bibliothécaires contre les DRM Contrôle parental Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. DansGuardian - STOP pornograpny Fonctionnement[modifier | modifier le code] Le paramétrage du logiciel est protégé par mot de passe, afin que seul l’administrateur du système (les parents) puisse en modifier les paramètres. Télévision[modifier | modifier le code] Les démodulateurs de télévision numérique (par câble, par satellite, par ADSL, etc.) sont parfois équipés d'un système de contrôle parental. Ce dernier filtre les émissions à contenus indésirables pour l'enfant telle que les magazines ou long métrages pornographique ou gore et parfois à partir d'une certaine heure donnée. Internet[modifier | modifier le code] Sur Internet, le contrôle parental peut être assuré par un logiciel ; mais il est plus efficace de contrôler soi-même les créneaux horaires progressifs, selon l'âge du jeune, l'implantation de l'ordinateur et de dialoguer avec le jeune sur ses droits et devoirs, quant à l'utilisation de cet outil. Articles généralistes
Le régime juridique des DRM Le 3 août 2006, la loi DADVSI (Droit d'auteur et droits voisins dans la société de l'information) était promulguée. Elle transpose en droit français la directive 2001/29CE (dite EUCD pour European Union Copyright Directive), qui va plus loin que les obligations prévues dans les traités de l'OMPI sur le droit d'auteur (WCT en anglais, pour WIPO Copyright Treaty) et sur les droits des producteurs (World Intellectual Property Organization Performances and Phonograms Treaty, Traité de l'organisation mondiale du commerce sur les spectacles et les phonogrammes) rédigés en 1996. L'ensemble de ces textes s'inscrit dans une démarche plus large de restriction des libertés numériques et de sacralisation des DRM, sous prétexte de lutte contre la contrefaçon, et au détriment des droits du public et des auteurs. Cette analyse fait partie du cahier MTP/DRM de candidats.fr, à l'occasion de la campagne présidentielle 2012. Historique de l'instauration d'un régime juridique des DRM Loi DADVSI
Déclaration des droits de l’utilisateur de livre numérique (Comme il s’agit explicitement d’un work-in-progress, on peut se référer aux articles ici et là pour suivre les développements.) Considérant qu’il ne s’agit pas d’un droit mais d’une revendication, il conviendrait davantage de parler d’une Déclaration POUR les droits de l’utilisateur de livre numérique en lieu et place d’une Déclaration des droits de l’utilisateur de livre numérique. Le droit d’auteur étant soumis à des refontes substantielles, en ce moment les ayants-droits se font bruyamment entendre pour protéger leurs acquis dans un cadre où les utilisateurs, les consommateurs n’en ont théoriquement pas. Considérant également que les utilisateurs tendent à adopter des usages fondés sur les échanges de fichiers via des réseaux peer to peer et sur la lecture en continu, la pertinence de référer à un modèle inspiré de la "first sale doctrine" pour la revente ne semble pas nécessaire ou approprié et cette référence pourrait être retirée. Je suis un lecteur. Ces droits sont les vôtres.
