Quel droit pour les robots ? Cet article est publié dans le cadre de la première édition du Festival des idées, un événement organisé du 15 au 19 novembre 2016 par USPC et dont The Conversation France est partenaire.
Si l’on s’en tient à son étymologie, le mot « robot » se rapporte à une entité anthropomorphe, car ce mot a d’abord été employé pour désigner un automate humanoïde dans une pièce du tchèque Karel Čapek, RUR, les Robots universels de Rossum, créée en 1921. Mais depuis quelques années, le terme est utilisé en des sens bien plus larges. On parle aujourd’hui de robots pour désigner des machines-outils, des véhicules automatiques, des logiciels d’aide à la décision, des traders automatiques, des drones, des machines chirurgicales, des exosquelettes, voire des téléphones cellulaires (tous ces robots posent, au demeurant, de nombreux problèmes, ne serait-ce qu’en raison de la mémoire externe qu’ils peuvent, peu à peu, devenir pour les individus).
Tuer ou ne pas tuer : le dilemme moral ignoré par les robots tueurs. « Si des humains peuvent parfois se montrer inhumains, pourquoi des non-humains ne pourraient-ils pas se faire plus humains qu’eux, c’est-à-dire mieux se conformer aux principes normatifs définissant le fait de se conduire “humainement” ?
» (Grégoire Chamayou) Les robots létaux autonomes suscitent une forte inquiétude auprès du grand public. Cette dernière est alimentée par des mouvements qui militent pour l’interdiction de tels systèmes d’armements. Récemment, le Future of Life Institute a ainsi diffusé un petit film, très inquiétant, où l’on voit des mini drones équipés de systèmes de reconnaissance faciale se poser sur des têtes humaines afin d’y faire exploser leur charge creuse. Heureusement, il ne s’agit là que d’une fiction. Le robot tueur est par essence beaucoup plus qu’une arme, puisqu’il est apte à choisir et décider de lui même de tirer sur une cible ennemie.
Ces questions doivent être mises en perspective dans le cadre d’un processus global d’automatisation de la guerre. C'est quoi l'IA dans la médecine ?□□ Avec ECSDM, The French Radiologist et Julien.G. L’intelligence artificielle au service de l’humain ou son contraire? L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE AU SERVICE DE LA SANTÉ MENTALE.
Intelligence artificielle et santé. Des projets tentent de combiner les approches symbolique et d’apprentissage, afin de bénéficier à la fois du raisonnement de l’un et des performances de l’autre.
Ainsi, dans le projet Lerudi cité plus haut, la construction d’ontologies (IA symbolique) est faite à partir d’algorithmes numériques de fouille de texte. Autre exemple, l'interprétation d'images médicales pédiatrique est d'une importance majeure pour le diagnostic, le suivi des patients ou encore la préparation d'une intervention chirurgicale. L’I.A. en Santé : entre éthique et droit, quelles sont les 13 propositions du rapport Touraine ? Bénédicte BEVIERE-BOYER nous explique (4/4) N°4, Juin 2019 Article publié par Bénédicte BEVIERE-BOYER, Docteure en Droit, Maître de Conférences-HDR en Droit Privé à l’UFR de l’Université de Paris 8 (Unité de Formation et de Recherche).
Elle est Directrice adjointe du Centre de recherche en droit privé et droit de la santé EA 1581. Bénédicte BEVIERE-BOYER organise les 20 et 21 Juin 2019 à Paris, les 7èmes et 8ème Colloques Internationaux sur le numérique, événement à ne pas manquer, en collaboration avec des Universités chinoises et québécoises (entrée libre, inscription obligatoire) Elle vient de co-publier, en collaboration avec Dorothée DIBIE, et Astrid MARAIS , le 03 Avril 2019 (disponible à partir du 15 Mai 2019), un excellent ouvrage sur “La bioéthique en débat : le début de la vie” issu des actes du cycle de conférences de l’année 2018, à la Cour de cassation. Elle assure également la co-direction scientifique d’un Cycle de Droit et Bioéthique à la Cour de Cassation (entrée libre), de portée nationale et internationale.
IA et bioethiquev2 (1) JDSAM complet 12 09 2017. Terra Nova Sante Intelligence Artificielle 051217. Intelligence artificielle dans la santé. La mise en forme de cet article est à améliorer(mai 2018).
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Rayon X d'une main, avec calcul automatique de l'âge osseux par un logiciel informatique. Historique[modifier | modifier le code] La recherche menée dans les années 1960 et 1970 a produit le premier programme de résolution de problèmes ou système expert, aussi appelé Dendral[7]. Les années 1980 et 1990 ont entraîné la prolifération du micro-ordinateur et de nouveaux niveaux de connectivité réseau.