Vivre avec les robots, entre mythe et réalité - Les enquêtes de demain. L’homme de l’année 2013 est un robot - Arts et scènes. Tous les ans, entre Noël et le jour de l’an, certains journaux élisent un homme, ou une femme, de l’année.
J’ai décidé de griller tout le monde et de le nommer dès maintenant : l’homme de l’année est un robot. On n’arrête pas de nous entreprendre avec ça depuis quelques mois. 2013 serait le début du règne des machines. L’an 1 d’une ère nouvelle, et évidemment radieuse, où les algorithmes tiendront lieu d’intelligence, et où chacun aura un androïde de compagnie dans son salon. Je suis peut-être pessimiste, mais j'ai peur que notre société ne sorte pas de la crise économique par l’écologie, par l'humanisme et encore moins par la révolution, mais grâce à encore plus de fuite en avant technologique. C’est ce que nous a promis le Consumer electronic show de Las Vegas en janvier. J’ai lu il y a quelques jours sur le site du très libéral quotidien Les Echos qu’une entreprise japonaise venait d’installer des humanoïdes sur ses chaînes de montage.
Bientôt des robots pour l’accueil et la médiation dans les musées ? Un jour peut-être, dans un futur plus ou moins proche, les visiteurs des musées pourront être accueillis, informés et guidés par…des robots.
Loin de la science-fiction, Innorobo, le salon international de la robotique, présentait en mars dernier à Lyon les nouveaux robots destinés à faciliter la vie de l’Homme. Certains pourraient même avoir leur place dans nos musées ! Docent, un robot « savant » pour les musées Ce robot-guide est le seul ayant été conçu spécialement pour les musées. Il est d’ailleurs déjà utilisé comme « agent de médiation » dans un musée coréen.
L’écran situé au niveau de la tête de ce petit cosmonaute lui permet de changer d’expression. D’autres robots pour accueillir et informer Plusieurs autres modèles de robots présentés à Lyon pourraient également faire leur entrée dans des lieux culturels. . La tête de ce robot est en fait un écran qui permet d’afficher un avatar sous la forme d’un visage humain. . L’expérience du Château de Versailles. Hubot Market : Bienvenue dans notre magasin en ligne - ARTE. Real Humans. Avril 3rd, 2013 Posted in Robot au cinéma, Série Il arrive souvent que je raconte le scénario complet des films ou des séries dont je parle ici, mais cette fois, je vais me retenir, car ce serait un peu cruel pour les éventuels spectateurs puisque Real Humans ne sort officiellement en France que demain, à la fois sous forme de DVD et à la télévision, sur la chaîne Arte qui en diffusera deux épisodes chaque jeudi.
Sur la jaquette du DVD, un autocollant affirme que Real Humans se situe « entre Blade Runner et Millenium » : Blade Runner à cause des créatures humanoïdes, et Millenium, parce que cette série, dont le vrai titre est Äkta Människor (« personnes authentiques »), a été produite en Suède. On cherchera en vain un lien avec Millenium, série de romans qui sert à vendre un peu n’importe quelle fiction septentrionale depuis quelques années. Il aurait été plus amusant et plus juste de dire « entre Blade Runner et Ikea » ou « entre Asimov et Volvo ». Bruno Bonnell, droïde de bonhomme. Adolescent, il dévorait Asimov et bricolait des moteurs de machines à laver pour créer des golems mécaniques.
A 55 ans, il se demande toujours avec K. Dick si les androïdes rêvent de moutons électriques. Du 19 au 21 mars, Bruno Bonnell, organise à Lyon la 3e édition du salon Innorobo : un «défilé de robots» unique en Europe. Il y en aura de toutes sortes. Le petit humanoïde Nao d’Aldebaran Robotics qui raconte des histoires et joue au football ; le chien Genibo du coréen Dasa Robot qui sait rapporter la baballe ; le robot majordome Jazz (Gostaï) ; ou encore le robot aspirateur Roomba (iRobot)… Entouré de son petit peuple cybernétique, Bruno Bonnell sera heureux comme un gosse. Schtroumpfs. «Bruno, c’est un hyperactif qui rêve en permanence l’avenir et qui a une incroyable capacité à rebondir. «Avoir été viré de mon groupe, c’est la meilleure chose qui me soit arrivée, comme à Steve Jobs», rigole Bonnell. Petits pains. Photo Sébastien Érome. Une main robot à la dextérité humaine.
Sous leur carapace de métal, les robots ont-ils un cœur ?