Ressources sur les «fake news » Quels sont les impacts de la désinformation? La désinformation et l’angoisse : partenaires de choix De façon générale, les fausses nouvelles parviendraient à se répandre plus largement en exploitant des émotions fortes, comme la peur et le dégoût.
C’est du moins ce que suggère une étude du Massachusetts Institute of Technology publiée dans la revue Science en 2018. Qui plus est, le fait croire aux fausses nouvelles serait un bon prélude à l’anxiété, surtout en temps d’épidémie. Apprendre à combattre la désinformation : une expérience conversationnelle interactive pour jeunes et moins jeunes! 9 adultes sur 10 au Canada affirment s’être déjà fait prendre au piège d’une fausse nouvelle.
C’est énorme. À ce sujet, Radio-Canada propose une expérience interactive visant à aider les élèves à développer leurs compétences sur la désinformation. Et les nôtres aussi, qui sait? Comment combattre la désinformation. Aide Les ateliers conversationnels fonctionnent peu importe l'appareil que vous utilisez.
Si jamais la conversation s'interrompt de façon inattendue ou qu'il est impossible de la poursuivre, rafraîchissez la boîte de dialogue ou la page. Vous aurez alors l’option de recommencer l’atelier ou de reprendre où vous étiez. Écrivez-nous si vous constatez un problème persistant. Méthodologie. Lutte contre les infox : le CSA publie son premier bilan. Publication du bilan de l’application et de l’effectivité des mesures mises en œuvre en 2019 par les opérateurs de plateforme en ligne afin de lutter contre la diffusion de fausses informations.
La loi du 22 décembre 2018 relative à la lutte contre la manipulation de l’information confie au Conseil supérieur de l’audiovisuel le soin d’établir un bilan de l’application et de l’effectivité des mesures mises en œuvre par les plateformes pour lutter contre la diffusion de fausses informations. Ce premier bilan, qui porte sur l’année 2019, a été établi à partir de la déclaration annuelle adressée au Conseil par les opérateurs de ces plateformes au titre de leur devoir de coopération établi par la même loi. Il a été nourri par des échanges complémentaires entre les services du Conseil et les opérateurs et par les travaux du comité d’experts sur la désinformation en ligne. Cadre légal. Décrypter la désinformation.
L'ADBU, Association française des directeurs et personnels de direction des bibliothèques universitaires et de la documentation, publie en avril 2020 un programme intitulé « Décrypter la désinfo avec ma bibliothèque » qui propose « une analyse de la désinformation via une infographie, [regroupant] rappel de définitions, renvoi[s] vers quelques sites utiles et fiables, outils gratuits accessibles en ligne face aux théories complotistes, rumeurs, fake news » et autres deepfakes qui se développent sur Internet.
Sensibiliser graphiquement aux infox L'infographie pédagogique réalisée à la manière d'une sketchnote est le fruit du travail de Magalie Le Gall, bibliothécaire au sein du secteur Lettres pour le Département Formation et innovation pédagogique du service commun de la documentation de Sorbonne Université. Un formulaire d'évaluation Sources Illustrations. Deepfake - La revue européenne des médias et du numérique. Ce mot-valise, fusion de deep learning (apprentissage profond, technique d’intelligence artificielle) et fake (faux), désigne un contenu truqué et sciemment trompeur.
Un deepfake est un faux, quelle que soit la nature du contenu – vidéo, photo, audio ou texte –, conçu grâce à l’intelligence artificielle. Aux États-Unis, la manipulation malveillante d’images vidéo affecte déjà la sphère politique. Pour l’heure, les deepfakes les plus couramment diffusés sur internet sont des vidéos truquées dans lesquelles le visage et la voix d’une personne connue sont falsifiés, lui faisant dire ou faire ce qu’elle n’a jamais dit ou jamais fait. Le réalisme des images recomposées artificiellement fait d’un deepfake un instrument potentiellement efficace pour manipuler l’opinion. Pourquoi avons-nous si peur des fake news ? (1/2) Les Fake News seraient à elles seules responsables de la montée des populismes, de la crise des médias, ou de la diffusion de croyances irrationnelles.
Ce déterminisme technologique, s’appuie sur une assez large méconnaissance des résultats des enquêtes sociologiques comme celle parue aux Etats-Unis fin 2018, Network Propaganda de Yochai Benkler, Robert Faris et Hal Robert, que Dominique Cardon se propose ici d’analyser dans le premier volet de cet article. Internet et les réseaux sociaux ont tout déréglé. Manipulation et vérité. Info hunter. La « datapulation » ou la manipulation par les données. Interview de Claude Castelluccia – Propos recueillis par Françoise Laugée Vous êtes directeur de recherche à l’Inria, sur quels sujets travaille actuellement l’équipe appelée Privatics que vous dirigez ? L’équipe Privatics1 de l’Inria (Institut national de recherche en informatique et en automatique) est localisée à Grenoble et à Lyon. Le Conseil constitutionnel encadre la loi sur les fausses informations. De l'influence à l'infox 2ème partie - (CN18-19) - Centre d'Enseignement Multimédia Universitaire (C.E.M.U.) Université de Caen Normandie.
