Infections nosocomiales: 105 hôpitaux ont été passés à la loupe. L'Institut scientifique de santé publique (ISP) publie mardi, pour la première fois, une évaluation de l'hygiène au sein de 105 établissements de soins du pays.
Il ressort notamment que le staphylocoque doré résistant à l'antibiotique méticilline (MRSA) est en forte diminution, pointe l'ISP, qui salue aussi le respect des recommandations pour l'hygiène des mains. Le document met par contre en exergue des manquements et des disparités entre les Régions. L'un des points forts du rapport est "la diminution constante de l'incidence" des infections cliniques à staphylocoque doré "résistant à la méticilline (MRSA)", puisqu'elle a été divisée par trois en dix ans.
Au total, 105 hôpitaux ont fourni des données concernant l'hygiène dans leurs services. Ces données, datées de 2013, ont ensuite été classées par l'ISP sur base de trois indicateurs: l'organisation, les moyens investis ainsi que l'indicateur action. L'exercice sera réitéré chaque année afin de mesurer l'évolution en matière d'hygiène. CLIN de Hyères.
Vidéo Maladies infectieuses : toutes les vidéos Maladies infectieuses - Doctissimo.fr. Les isolements. Le masque et le soin. Antibiotiques : une arme en péril. Grâce au système belge de sécurité sociale, la plus grande partie de vos frais médicaux vous sont remboursés par votre mutualité.
Seuls les tickets modérateurs (montant qui reste à charge du patient, après l'intervention de l'assurance maladie) et les suppléments éventuels restent à votre charge. Le système du maximum à facturer (MAF), mis en place par le gouvernement il y a quelques années, complète encore cette protection puisqu'il vous garantit de ne pas dépenser plus d'une certaine somme pour vos soins de santé (on parle ici de soins remboursables et nécessaires). Seuls les tickets modérateurs que vous avez réellement payés sont pris en compte dans le système de calcul du MAF. Les suppléments éventuellement réclamés par les prestataires de soins n'entrent donc pas en considération. Pour bénéficier du MAF, vous n'avez aucune démarche à entreprendre. Hôpitaux: "de plus en plus de bactéries résistantes aux antibiotiques" - Santé. Le Vif Source: Belga lundi 30 septembre 2013 à 06h59 Malgré les campagnes de sensibilisation sur l'importance de l'hygiène, le nombre de maladies nosocomiales ne diminue pas.
Elles se révèlent de surcroît de plus en plus dangereuses. Selon De Standaard et Het Nieuwsblad, ce sont surtout les médecins qui présentent des mains sales. Environ 6% des patients contractent une infection nosocomiale lors de leur séjour en hôpital. La principale cause de ces infections nosocomiales est la mauvaise hygiène au niveau des mains. Hygienist.be.
Société Française d'Hygiène Hospitalière. NosoBase : Page d'accueil. Hygiène des mains. Revue aides-soignantes: hygiène et prévention des infections nosocomiales. Notions d'hygiène hospitalière. A.
Définitions généralesB. Fréquence : distinguer les études par incidenceC. CoûtD. Germes en cause* * * Classification des agents contaminants - bactéries* * * Classification des virusE. Evolution historiqueF. G. A. A. A. XII. Au terme de ce cours, vous pouvez aussi EVALUER VOS CONNAISSANCES DE BASE en répondant à quelques questions. Mise à jour : déembre 2004. SPILF - Infectiologie - Accueil. PLATEFORME FEDERALE d'Hygiène hospi. DESINFECTION. B.
Désinfection - Antiseptiques - Désinfectants 1. La désinfection - généralités Une désinfection est un procédé dont l'objectif est bien défini : elle est dirigée et vise à supprimer le danger lié à la présence de certains micro-organismes. Son but est de réduire le nombre de micro-organismes à un niveau tel que le risque de transmission d'une infection puisse être éliminé dans une application particulière. Ceci s'oppose à la stérilisation qui vise globalement à supprimer toute forme de vie, sans tenir compte de la nature et du danger relatif des diverses espèces de micro-organismes présents.
Un objet dûment désinfecté est sans danger microbiologique dans un cas particulier. Parmi les micro-organismes pathogènes, il existe des degrés différents de sensibilité aux agents de désinfection disponibles actuellement.Ainsi, le bacille de Koch, les virus des hépatites par exemple, sont plus difficiles à éliminer.