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m.actualitte Les ventes records de lecteurs de livres numériques, enregistrées lors des fêtes prouvent qu'il y a urgence, urgence à se mettre enfin d'accord entre bibliothèques et éditeurs concernant les politiques autour de l'ebook et des DRM. Le parcours classique d'un livre en bibliothèque est celui-ci : une durée de vie justement pas classique car passer de mains en mains laisse des traces, ce livre qui arrive en fin de course est remplacé. Une aubaine pour les éditeurs (de nouvelles ventes) encore plus s'il s'agit d'un bestseller aux multiples copies. A l'âge d'or des bibliothèques, lorsque les budgets le permettaient encore, ces achats n'avaient rien de périlleux. Aujourd'hui c'est plus délicat, notamment pour la question des ebooks. Ma cassette, on a volé ma cassette Aux Etats-Unis, pour ce qui est du livre numérique, les éditeurs imposent leurs règles et celles-ci sont très strictes. HarperCollins imposait de restreindre le nombre de consultations d'un ebook à 26. Satisfy my soul
Du livre enchaîné aux DRM Les DRM, ou « Digital Rights Management » – en français « Gestion des droits numériques » –, consistent selon le Journal officiel en la « mise en œuvre des différents procédés destinés à protéger les droits afférents à la diffusion de contenus sur supports numériques ». Les DRM représentent un ensemble de mesures techniques ou logicielles de protection destinées à contrôler la distribution et la diffusion de produits numériques et leur accès, qu’ils soient fixés sur un support (CD, DVD) ou accessibles en ligne. Les DRM ont pour objet par exemple de restreindre l’utilisation des produits à une zone géographique donnée, de restreindre ou d’interdire la copie privée, d’identifier grâce des systèmes de « tatouage » les œuvres et les équipements de lecture pour décourager le piratage, etc. Les contrôles sont principalement destinés à préserver les droits commerciaux et intellectuels des ayants droit des œuvres concernées. Petit historique D’Amazon à Google Ambiguïté du livre numérique ePub
Organisation et gestion de l'Internet L'Internet est un réseau de communication qui doit être accessible à tous. La création de l'IANA (Internet Assigned Numbers Authority), un organisme sous contrat du gouvernement des États-Unis, avait comme objectif de gérer les fonctions centrales que suppose la coordination de l'Internet sur le plan mondial, en agissant dans le sens de l'intérêt général. Le gouvernement des États-Unis a également reconnu la nécessité d'inclure dans la coordination de l'Internet tous les acteurs à l'échelle mondiale. La nouvelle structure de l'organisme de gestion En octobre 1998, l'ICANN (Internet Corporation for Assigned Numbers and Names) a été créée suite à un livre blanc du gouvernement des États-Unis. L'ICANN a commencé ses travaux en automne 1998. Les ressources budgétaires de l'ICANN proviennent de cotisations. les registres de noms de domaines; les bureaux d'enregistrements de noms de domaines; les registres d'adresses IP. Les protocoles Internet L'adressage Internet Les noms de domaines
Inventer de nouveaux usages : l’ebook en bibliothèque Parmi les grand chantiers en cours, dans cette entrée timide mais progressive de la lecture numérique dans les mœurs, celui du prêt de livres numériques a fait parler de lui ces derniers temps. Voici un petit état des lieux en ce printemps 2012. Comment prête t-on un livre numérique à l’heure actuelle ? Via des bibliothèques ou des plateformes spécifiques de prêt de livres numériques Pour faire simple, les bibliothèques achètent l’accès à un catalogue d’ouvrages qu’elles mettent à disposition de leurs utilisateurs. Du point de vue de l’utilisateur, en général, le prêt de livres est géré par DRM et/ou par chronodégradation : le livre est prêté pour une durée déterminée, pendant laquelle il n’est pas accessible aux autres utilisateurs, et passée laquelle le fichier se rend inutilisable pour l’emprunteur. Entre utilisateurs Le principal système de prêt d’ebooks entre utilisateurs à l’heure actuelle est celui proposé par Amazon. Avec quel modèle économique ? Les prestataires Les éditeurs
Amazon : ils ont recommencé ! L’affaire risque de faire pas mal de bruit et on comprend évidemment pourquoi. Linn Nygaard, consultante norvégienne en technologie et lectrice à ses heures perdues, a en effet eu une très mauvaise surprise en ouvrant sa boite mail un beau matin. Une mauvaise surprise qui tenait en un message envoyé par Amazon, un message la prévenant tout simplement de la fermeture définitive de son compte. Pas sympa, évidemment, mais le pire reste à venir. Non content de fermer son compte, Amazon a aussi pris l’initiative d’effacer à distance le contenu de son Kindle. Imaginez un instant. Et soudain, tout bascule. C’est très exactement ce qu’a du ressentir Linn en constatant la disparition ferme et brutale de toute sa collection. Depuis, bien sûr, Amazon est revenu en arrière. Formidable, non ? Via