Acropole d'Athènes. Acropolis, Athens The Acropolis of Athens and its monuments are universal symbols of the classical spirit and civilization and form the greatest architectural and artistic complex bequeathed by Greek Antiquity to the world.
In the second half of the fifth century bc, Athens, following the victory against the Persians and the establishment of democracy, took a leading position amongst the other city-states of the ancient world. In the age that followed, as thought and art flourished, an exceptional group of artists put into effect the ambitious plans of Athenian statesman Pericles and, under the inspired guidance of the sculptor Pheidias, transformed the rocky hill into a unique monument of thought and the arts. Oracles et prodiges de Salamine. Hérodote et Athènes. Le présent texte se propose tout d'abord de réexaminer, à partir du prodige de Thria (8,65) comment les événements divins qui servent de trame au récit de Salamine peuvent éclairer la conception historique d'Hérodote, ensuite de reprendre la question des rapports de l'historien avec Athènes et de chercher la signification de l'attitude d'Hérodote philathénaios.
Le sens des oracles de Salamine : Athènes protégée par les dieux. Périclès. Stratège et homme d'État athénien (vers 495-Athènes 429 avant J.
-C.). Périclès a donné son nom à un « siècle » non pas tant par ses talents géniaux d'homme d'État, et surtout d'homme politique, que grâce à la durée tout à fait exceptionnelle de sa prééminence politique dans la démocratie athénienne, alors parvenue à son apogée. 1. L'essor de la démocratie 1.1. Périècle descend de deux familles nobles d'Arthènes. 1.2. Vers l'âge de 30 ans, Périclès fait son entrée en politique. Après l'assassinat d'Éphialtès (461), Périclès, devenu à son tour le chef de son parti, dirige l'État en tant que stratège, magistrature à laquelle il est réélu à quinze reprises au moins entre 443 et 429. Pour en savoir plus, voir l'article démocratie. La citoyenneté dans le monde antique - Citoyenneté et démocratie à Athènes. Si Athènes est, comme on le dit souvent et à juste titre, à l'origine de la démocratie, il ne faut pas pour autant croire qu'elle ressemble aux démocraties que nous connaissons.
Sa conception de la citoyenneté est en particulier très éloignée de la nôtre. Athènes et son empire Cliquez pour agrandir Au Ve siècle avant JC, Athènes prend l'ascendant sur les autres cités de la péninsule grecque. La frise des Panathénées. 26 décembre 1801 - Lord Elgin démonte le Parthénon. Le 26 décembre 1801 commence le démontage du Parthénon.
Le responsable est un général et diplomate écossais de 35 ans, Thomas Bruce, septième comte d'Elgin. Un premier navire, la frégate britannique Mentor, quitte le port grec du Pirée pour Londres avec à son bord de nombreux bas-reliefs enlevés au célèbre temple de l'Acropole... On peut aujourd'hui contempler les « marbres Elgin », hélas mutilés et encagés, sous les voûtes sombres du British Museum... Mais les Grecs ne perdent pas espoir de les voir prendre place dans l'écrin de verre du musée de l'Acropole, construit par Bernard Tschumi au pied de la colline sacrée et inauguré le 20 juin 2009. Fabienne Manière Le temple d'Athéna Le Parthénon a été construit par Périclès sur l'Acropole, de même que les Propylées, qui marquent l'entrée de la colline sacrée, et les temples de l'Erechtéion et d'Athéna Niké. Ces croquis, qui représentent en particulier les frontons et les métopes, sont aujourd'hui visibles au Louvre.
Démontage. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Vidéo La guerre d’Indépendance en Grèce Contexte historique.
Diplomatie Culturelle- Educative - Questions spécifiques de politique étrangère. La Grèce attache une importance particulière à la diplomatie culturelle en tant que moyen de rapprochement des peuples et d’exercice de la politique étrangère.
L’universalité de la civilisation hellénique constitue un dénominateur commun, favorisant la recherche de racines communes et de liens historiques. Les Programmes éducatifs et culturels bilatéraux constituent un instrument institutionnel fondamental de cette politique. Les diverses manifestations culturelles des autorités grecques à l’étranger contribuent, de manière dynamique, à la diffusion de la culture grecque classique et contemporaine. I. Une tribune pour la restitution des marbres du Parthénon accuse le British Museum. La frise du Parthénon, 160 m de marbre sculpté au Ve siècle avant notre ère parait la partie intérieure du monument jusqu’au début du XIXe siècle quand Thomas Bruce, plus connu sous son titre de Lord Elgin, l’a méthodiquement démontée et transportée à Londres où elle se trouve toujours.
C’est une des pièces maîtresses, elles y sont pourtant nombreuses, du British Museum. Renommée alors Marbres d’Elgin, ce chef d’oeuvre fait l’objet d’une demande de restitution par les autorités grecques depuis deux siècles, sans succès. C’est donc une controverse qui dure entre la Grèce et le Royaume Uni. Mélina Mercouri, alors Ministre de la Culture, avait fait une campagne poignante au milieu des années 1980 pour en obtenir la restitution.
Une tribune ravive le débat sur la propriété. PARTHENON by COSTA-GAVRAS - Vidéo Dailymotion. Le musée de l'Acropole est accusé de censurer le réalisateur français Costa-Gavras. Enseignement - Athènes et Londres se disputent les frises du Parthénon. Publication : 26 nov. 2013 A qui les Frises du Parthénon appartiennent-elles ? En 1806, l'Empire Ottoman offre au diplomate britannique Lord Elgin un ensemble comprenant 12 statues, 156 dalles de la frise du Parthénon, 15 métopes (la frise du temple d'Athéna Niké qui jouxte le Parthénon), et une cariatide servant de pilier en remerciement de son soutien contre les Français en Egypte ; au total la moitié des ornements du Panthéon.
Lord Elgin les emporte en Angleterre avant de les céder au British Museum. Ministre de la Culture grecque de 1981 à 1989 (puis en 1993-1994), Melina Mercouri essaie d'obtenir la restitution de cette œuvre du patrimoine mondial mais également du patrimoine grec. Le film sur le Parthénon de Costa-Gavras victime de la censure en Grèce. Le ministre grec de la Culture, Antonis Samaras, et le directeur du nouveau musée de l’Acropole, Dimitris Pantermalis, ont censuré une scène du dernier court métrage du réalisateur franco-grec, Costa-Gavras.
Réalisé à l’occasion de l’inauguration du nouveau musée de l’Acropole, ce film retrace l’histoire tumultueuse du Parthénon, jusqu’à son pillage par Lord Elgin en 1801. Les quelque douze secondes censurées montraient le saccage des métopes du temple par des Chrétiens des premiers siècles, qui condamnaient ainsi le paganisme et la nudité des statues. Costa-Gavras, à qui le président grec Karolos Papoulias a décerné en mars dernier le Prix d’honneur du 10e festival du film français en Grèce, s’insurge contre cette censure. Cette coupe est d’autant plus condamnable que le réalisateur s’est basé uniquement sur des faits historiques avérés.