Des salariés de la banque Goldman Sachs demandent à ne pas travailler plus de 80 heures par semaine - Edition du soir Ouest-France - 19/03/2021. Auto-disruption : Goldman Sachs ne veut plus être une banque (et 35000 personnes bossent là-dessus) Goldman Sachs limite la journée de travail de ses stagiaires à 17 heures par jour. Un an après la mort soudaine d'un jeune stagiaire de Bank of America, Goldman Sachs vient de limiter le nombre d'heures effectuées par ses stagiaires.
Rentrez chez vous avant minuit! «Travaillez dur mais pas trop» et ayez «des centres d'intérêts en dehors de l'entreprise». Telles sont les consignes reçues par les stagiaires qui travailleront désormais chez Goldman Sachs cet été. Cette injonction intervient alors que le flot des stages d'été débute, un an après le décès d'un jeune de 21 ans, Moritz Erhardt. En stage de 7 semaines à Londres dans la prestigieuse Bank of America Merrill Lynch, le jeune Allemand avait été retrouvé mort après avoir travaillé 72 heures de suite! Culture d'entreprise "toxique" chez Goldman Sachs ? Un cadre supérieur de Goldman Sachs, qui claque la porte au bout de 12 ans, dénonce mercredi 14 mars dans une tribune au "New York Times" la culture d'entreprise "toxique" de la grande banque d'affaires, qui privilégierait systématiquement ses profits au détriment de ceux de ses clients.
Greg Smith, qui indique démissionner mercredi de son poste de directeur exécutif et responsable des produits dérivés américains en Europe, en Afrique et au Moyen-Orient, affirme que "les intérêts des clients continuent à passer au second plan dans la façon dont la banque fonctionne et pense à gagner de l'argent". "Quand les livres d'histoire seront écrits sur Goldman Sachs, ils pourraient bien montrer que le PDG actuel, Lloyd Blankfein, et le président, Gary Cohn, ont laissé tomber la culture de la firme quand ils en tenaient les rênes. Joue-la comme Goldman (Sachs) ! Comme dans la fable de la grenouille et du scorpion qui traversent la rivière, Goldman Sachs ne peut pas s’en empêcher ; parce que c’est dans sa nature… La banque Goldman Sachs est devenue ce qu’elle est parce qu’elle surpasse ses concurrentes dans tous les compartiments du jeu : plus intelligente, plus réactive, plus cynique ; bref, l’idée qu’on se fait du scorpion de la fable avec en plus, une aptitude à se sortir à chaque fois de la noyade.
Elle vient de faire une nouvelle démonstration de ses multiples talents à l’occasion de l’annonce du rachat de la société américaine HEINZ par Warren Buffett et son fourre-tout patrimonial Berkshire Hattaway qu’on ne présente plus, et un partenaire, pour 23 milliards de dollars. Goldman Sachs et la main visible. Goldman Sachs lie les bonus à des critères de performance à long terme. Goldman Sachs a décidé de tenir compte de critères de long terme dans sa politique d’attribution de bonus à ses cadres dirigeants, afin de ne pas « encourager une prise de risque inconsidérée », indique un document de cette banque américaine disponible en ligne samedi.
Goldman Sachs a adopté un « plan d’incitation financière à long terme en vertu duquel des récompenses fondées sur les résultats à long terme pourront être accordés de temps en temps à des employés clef » du groupe, indique ce document transmis à la commission des opérations de Bourse américaine (SEC). Tout bonus accordé conformément à cette nouvelle réglementation interne « sera conçu pour aligner la rémunération avec la performance à long terme d’une façon qui n’encourage pas une prise de risque inconsidérée », ajoute ce document disponible sur le site internet de la SEC. Ils avaient alors jugé encore « médiocres » dans biens des cas les mesures adoptées jusque-là par les banques pour se conformer aux objectifs du G20. La banque Goldman Sachs double son bénéfice.
La banque d'affaires américaine Goldman Sachs a annoncé mardi 16 juillet un bénéfice net part du groupe doublé sur un an au deuxième trimestre à 1,9 milliard de dollars, et meilleur que prévu, grâce à la vigueur de sa banque d'investissement.
Le bénéfice par action est ressorti à 3,70 dollars alors que les analystes tablaient en moyenne sur 2,82 dollars. Le chiffre d'affaires du groupe a progressé de 30% à 8,6 milliards de dollars sur la période sous revue, tiré lui aussi par la banque d'investissement dont les recettes ont bondi de 29%. L'action prenait 0,98% à 164,60 dollars vers 12H15 GMT lors des échanges électroniques précédant l'ouverture de la séance officielle. Un environnement favorable "La performance de l'entreprise a été solide particulièrement dans un contexte de confiance mitigée dans l'économie" a commenté le PDG Lloyd Blankfein, cité dans le communiqué.
Rémunérations en hausse (Avec AFP) Les illusions perdues d'un repenti de Goldman Sachs. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Marc Roche Pour les uns, Greg Smith est un David engagé dans un combat inégal contre Goliath, un ex-banquier repenti qui veut exorciser les démons de la finance folle.
Pour les autres, à commencer par son ex-employeur, la célèbre banque d'affaires américaine Goldman Sachs, le dénonciateur, qui a démissionné au printemps 2012, est d'abord motivé par la cupidité et l'amertume. A lire son livre Pourquoi j'ai quitté Goldman Sachs (JC Lattes, 402 p., 20 euros), publié mercredi 24 octobre, un brûlot sans excessive modestie avec en filigrane la constante obsession de l'autojustification, on pencherait plutôt pour la seconde version. Goldman Sachs; Quel cynisme ! De nouvelles révélations accablent la banque d’affaires américaine, qui semble avoir joué sur tous les tableaux, mettant Athènes à genoux.
Et l’euro en danger. Quel cynisme! Si l’on en croit le New York Times et l’hebdomadaire allemand Spiegel, ce sont les banques de Wall Street, comme Goldman Sachs, qui ont permis à la Grèce de s’endetter en cachette, bien au-delà des limites fixées par Bruxelles. Et cela, grâce à des montages financiers complexes, qui ressemblent curieusement aux subprimes responsables de la pire crise mondiale des quatre-vingts dernières années. Et ce n’est pas tout. Mais reprenons. Goldman Sachs Information, Comments, Opinions and Facts.