Le Blocus de Berlin (1948-1949) Cette carte fait partie d’un ensemble de 9 cartes animées portant sur La Guerre froide et la confrontation entre les deux blocs 1947-1991 À la fin de la Seconde Guerre mondiale, l’Allemagne vaincue est amputée de vastes territoires à l’est de la ligne Oder-Neisse puis divisée en 4 zones d’occupations contrôlées par les Soviétiques à l’e.st, les Britanniques, les Américains et les Français à l’ouest. Dans la zone soviétique se situe la ville de Berlin elle-même divisée en 4 secteurs d’occupations. Cette présence occidentale à Berlin inquiète Staline qui perçoit comme une menace l’unification progressive des zones occupées par les Occidentaux. Le 24 juin 1948, en réponse à la décision des « Occidentaux » de mettre en place une monnaie unique à l’intérieur de leur zone, le leader soviétique tente un coup de force et fait établir un blocus pour empêcher tout ravitaillement des quelque 2 millions de Berlinois vivant à l’ouest de la ville.
L'Europe qui se fait - Chapitre 3. Les pères fondateurs et les peuples de l’Union européenne : bouleverser les idées reçues - Éditions de la Maison des sciences de l’homme 1 L’auteure s’appuie sur une précédente recherche qui a donné lieu à la publication d’un article dan (...) 1Le principal objet de ce chapitre est de questionner deux grandes séries d’idées communément admises aussi bien dans les milieux politiques qu’universitaires1. La première renvoie au discours suivant : s’il existe aujourd’hui une distance abyssale entre les instances européennes et les citoyens de l’Union (UE), autrement dit si les ressortissants des États membres n’ont pas développé jusqu’à présent un sentiment d’appartenance aux Communautés, c’est pour l’essentiel parce qu’ils n’ont pas été sensibilisés – ou alors très tardivement – à la réalité communautaire. 2Or, comme nous le verrons dans une première partie, plusieurs éléments peuvent nous faire douter du bien-fondé de telles allégations. Les allégeances des pères fondateurs et leur « foi » dans les normes et institutions 2 Ces auteurs qualifient également Jean Monnet de « socialiste » (118). Les propos... 28Ou encore :
theconversation Que ce soit dans le cadre de la primaire à droite ou pour commenter la présidence Hollande, les hommes politiques sont nombreux à recourir à la figure du Général de Gaulle. C’est une révérence obligée que chacun décline à sa manière dans le cadre d’une compétition politique. Qu’est-ce que cela nous dit de notre époque et que penser d’une telle comparaison ? Gouverner Jean-François Copé a affirmé qu’il entendait « gouverner par ordonnances comme de Gaulle en 1958 ». S’il est bien concevable que l’exercice du pouvoir dépend de la capacité personnelle des hommes politiques, cela ne paraît pas suffisant. Par ailleurs, qui que soit le Président et son aura personnelle, il doit composer avec un monde d’information et d’expression libre. L’incarnation du pouvoir La figure de De Gaulle est fréquemment convoquée de façon comparative avec les plus récents Présidents de la Ve République. Et c’est pour déplorer cette rupture dans la tradition que l’on fait appel à la figure fondatrice de De Gaulle.
Le début du blocus de Berlin Dès l'hiver 1947-1948, les Alliés se résignent à la division de l'Allemagne en quatre zones. Mais les réunions des Quatre sont conflictuelles et les négociations semblent impossibles. Des violents débats sur l'interdiction du parti socialiste dans les zones occidentales et sur une déclaration polono-tchéco-yougoslave amènent le Conseil des Quatre à abandonner toute tentative de réunion. Le 18 Juin 1948, sans en discuter avec les Soviétiques, les occupants américains, britanniques et français créent dans leur trizone une nouvelle monnaie, le Deutsch Mark, afin de juguler l'inflation. Le 23 Juin, les Soviétiques introduisent à leur tour une nouvelle monnaie dans leur zone tout en bloquant électricité et charbon dans le secteur occidental de Berlin. Le 26 Juin, Truman décide de faire ravitailler la ville par air, sous le commandement du général Clay, jusqu'à ce qu'une solution diplomatique soit trouvée. La ville devient le symbole du combat pour la Liberté.
