aussi au regard des stress tests effectués au lendemain de Fukushima il y a 2 ans, dont la Commission Européenne estimait qu’ils montraient que les réacteurs français étaient les moins sûrs.
Denis Baupin. Audition de l’Autorité de sûreté nucléaire. Six centrales nucléaires épinglées par l'Autorité de sûreté. Le gouvernement s'est engagé à fermer avant la fin 2016 la centrale de Fessenheim, vétuste et située en zone sismique et inondable.
Mais ce n'est pas la seule centrale à poser de graves problèmes, si l'on en croit le rapport annuel de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) présenté mardi. Cinq autres ont présenté en 2012 un niveau insuffisant de sûreté ou de radioprotection, d'après le document. Des défaillances du point de vue de la sûreté ont été constatées par le gendarme du nucléaire dans les centrales de Civaux, Cruas, Paluel, Chinon, cette dernière ayant déjà été pointée du doigt pour l'année 2011.