CONTRAT DE MAINTENANCE INFORMATIQUE. Aujourd’hui l’informatique prend une place essentielle dans l’économie, cependant l’informatique est un domaine technique, et complexe, c’est pourquoi est généralement inclus dans les contrats informatiques un contrat de maintenance informatique qui a pour but l’entretient du matériel informatique.
Afin d’éviter ce type d’écueils, les entreprises peuvent se doter d’un service informatique interne, encore que cela soit relativement couteux, ou faire appel à une société extérieure, prestataire de services de maintenance. Les clauses contrat informatique - Recherche Google. Veille Juridique 2. Vivre sans Google et cie ? La liste des alternatives aux GAFAM. Les GAFAM – ces mastodontes du web – sont régulièrement sous le feu des critiques. Contrôle du marché de l’information et de la publicité en ligne, revente des données personnelles, pouvoir économique mondial hors norme, influence de la démocratie via des lobbies surpuissants, les motifs de se méfier de ces géants ne manquent pas.
Difficile pourtant de s’en défaire une bonne fois pour toute tant ils sont partout dans notre univers numérique. Néanmoins, voici quelques pistes pour les remplacer au quotidien. GAFA, GAFAM ou NATU : les nouveaux maîtres du monde. Ces start-ups parfois créées dans un garage sont ainsi devenues les plus grandes capitalisations boursières mondiales, et leurs patrons, des références iconiques de l’entrepreneur à succès.
Pourtant elles sont de plus en plus décriées pour leur mainmise tentaculaire sur l’économie mondiale et leur pratique de corsaire fiscal. Elles menaceraient même la souveraineté des Etats. Le poids des GAFAM Ces entreprises ont parfois à peine 20 ans (Facebook a été créé en 2004 et Google en 1998) et pourtant la capitalisation de chacune d’elles, à l’exception de Facebook dépasse les 1 000 milliards de dollars. Pour donner un ordre de grandeur – bien que pas directement comparable – c’est l’équivalent du PIB d’un pays comme les Pays-Bas, qui émarge tout de même à la 17e place du classement des pays les plus riches du monde. Gafam : est-il possible de leur résister ? Gafam : un manque à gagner d’un milliard d’euros pour le fisc, selon Mounir Mahjoubi.
La France a été l'une des premières à taper du poing sur la table.
Et à voter une taxe Gafa pour faire payer les géants du numérique -Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft, d'où le terme de Gafam - sur la base de leur chiffre d'affaires. Dès la fin 2019, elle devrait rapporter 400 millions d'euros aux caisses de l'Etat. Les GAFAM et les NATU, nouveaux maîtres du monde de l’économie numérique. Encore des néo-acronymes anglo-saxons au menu aujourd’hui !
Levons le suspens tout de suite. GAFAM regroupe les initiales de Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft et NATU ceux de Netflix, Air BNB, Telsa et Uber. En gros les dix plus grandes sociétés américaines de l’économie numérique. Deux acronymes pour une valorisation boursière comparable, tenez vous bien, au budget annuel de la France et un chiffre d’affaire annuel supérieur à celui du Danemark avec « seulement » 300 000 employés. Une sacré efficacité économique par employé, une croissance annuelle supérieur à celle de la Chine et surtout, une position dominante sur le marché qui commence à faire réfléchir.
Je ne vais pas présenter tout le monde mais pour faire vite, disons qu’ils se partagent les grandes fonctions de l’économie numérique. Netflix est la plus grosse plateforme de diffusion de films et séries. GAFAM : le déclin de l’empire américain ? Le moteur de recherche de Google, Google Search, possède 94% des parts de marché en France. Le système d’exploitation de la firme, Android, est installé sur 9 appareils mobiles sur 10. La moitié du commerce électronique aux Etats-Unis passe par Amazon. Quant à Facebook, sa capitalisation boursière équivaut au PIB cumulé de 65 pays de la planète. Ces GAFAM (il faut ajouter Apple et Microsoft) sont-ils devenus trop gros ?
Si gros qu’ils parlent d’égal à égal avec les états les plus puissants, voire de supérieur à inférieur. GAFAM : le déclin de l’empire américain ? Serveur WEB/FTP. Réalité virtuelle. Qu’est-ce que la virtualisation ? Alors que les besoins évoluent constamment et qu’il est nécessaire de s’adapter rapidemment, un concept revient de plus en plus souvent : la virtualisation. Que ce soit pour des entreprises ou bien même des particuliers, la virtualisation a fait une entrée fracassante dans le monde de l’informatique et s’est installée comme une fonctionnalité essentielle au fonctionnement de nombreux business.
La virtualisation a pour but d’augmenter la flexibilité en limitant voire supprimant les contraintes matérielles physiques. La définition officielle de la virtualisation est la suivante : “La virtualisation est un mécanisme informatique qui consiste à faire fonctionner plusieurs systèmes, serveurs ou applications, sur un même serveur physique. La virtualisation est un composant technique clé dans le Cloud Computing.” En effet, le principe de virtualisation repose sur le mécanisme suivant : Un système hôte (qui est un simple système d’exploitation est installé sur un serveur physique unique.