Les grandes étapes de la construction européenne Mettez une note: Loading... « Un jour viendra où vous, toutes les nations du continent, vous vous fondrez dans une unité supérieure et vous continuerez la fraternité européenne. Un jour viendra où il n’y aura plus d’autre champ de bataille que les marchés s’ouvrant au commerce et les esprits s’ouvrant aux idées. » ~ Victor Hugo Créer une union des pays européen était plus qu’une nécessité après la seconde guerre mondiale. Tous les livres sur l’histoire de l’Europe en cliquant ici. 1ere partie:Audio Player 2eme partie:Audio Player Drapeau de l'Europe Tags: diplomatie, europe
Du Tsar à Lénine : actualité d'un regard Parmi les émissions consacrées ce week-end par France culture à la révolution russe d’octobre 1917, la nôtre est vouée, selon sa vocation propre, à s’interroger sur de possibles échos avec notre présent. La longue parenthèse du bolchévisme étant à présent refermée, c’est ailleurs qu’à l’intérieur d’elle-même on peut se mettre en quête d’éventuelles concordances. Je ne me hasarderai pas sur le terrain mouvant de la permanence supposée d’une âme russe, un thème qui fut cher à tant d’observateurs et d’essayistes depuis le XIXe siècle jusqu’aux années trente, mais qui se prête à beaucoup d’élucubrations hasardeuses et fantasmatiques. Notre angle sera différent. Programmation sonore : - Chanson « Octobre » par Juliette Gréco, interprétée à Moscou en 1967, paroles de Jean Dréjac, musique de Philippe-Gérard. - Lecture par Vincent Lubkov d’un extrait de La Russie en 1839 du Marquis de Custine, paru en 1843. - Récit de la comtesse Louis de Robien, le 24 octobre 1966. Bibliographie : - « 1917.
Il y a 25 ans, la chute du mur de Berlin Le mur de Berlin construit en 1961 en une seule nuit a été pendant de nombreuses années le mur de la honte. Alors que samedi 8 novembre, l'Allemagne célèbre la chute du mur, France 3 revient sur cet événement qui a marqué une génération. En novembre 1989, l'histoire bascule. Un mur tombe, c'est en réalité le rideau de fer qui se déchire. De nombreux Berlinois ont risqué leur vie pour le franchir. Aujourd'hui, ce qui reste du mur de la honte est devenu un lieu de pèlerinage et même d'expression artistique. Le JT
Guerre de Corée La guerre de Corée, débutée en 1950, oppose les forces de Corée du Nord, communiste, aidée par la Chine et l'URSS aux forces de la Corée du Sud, non-communiste, soutenue par les États-Unis, les puissances du bloc de l'Ouest et l'ONU. Aux origines de la guerre[modifier | modifier le wikicode] Durant la conférence de Yalta en 1945, Staline, dirigeant de l'Union soviétique a promis au président américain Roosevelt que l'URSS aiderait les États-Unis dans leur combat contre le Japon. Cette répartition des territoires, théoriquement provisoire et mal acceptée par les Coréens, dure si longtemps que la question de l'indépendance de la Corée est posée par les États-Unis aux Nations Unies. Les élections eurent quand même lieu dans le sud en 1948. En réaction, des élections non surveillées par l'ONU ont lieu dans la partie nord de la Corée : elle donne le pouvoir aux communistes dirigé par Kim Il-sung. La guerre[modifier | modifier le wikicode] Les opérations militaires pendant la guerre de Corée.
Bernard George : "La révolution de février 1917 a renversé le régime tsariste qui se croyait éternel" Mercredi cinéma dans le Réveil culturel, avec : Bernard George, réalisateur du documentaire 1917, Il était une fois la Révolution, diffusé le mercredi 18 octobre sur France 3 et aussi disponible en DVD chez Zed éditions. En ce mois d'octobre, on commémore le centenaire de la révolution russe à travers des écrits, des expositions, et une semaine de savoirs et d'analyses sur ces moments-clés de l'Histoire moderne du 9 au 15 octobre sur France Culture. Pourtant, octobre 1917 marque plutôt la fin du rêve révolutionnaire des Russes ; la vraie révolution s'étant écrite en février. Le documentaire de Bernard George revient sur cette révolution avortée et ce vent de liberté incroyable qui soufflait dans la Russie débarassée des Tsars, vue par le prisme d'un Français présent sur place à l'époque et qui assista alors à l'un des plus grands évènements du 20ème siècle, Claude Anet. La capitale manquait de pain à cause de la guerre qui faisait alors rage. en partenariat avec la revue Positif