De l'influence à l'infox 1ère partie - (CN18-19) - Centre d'Enseignement Multimédia Universitaire (C.E.M.U.) Université de Caen Normandie. The_Conversation_ebook_fake_news_DEF. Lutter contre les fake news. Le site de l'ABDU, association des directeurs et personnels de direction des bibliothèques universitaires et de la documentation, publie les captations vidéo de la journée d'étude organisée le 5 juin 2018 en partenariat avec The Conversation France, La Croix, le CARISM et France Info.
Cette journée, précise l'ABDU, « s’est positionnée sans équivoque en faveur de l’éducation aux médias et a valorisé les initiatives des acteurs de l’IST contre la désinformation. Enfin, elle a promu le développement de bonnes pratiques informationnelles et l’engagement de ses organisateurs et intervenants en faveur de l’esprit critique, de la maîtrise de la documentation et de la valeur de l’information ». Sources Réseaux et médias sociaux. La publicité, première source de financement des sites de désinformation. C’est un petit coin de page Web a priori banal. On y trouve, pêle-mêle, une annonce vantant les mérites d’un véhicule d’un constructeur, une autre invitant à essayer une « citadine » d’une autre marque, de la réclame pour un forfait téléphonique ou encore une invitation à acheter des chaussures soldées sur un site en ligne.
En soi, il ne s’agit que d’une goutte d’eau dans l’océan de publicités qui inonde chaque jour nos écrans. Ces bannières, nous les avons trouvées sur Santeplusmag.com. Un site certes très populaire sur les réseaux sociaux – 7,6 millions d’abonnés sur Facebook –, mais qui est aussi connu pour relayer un nombre significatif de fausses informations et d’articles sensationnalistes.
On y trouve ainsi des affirmations fantaisistes, comme « le mélange de bicarbonate de soude et de miel peut changer votre vie pour toujours ». Malgré sa propension à publier des articles fallacieux, Santeplusmag.com a été membre de grands réseaux publicitaires, comme Ligatus ou Taboola. Manipuler l’opinion publique sur les réseaux sociaux : c’est possible ! Les réseaux sociaux se sont démocratisés rapidement en mettant en exergue leurs nombreux avantages pour la communication et l’accès à l’information.
Depuis peu, un usage moins connu mais non moins dangereux à fait son émergence : la manipulation de l’opinion publique sur et via ces médias digitaux. Nous vous proposons dans cet article, un éclaircissement sur cette pratique. La place des médias sociaux dans la vie politique Les médias sociaux ont contribué à favoriser les échanges démocratiques sur nombre de questions sociales et politiques. Un exemple phare est l’importance démontrée par Facebook dans la réalisation du printemps arabe. Faut-il renoncer à la Vérité ? Diffusion du débat enregistré le 6 octobre dans le grand amphithéâtre de la Sorbonne à Paris, en public, à l’occasion de la 27e édition de la Fête de la science où France Culture organisait le forum Les idées claires. Les invités : Jean-Claude Ameisen, médecin, chercheur, professeur d’immunologie à l’Université Paris Diderot et producteur de l'émission Sur les épaules de Darwin sur France InterFrédéric Worms, philosophe, professeur à l'ENS et directeur du Centre international d’étude de la philosophie française contemporain.
Retour sur la journée d’étude : Lutte contre les fake news – quels défis pour l’information scientifique, les bibliothèques et les journalistes ? Le 5 juin 2018, l’ADBU organisait en partenariat avec TheConversationFrance, La Croix, le CARISM et France Info une journée d’étude sur le thème de la lutte contre les fake news.
Cet événement a attiré près de 170 participants au profil varié : professionnels des bibliothèques, professeurs-documentalistes, sociologues, chercheurs, enseignants universitaires et du secondaire, journalistes. Cette journée a donné lieu à deux publications d’articles et à une visibilité chez nos partenaires The Conversation France, La Croix et France Info. Pourquoi faut-il éviter d’utiliser le terme “fake news” ?
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Les “fakes news” : signe de l’apparition d’un nouvel enjeu contemporain ou signalement des doutes de l’opinion publique ? Pour répondre à la question de cette première partie, commençons par regarder l’évolution de l’intérêt pour la recherche du terme “fake news”, dans le monde entier, sur les cinq dernières années grâce à l’outil Google Trends.
D’emblée, une très nette hausse des recherches à partir de ce mot-clé peut être remarquée à la mi-novembre 2016, comme s’il s’agissait de l’apparition soudaine d’un virus. Pour vérifier le minimum de cohérence de cette analogie intuitive, effectuons deux autres recherches à partir des mots-clés : “grippe aviaire” ou “ebola”. Il est ainsi possible de constater, sur les deux captures d’écran ci-dessous, les même pics brutaux d’intérêt, à la différence que ceux-ci sont plus fugaces et sont véritablement le signe de l’apparition de maladies virales toute nouvelles. Rapport conjoint CAPS/IRSEM - Les manipulations de l’information : Un défi pour nos démocraties (04.09.18) Communiqué de presse Les manipulations de l’information ne sont pas nouvelles mais ont pris une dimension sans précédent en raison des capacités inédites de diffusion et de viralité offertes par internet et les réseaux sociaux, ainsi que de la crise de confiance que vivent nos démocraties.
Ce phénomène s’est manifesté par plusieurs ingérences électorales ces dernières années ; il menace les démocraties et la souveraineté de leurs institutions. Le CAPS et l’IRSEM ont donc uni leurs forces pour l’étudier. Ce rapport est le fruit d’une enquête de terrain (une centaine d’entretiens menés dans une vingtaine de pays) pour mieux saisir la nature du problème et identifier les bonnes pratiques mises en œuvre par les États et les sociétés civiles. Il s’appuie également sur l’abondante littérature scientifique disponible.
Auteurs : À propos : Plongée dans le service de « fact-checking » de l’Agence France-Presse. Parcours désinformation by jfiliol.pro on Genially. Le désenchantement de l'internet, désinformation, rumeur et propagande. « Le débat public en ligne est un remarquable révélateur de la complexité des sociétés contemporaines ». Avec Le désenchantement de l’internet, désinformation, rumeur et propagande, Romain Badouard, maître de conférences à l’université de Cergy-Pontoise et chercheur au sein du laboratoire Agora propose une virée en terrain médiatique numérique. « La désinformation par les gouvernements est un nouveau type de guerre » Ann Mettler dirige le centre européen de stratégie politique (EPSC), le think tank interne de la Commission européenne. Pouvez-vous décrire en quelques mots ce qu'est le Centre européen de stratégie politique, dont vous êtes à la tête ?
Vidéo : 4 trucs à savoir sur les fake news (par la chaîne Poisson Fécond) - Geek Junior - Rapport de « Legatum Institute » : Face à la désinformation, comment rendre la vérification des faits plus utile ? - Observatoire Arabe du Journalisme - AJO. Fake news, la complexité de la désinformation - First Draft News FR. Aujourd’hui, nous reconnaissons tous que le terme fake news, particulièrement répandu en anglais et toujours plus utilisé en français pour désigner des fausses informations, ne s’avère pas très utile. Cependant, sans qualificatif pour le remplacer, nous sommes contraints à employer cette formule en mimant des guillemets. Les fake news, miroir grossissant de luttes d’influences. Séquence pédagogique sur le complot en 1er (EMC) Activite complots emc 1ere pptx prof 2.
Index. Les institutions du savoir sont-elles suffisamment démocratiques ? Fake news : l'engrenage infernal de la désinformation - Edgar Welch, 28 ans, parcourt plusieurs centaines de kilomètres en voiture depuis la Caroline du Nord jusqu'à Washington pour "mener sa propre enquête". Sur internet, il a lu que la pizzeria Comet Ping Pong de la capitale américaine abritait le QG de Hillary Clinton depuis lequel elle commanditerait un réseau pédophile. Le 4 décembre, c'est armé d'un fusil qu'il se présente dans l'établissement où il ouvre le feu, sans faire de blessés. Edgar Welch n'a pas réalisé qu'il s'agissait d'une rumeur complotiste, propagée du forum 4Chan aux faux sites d'informations en passant par les réseaux sociaux avec le mot-clé #pizzagate.
Identité numérique et Internet responsable. NIVEAU / DUREE / CADRE : 6e ou 5e / 2 séances de 2 heures / CDI + une salle. Complotisme, rumeur. Analyser l'information. Les 3 commandements du monde de l'intox, selon Christian Harbulot. - Désinformation et rumeur : nous sommes notre pire ennemi ! De l'info à l'intox. Savoirs CDI: Désinformation : de la médiatisation à l'éthique de l'information. Theconversation. La mort de Beyoncé ou le business du complot absurde - Pop culture. Fauxtographie : l'Histoire manipulée.